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Le journal de mes 7 ans

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Livres sonores

Les comptines de mes 1 an

Les comptines et jeux de doigts incontournables pour l'éveil des bébés de 1 an : donner le goût de la musique ; favoriser la complicité parent-enfant ; encourager le tout-petit à reproduire les sons et les mots. Des puces faciles à voir pour les petits ! Petit Escargot, La fourmi m'a piqué la main, Vole, vole, vole, papillon, Une petite coccinelle et A Paris sur mon petit cheval gris. Pour chanter, mimer, et faire sauter son enfant sur ses genoux au rythme de la mélodie !

02/2022

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Imagiers, premiers dictionnair

Les Mots de mes 1 an

UN IMAGIER PAS COMME LES AUTRES ! "A la lumière des dernières recherches en linguistique, j'ai conçu cet imagier pour permettre à chaque enfant d'explorer son environnement et l'univers qui l'entoure, pour l'aider à développer de manière réfléchie son vocabulaire fondamental, outil indispensable à ses futures acquisitions scolaires. Les illustrations de chaque double page explorent un "mot pilote" fréquent qu'il faut connaître. Autour de lui gravitent d'autres mots proches et utiles qui permettent d'en découvrir encore... 10 fois plus. Des indications pour les parents précisent dans quelle direction orienter l'observation et l'échange oral avec l'enfant : on lui parle et on le fait parler, pour éveiller sa curiosité de manière organisée, pour étendre son vocabulaire et l'utiliser à bon escient".

02/2021

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Critique littéraire

Journal

Voici la nouvelle édition, très attendue, du Journal de Valery Larbaud. La première, parue en 1954 et 1955 de son vivant, ne représentait qu'à peine la moitié du texte retrouvé et publié aujourd'hui. Plutôt que d'un journal, il faudrait parler de différents journaux, de celui de Paris en 1901 à celui d'Albanie en 1935. Bien sûr, l'oeuvre de l'écrivain est omniprésente. On la voit qui s'élabore, disparaît, reparaît. La vie aussi. Le Journal dévoile Larbaud au quotidien, avec ses manies, sa santé fragile, ses voyages, sa passion pour les langues et les littératures étrangères, sa gourmandise, son observation attentive de la beauté des femmes. Ce nouveau Journal a de quoi enchanter les fervents de Larbaud et leur apporter d'infinies découvertes.

06/2009

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Poches Littérature internation

Journal

Voici le témoignage le plus poignant de toute l'histoire de la littérature. Que devient un homme quand le verbe pénètre en lui, décide de sa vie, et lui fait espérer un mystérieux salut ? " Nous avons été chassés du paradis mais le paradis n'a pas été détruit pour cela. " Ce paradis qu'on doit retrouver sera d'autant plus beau qu'on revient de loin. Kafka relate tout ce qui l'envahit et l'abat : peur de la maladie et de la solitude, désir et crainte du mariage, lutte contre le milieu familial et religieux. Etouffé par ses scrupules, Kafka ne perd jamais de vue sa vie spirituelle dont il attend force et lumière. Ce Journal, c'est tout l'ennui de la vie et le salut qui l'éclaire.

05/2002

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Littérature étrangère

Journal

Cosima, fille de Franz Liszt et de la comtesse Marie d'Agoult, élevée dans un milieu aristocratique, artistique et cosmopolite, fut une des grandes figures féminines du XIXe siècle. Sans craindre le scandale, elle quitta son mari, Hans von Bülow, pour partager la vie du proscrit Richard Wagner à Tribschen en Suisse, puis sa gloire croissante à Bayreuth. Son journal, tenu avec une extraordinaire minutie, commente tous les détails de la vie quotidienne, l'amitié dramatique du couple avec Nietzsche, les perpétuels problèmes financiers, les premières mises en scène de Bayreuth aussi bien que les grands événements politiques, les rapports de Wagner avec Louis II comme avec les Coeurs de Berlin et de Vienne. Cosima avait voulu renoncer à tout ce qui n'était pas l'art de Wagner et s'effacer dans l'ombre du grand "séducteur". Elle se tut en 1883 à la mort du Maître. Se consacrant aux mises en scène du festival de Bayreuth, elle devint la maîtresse toute-puissante de Bayreuth, la grande dame de Wahnfried dont l'influence et l'ombre s'étendirent au-delà de sa mort, en 1930.

