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Rue des Cascades

Extraits

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Thèmes photo

142 rue mère Yacine

Les photographies qui composent la série " 142 rue Mère Yacine " prennent sens ensemble, depuis le montage d'une séquence qui s'étend de 11 H 45 à 16 H 32, d'autres sur plusieurs jours, semaines, mois. Le temps passe dans la rue d'une banlieue populaire de Dakar, où les lotissements s'étendent très rapidement, au rythme de la spéculation immobilière. Loin des grands chantiers, un immeuble modeste est en construction au 142 rue Mère Yacine. Pendant trois ans, entre 2018 et 2021, il se transforme sous nos yeux, au rythme des économies manquantes du propriétaire, lentement. Les images, comme usées, abîmées par le temps, ont été prises depuis l'intérieur d'une tente en tissu, posée sur le trottoir d'en face, à la manière ordinaire des tentes montées provisoirement, qui abritent les baptêmes, les mariages, les décès, les veillées, les fêtes, les repas. Pliées, dépliées, repliées, recousues, ces tentes sont montées et démontées à même la rue, le temps des cérémonies : lieu temporaire qui tout à la fois dissimule et rend le photographe très visible, c'est un dispositif plastique éphémère et en même temps en relation. Dans le quartier, on sait que c'est la tente du photographe.

06/2022

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Littérature française

La rue du clocher

La vie d'Eugénie, petite fille introvertie née en Charente, s'avère balisée de drames familiaux qui auront un retentissement sur sa vie d'adulte. A l'adolescence, un événement la fait définitivement basculer dans l'obsession de la vengeance. Y laissera-t-elle son âme ? Martine Valladeau est née en 1952 en Normandie. Elle a toujours eu le goût de l'écriture, et c'est maintenant qu'elle est à la retraite qu'elle s'y consacre à plein temps. Elle emmène avec beaucoup de pudeur le lecteur dans la complexité de la psychologie humaine, depuis les angoisses d'une petite fille jusqu'à la volonté inébranlable d'une jeune femme à la recherche du châtiment suprême.

08/2014

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Cinéma

7 rue du Lézard

Arcady Egry, alias Alexandre Arcady, est né à Arad, à la frontière de la Hongrie et de la Roumanie et, par les hasards du sang mêlé, a passé son enfance dans les ruelles étroites et bruyantes de la basse Casbah d’Alger, au 7 rue du Lézard. Seule l’écriture de cette autobiographie lui a permis de faire sauter le verrou de sa maison d’enfance, aujourd’hui en ruines - mais intacte dans sa mémoire. Dans ce livre, il raconte ainsi comment il est devenu un raconteur d’