12/1977

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Littérature française

Journal

Quand en septembre 1918, Marie Lenéru mourut, elle avait quarante-trois ans. Dans le monde littéraire français, elle était quelqu'un. Ce n'est cependant pas cette célébrité-là qui fit d'elle "la grande Marie Lenéru". Ce fut, quatre ans après sa mort, la publication de son journal.

01/1946

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Biographies

Journal

Reynaldo Hahn, grand compositeur aujourd'hui remis à l'honneur, a consigné "le tracé des cailloux du Petit Poucet" dans ses carnets, afin que "bien des rêves irréalisés y subsistent par un mot". Ainsi va-t-on y croiser une galerie de personnalités depuis les années fin-de-siècle - où Hahn devient un familier du salon d'Alphonse Daudet - jusqu'aux temps modernes - où il doit se cacher des persécutions de Vichy et des Allemands. Jules Massenet, le maître vénéré, et Sarah Bernhardt, ensorcelante égérie, s'en détachent, figures mythiques d'une vie qui passe aussi par Londres, Bucarest ou Le Caire... et sera bouleversée par deux guerres mondiales. Marcel Proust, rencontré en mai 1894, et qui "n'est en rien comme les autres humains", y jouit d'un statut particulier. Sa présence est sous-jacente et continue. Pour Hahn, "Marcel désigne toujours Marcel Proust", comme s'il ne pouvait y en avoir d'autre ; comme s'il ne pouvait qu'être là "toujours". Le discours du journal intime, au ton qui passe de l'humour à la mélancolie, donne un arrière-plan, une profondeur de champ à la musique du compositeur qui se révèle aussi grand écrivain.

11/2022

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Littérature française

Journal

Le 27 juin 1959, Jean Colin mourait à Amiens à l'âge de trente-deux ans, victime d'une paralysie générale. Sa maladie, qui devait durer trois ans, l'avait contraint d'abandonner ses pinceaux. Depuis 1947, en marge de sa peinture, Jean Colin notait ses réflexions quotidiennes sur de petits carnets de toile noire qu'il portait toujours sur lui. Ce journal est ainsi devenu le prolongement de son oeuvre picturale, le peintre devenant peu à peu écrivain. Jean Colin ne nous serait pas connu sans sa famille et les amis qui l'entourèrent. Joseph Czapski est sans doute celui qui a le plus aidé Jean Colin et continua de le faire connaître après sa disparition. "Aux qualités d'émotion qui rendent bouleversant ce journal intime d'un homme qui voit venir la mort et espère toujours guérir s'ajoute la solidité d'une oeuvre unique, picturale ou littéraire. C'est pourquoi l'itinéraire intérieur de Jean Colin s'inscrit dans une vision du monde qui rappelle un peu celle de Rilke. Où donc le vers de Rilke : "Le beau, le degré du Terrible qu'encore nous supportons" serait-il mieux à sa place qu'ici, dans une vie consacrée à désirer le monde et à le chanter parmi les souffrances de la maladie et la présence de la mort ? " (Paul Flamand)

04/2023

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Histoire littéraire

Journal

Les frères Goncourt ont laissé à la postérité deux monuments, qui ont quelque peu éclipsé leurs romans : le prix littéraire qui porte leur nom, et leur Journal. Celui-ci commence le 2 décembre 1851, jour du coup d'Etat de Napoléon III, et s'achève à la mort d'Edmond, en 1896. C'est une inestimable mine d'informations sur la vie littéraire, artistique et politique du XIX ? siècle. Habités par un idéal de vérité et de transparence, ils s'y montrent d'une lucidité sans concession, jusqu'à en être fielleux. Ils ne cessent d'exposer leurs contemporains, révélant les secrets, moquant les ridicules. Leur Journal est comme un réseau social avant l'heure. Brouillant la frontière du dicible et de l'indicible, ils racontent le sexe, la mort, la violence du temps. Secrétaires de leurs perceptions, sensations, humeurs - et de celles des autres -, ils redéfinissent la notion d'intimité. Ce tombeau littéraire que les deux frères, hantés par la mort, ont édifié pour leur gloire est aussi le mémorial de leurs contemporains. Il est temps de redécouvrir ces témoins capitaux que furent les Goncourt.

10/2021

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Essais biographiques

Journal

D'une capitale l'autre, de villégiature huppée en ville d'eau, Marie Bashkirtseff, jeune peintre russe d'une grande beauté, tente de vivre, d'aimer, de laisser une oeuvre à la postérité. Paradoxalement, c'est son journal intime qui fera d'elle une des figures les plus touchantes de la Belle Epoque. "Jamais une vie ne fut vécue avec plus de fièvre, plus de soif de vivre, écrivait Hugo von Hofmannsthal. Elle a le grand don de l'expérience, cette sensibilité vigoureuse et délicate à la séduction extérieure, par où l'enfant et l'artiste se rencontrent. Ses nerfs sans emploi répondent avec plus de vivacité, de force et d'originalité à chaque impulsion ; son âme souple et séduisante s'enflamme et brille, mais elle se brûle à sa propre flamme et à vingt-quatre ans, elle s'est consumée".

11/2021

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Critique

Journal

C'est un journal : terrorisme, guerre civile, guerre, dictature, catastrophe, diplomatie, politique, économie politique, agriculture, manifestation, religion, people, vie sociale, vie locale, transport, accident, médias, justice, homicide, suicide, viol, pédophilie, drogue, vol, folie, économie, entreprise, bourse, science, technologie, annonce immobilière, annonce de décès, annonce de naissance, offre d'emploi, météo, sport, littérature, art, musique, théâtre, danse, cinéma, télévision.

10/2021

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Littérature étrangère

Journal

Ce journal intime, tenu au début du XIe siècle par une dame d'honneur de la cour de l'ère Heian, nous ouvre à l'univers de l'époque la plus raffinée et la plus intellectuelle du Japon ancien. Alors sous le règne de la famille Fujiwara, aussi grands fonctionnaires que mécènes, la cour de Kyôto vit là ses plus riches heures. Murasaki Shikibu en rapporte des jours où priment l'élégance et la poésie. Par le détail des atours, des couleurs, des gestes, des apparitions, elle note ses impressions, trace le portrait, parfois sévère, de dames et gens qui animent ce monde de magnificence et d'impermanence.

10/2014

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Littérature française (poches)

Journal

" Je pourrais faire un ouvrage qui ne plairait qu'à moi et qui serait reconnu beau en 2000 " (31 décembre 1804) : le voici, cet ouvrage, plus lent que les romans à s'installer dans l'amitié des lecteurs, que désarçonnent une liberté de ton, une désinvolture dans l'enchaînement des idées, un solipsisme des sensations peut-être uniques dans l'histoire de la littérature. Il s'agit, pour Stendhal, de se saisir dans l'émotion actuelle, dans l'instant, sans recul, sans distance, sans recomposition et dans l'immédiateté absolue du fugace, du mouvant. Pari fou, si l'on songe que l'acte d'écrire suppose justement du recul par rapport à ce qu'on a vécu, de la distance, du refroidissement de l'émotion. Dès qu'on fixe sur le papier un moment de sa vie, on en perd la fraîcheur, on en égare la sincérité, on le trahit. Le 4 mars 1818 Stendhal note : Je crois que pour être grand dans quelque genre que ce soit il faut être soi-même. Les livres immortels ont été faits en pensant fort peu au style ".

12/2010

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Sciences historiques

Journal

Tenu de 1828 à sa mort en 1874, le Journal de Michelet tisse ensemble un projet intellectuel et pédagogique, une ambition personnelle, une oeuvre-monde, une intimité. Il rend à jamais indissociables l'historien de la France et de la Révolution, dont le savoir et le souffle font aujourd'hui encore notre admiration, et l'homme amoureux, obsédé par la mort et célébrant la vie, consignant son intimité et celle de sa femme, disséquant sentiments et plaisirs charnels, se passionnant pour la biologie et l'histoire naturelle. Étonnante modernité d'un texte audacieux, souvent cru, qui n'a rien à envier à l'autofiction contemporaine. Tantôt intimiste, tantôt prophétique, Michelet s'adresse tour à tour au peuple, aux femmes, aux générations futures, et à l'humanité entière. Sous nos yeux se joue la célébration du moi tout-puissant, en union avec la nature et l'univers, et son identification progressive au monde. Dans un mouvement résolument moderne, la subjectivité devient le médium absolu de l'histoire. Voilà pourquoi nous entrons aussi facilement dans ce Journal, qui se lit comme le roman de notre modernité.

05/2017

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Littérature française (poches)

Journal

"La vie est tragique, absurde et cruelle. Et c'est justement ce qui me la fait trouver précieuse, digne d'amour, exaltante". Jean-René Huguenin commence une nouvelle vie. A la veille de ses vingt ans, il décide d'écrire un chef-d'oeuvre. Ou rien. Ambitieux et plein d'orgueil, Huguenin se jette tout entier dans l'écriture. Ce Journal, pensé comme une création littéraire à part entière, raconte les espoirs et les déceptions d'un écrivain en devenir, révolté par une époque jugée désespérément vide.

01/2020

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Beaux arts

Journal

Membre du triumvirat de l'art contemporain avec Picasso et Kandinsky, Paul Klee (1879-1940) n'est pas seulement un peintre de génie. Ce journal, qui jalonne sa vie jusqu'en 1917, révèle aussi un grand écrivain. Souvenirs d'enfance, premières amours, réflexions sur la peinture et la musique, notes de voyages en Italie, en Tunisie, ces textes sont indispensables à toute tentative de compréhension globale de l'œuvre de Klee ; ils prouvent aussi que ce dernier fut dans la magnification du quotidien un artiste total, un homme de l'immanence, un théoricien à l'écoute des moindres battements de la création.

03/2004

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Musique, danse

Journal

Le jour de ses 75 ans, en 1912, Théodore Dubois (1837-1924) commence la rédaction d’un journal intime qu’il tiendra presque jusqu’à la fin de sa vie. Les premières pages retracent le récit du quotidien tranquille d’un musicien adoubé par les milieux officiels mais dont la notoriété artistique est en perte de vitesse ; un compositeur « romantique » bientôt submergé par les sacs et ressacs des modernités éprouvantes de Ravel, Stravinski ou Milhaud. Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, ce journal prend une tout autre tournure. Rythmé par des nouvelles du front (déformées selon le prisme d’une presse de propagande) ainsi que par des préoccupations personnelles et matérielles, le texte de Dubois livre désormais le regard attentif et inquiet de son auteur sur un conflit aux proportions et aux enjeux inédits. Au fil des pages, le compositeur témoigne aussi de pratiques, d’institutions et de sociabilités musicales qui naissent et s’organisent avec la Grande Guerre. Héros d’un passé révolu, le compositeur du Paradis perdu analyse les événements d’après-guerre (jusqu’en 1923) avec ce même point de vue : lucide, désabusé et souvent passéiste.

05/2012

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Littérature étrangère

Journal

Homme de lettres et philosophe non 3 conformiste, mais aussi naturaliste précurseur de l'écologie, Henry D. Thoreau a régulièrement consigné ses pensées et ses notes de terrain dans un journal de 7000 pages entre 1837 et 1861. Fragmentaire par essence, cette oeuvre brosse le portrait de l'auteur et dessine son système de pensée. Dans un souci de pertinence et d'homogénéité, Michel Granger a opéré une sélection qui s'efforce de privilégier les bonnes pages de "l'ermite de Walden". Au fil des jours, l'écriture révèle une figure plus complexe, plus originale et plus authentique de cet autre Thoreau qui dialogue avec lui-même. Drôle dans le regard qu'il porte sur ses concitoyens, intransigeant dans ses choix éthiques, il offre à notre époque des remarques pleines d'actualité.

10/2014

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Littérature française

Journal

C'est l'un de nos auteurs les plus singuliers de la fin du XXe siècle. Prix Goncourt en 1980 pour Le Jardin d'acclimatation, Yves Navarre fut romancier, dramaturge, dialoguiste et côtoya le Tout-Paris des années 1970-1980. Vivant son homosexualité à visage découvert à une époque où elle demeurait souvent taboue, il fut également un ambassadeur du combat pour l'égalité des droits. Son journal intime, traversé par les figures de Marguerite Duras, Françoise Sagan, Roland Barthes et bien d'autres, fait revivre cette période d'effervescence. Les cahiers auxquels l'écrivain se confiait dépassent cependant la simple chronique : le style, la sensibilité et le panache qui s'y déploient sont les marques indélébiles des oeuvres littéraires de premier rang. Au fil de cette écriture reconnaissable entre toutes se dessine l'autoportrait d'un homme à la mélancolie profonde, tout à la fois mondain et solitaire, brillant et énigmatique. Cette partie essentielle des écrits de Navarre demeurait jusqu'à ce jour inédite. Pour réparer cette injustice, Frédéric Andrau, fin connaisseur de l'oeuvre de l'écrivain, a réuni dans ce volume les pages les plus envoûtantes de ses carnets. En guise d'introduction idéale, il signe par ailleurs une biographie de Navarre nourrie du témoignage de son entourage et de la fréquentation passionnée de ses livres.

04/2024

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Humour

Les cahiers d'Esther : Coffret en 3 volumes. Histoires de mes 10 ans ; Histoires de mes 11 ans ; Histoires de mes 12 ans. Avec un poster inédit !

Chaque planche, prépubliée dans L'Obs, met en scène une anecdote réelle racontée à Riad Sattouf par la vraie Esther (une véritable petite fille dont le prénom a été changé). Un recueil sera publié chaque année, jusqu'aux 18 ans d'Esther. Ce coffret réunit les trois premiers tomes des Cahiers d'Esther - Histoires de mes 10,11, et 12 ans. Un poster inédit est inséré dans le coffret.

11/2017

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Témoins

Des mots de longue patience. Journal d'incertitudes

Usé par son ministère mais à sa place et heureux dans sa vocation, un curé de paroisse dans la cinquantaine décide de tenir un journal. Il retrouve ce compagnon fidèle jour après jour, y notant ce qui traverse sa vie et, surtout, ses interrogations et ses réflexions sur l'Eglise de ce temps et sur son avenir ; il y relit aussi sa vocation. En même temps, l'écriture est pour lui le lieu où il se sent exister, où il est lui-même, pressé par un ministère qu'il a choisi et qu'il aime, mais exigeant et dont l'exercice est profondément remis en question. Et il découvre, par la tenue de son journal, la force de clarification des mots - par eux, il désire cheminer vers la lumière - et, par endroits, la vigueur de l'écriture poétique. Un double mouvement soutient ce texte : dans le même temps où il dépose ses réflexions sur le papier, le narrateur expéri- mente la force de libération de l'écriture. L'auteure a choisi comme narrateur son oncle Pierre, désireux de devenir prêtre et mort au séminaire à Liège, en Belgique, en 1940. Elle ne l'a pas connu et sait très peu de choses sur lui. Elle prend la plume en hommage à cet oncle qu'elle aurait tant voulu connaître (il est mort environ vingt ans avant sa naissance), mais le place dans l'Eglise d'aujourd'hui, faisant de lui un héritier de Vatican II. Le prologue expose le pourquoi de ce choix. L'occasion pour l'auteure, journaliste spécialisée dans les questions religieuses, de partager ses questions et ses réflexions sur l'Eglise de ce temps, secouée par les abus sexuels et de pouvoir et par une pandémie qui a redistribué les cartes. En se mettant dans la peau d'un prêtre, elle s'interroge sur des phénomènes qu'elle observe dans une Eglise en quête d'un nouveau souffle.

04/2023

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Littérature étrangère

Tant qu'il y a de la vie ! Journal d'Henrik Groen, 85 ans

Un hymne à la joie à consommer sans modération... même quand on a perdu ses dents ! Qui a dit que vieux rimait avec gâteux ? A 85 ans, Hendrik Groen, pensionnaire d'une maison de retraite à Amsterdam, n'a rien perdu de sa fantaisie. Lui et ses camarades du club des "Vieux Mais Pas Encore Morts" tentent par tous les moyens de pimenter les années qui leur restent... Avec succès, la plupart du temps ! Au programme : soirées de cartes échevelées, virées au Salon de la maternité pour lire la sidération sur le visage des jeunes mamans, excursions au Salon de la décoration visant à obtenir le maximum d'articles gratuits en un minimum de temps, et autres courses en déambulateur dans le parc de l'établissement. Et tant pis si l'acariâtre directrice essaie de leur mettre des bâtons dans les roues ! Nos retraités ne sont pas près de se laisser faire...

03/2019

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Poches Littérature internation

La cabane dans la vigne. Journal 1945-1948

Renvoyé dans ses foyers avant la fin de la guerre, Jünger assiste à l'agonie du Troisième Reich dans un vieux presbytère bondé de réfugiés, fuyant les bombardements et l'arrivée des Russes. Les villes allemandes flambent dans le feu du phosphore et quelques fanatiques voudraient voir le monde disparaître avec eux. Jünger ordonne de cesser toute résistance à l'arrivée des premiers chars américains ; ému, à l'exemple du prophète Isaïe, par l'image de la "Cabane dans la vigne" cernée par les ennemis victorieux, il tente de puiser dans les limites de son univers familier la force de surmonter l'épreuve. La vie reprend petit à petit : il y a le bois à casser pour l'hiver, le jardin à cultiver, les survivants à revoir. Refusant de désespérer devant l'ampleur du désastre, Jünger espère que notre monde, parvenu au point zéro du nihilisme, saura le dépasser et connaîtra une nouvelle naissance.

01/2014

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Immigration

Les plages de l'embarquement. J'ai passé sept ans avec les migrants et les passeurs dans le Nord de la France

J'ai passé sept ans avec les migrants et les passeurs dans le Nord de la France Il y a huit ans, j'ai découvert une ville de tôles baptisée " la Jungle de Calais ". Les migrants étaient pour moi un sujet de reportage comme un autre. Mais j'ai été happé par leur obstination, leur errance et leur créativité pour surmonter chaque obstacle sur la route de l'exil vers l'Angleterre. Ce livre raconte sept années parmi eux. J'ai connu l'époque des clandestins passant par l'Eurotunnel, cachés dans les trains ou dans les camions. J'ai vécu le grand incendie de la Jungle, côtoyé les bénévoles, observé les trafics, les manipulations, les trahisons, et entendu tant de mensonges. J'ai vu naître et grandir le juteux business des traversées par la mer. Les tentatives désespérées en kayak ou en pédalo, l'apparition des mafias, des armes et de passeurs redoutablement organisés. Les migrants m'appelaient Joulian, Jiloun ou John. J'étais ce Faransia qui entrait dans leur intimité et dont ils ne savaient rien. Afin de leur rendre ce qu'ils m'offraient, j'ai eu besoin d'embarquer avec eux sur un canot pneumatique pour traverser la Manche. Cette histoire, c'est leur vie, la mienne, un univers fou, à deux heures d'autoroute de Paris.

05/2023

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Ouvrages généraux et thématiqu

La naissance de l'opinion publique. Bertin et le Journal des débats

Qui est ce personnage au regard pénétrant qui domine le XIXème siècle : Le fondateur du "Journal des Débats littéraire et politique" et font de lui l'inventeur d'une force qu'on appellera "le Quatrième pouvoir" : la presse ? Son nom : Louis François Bertin l'Aîné (1766-1841), dont on peut admirer le portrait par Ingres, au Musée du Louvre. Apôtre et défenseur de la liberté, il sera tout d'abord victime de l'autoritarisme impérial. Il connaîtra la prison, puis l'exil, avant d'être dépossédé de son journal en 1811 et 1814 mais la grande période commence pour lui avec la Restauration. C'est en pensant à sa collaboration aux Débats politiques et littéraires que Chateaubriand attrait pour un pamphlet devant un juge qui lui demanda sa profession, répondit avec fierté : "Journaliste" . Les Débats, journal conservateur éclairé, exerça pendant près d'un siècle une influence considérable sur la vie intellectuelle et artistique de la France. Bertin l'Ainé fut aussi un grand mécène. Il comptait parmi ses amis les plus connus qu'il recevait à l'époque romantique dans son domaine de Bièvres : Hugo, Lamartine, Ingres, Berlioz, fréquentaient son salon. Le succès de son journal lui permit d'engager des correspondants dans les grandes capitales d'Europe. Une telle diversité porte la marque d'une personnalité exceptionnelle que ce livre vous invite à découvrir. Cette biographie est une contribution à l'Histoire de la presse et un tableau coloré d'une société représentée ici à travers ses personnalités les plus prestigieuses. Jean-Paul Clément est l'auteur de nombreux ouvrages dont deux biographies de Chateaubriand, l'autre de Charles X. Dans Bertin, il ressuscite un personnage méconnu en s'appuyant sur des témoignages et des documents inédits.

09/2023

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Histoire de France

Jours de guerre (1914-1918). Les trésors des archives photographiques du journal Excelsior

Créé en 1910, Excelsior fut le premier quotidien à utiliser largement la photographie. Pendant la Grande Guerre, ses photoreporters ont arpenté la France et la ligne de front. Ils en ont rapporté plusieurs dizaines de milliers de plaques de verre...

10/2013

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Littérature française

Journal intime de crimes ordinaires

Voici dix petits textes de confessions intimes, liés les uns aux autres. Tel un inventaire du crime illustré, les mots et les dessins, vont projeter sur votre rétine, des images animées, qui scrutent, épient, dissèquent le mauvais genre humain.

04/2020

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Non classé

Tashi Delek - Journal de voyage

Le Tibet en septembre 2013... Témoignage précieux d'une culture en voie de disparition.

10/2019

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Littérature étrangère

Journal de guerre (1939-1945)

A chaque étape du "désastre [...], j'étais à une place bien en vue". Dans son journal, inédit en France, Evelyn Waugh (1903-1966), révèle avec une ironie féroce les coulisses de l'armée britannique durant la Seconde Guerre mondiale. Il tirera également de la drôle de guerre qu'il a menée sa célèbre trilogie romanesque Sword of Honour, avec Hommes en armes, Officiers et Gentlemen et La Capitulation. A 36 ans, il n'a pas été facile pour l'écrivain catholique de servir comme officier dans l'armée britannique. Mais guerre ou pas, il reste le même contempteur de l'univers qui l'entoure. L'entraînement des premiers jours ? "De nombreux jeux dégradants conçus pour nous maintenir de bonne humeur mais qui, en réalité, vont à l'encontre de la dignité naturelle de l'homme." Envoyé d'une unité à l'autre, il participe à des opérations militaires variées et insolites. D'abord, en 1940, l'expédition avortée de Dakar aux côtés des Français libres menés par le général de Gaulle. Puis l'évacuation catastrophique de la Crète par l'armée britannique. Enfin, c'est une longue mission dans les Balkans avec l'improbable Randolph Churchill, fils du Premier Ministre, auprès de Tito et de ses Partisans durant laquelle les deux hommes survivent au crash de leur avion, un des nombreux épisodes d'une relation tumultueuse. Entre deux départs, dîners arrosés en compagnie de l'establishment londonien dans la capitale écrasée par les bombes, décrits avec le même cynisme décapant. Durant ces cinq années de guerre, Waugh poursuit, jour après jour, sa critique insolente de la vie sociale britannique et de l'un de ses plus fiers fleurons, l'armée.

09/2019

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Actualité et médias

Carnets de guerre. Journal satirique

La violence, c'est pas un coup de poing dans la gueule. La violence, c'est de voir des plumeaux manger des bagels sans gluten dans des villes qui ont été bâties il y a 1700 ans par des Gaulois et des Wisigoths de cent-trente kilos. A Raqqa, si une femme oublie de faire la vaisselle, on lui coupe la tête. A Paris, bander le matin c'est oppressif et misogyne... Ce monde commence à devenir compliqué. La boxe, le rugby, le pinard et le gras de canard vont disparaître, comme les dinosaures. Moi, je veux créer un Jurassic Park de la burne pour sauver tout Ca. Dans l'enclos des tyrannosaures, on mettra Vincent Moscato, Vladimir Poutine, Eric Cantona, Marc Mercier, Jean Lassalle et Gérard Depardieu. Comme Ca, les métrosexuels de 2030 pourront savoir ce que c'était qu'un homme avant qu'ils puissent être enceintes. Dans la France actuelle, pour rembourser la dette, il faudrait taxer la lâcheté ou l'épilation plutôt que le diesel, parce que 60 000 fichés S sur le territoire, çà fait relativiser sur les particules fines. Avertissement de l'auteur : ce livre a tellement de burnes que les seuls marque-pages qu'il accepte, c'est un permis de chasse ou une photo dédicacée de Staline. Ce livre est tellement violent que j'ai failli te le vendre avec une muselière pour pas qu'il attaque tes enfants. Ce livre est tellement solide que si tu le mets en prison, il essaye d'enculer Booba et Kaaris dès la première douche.

10/2018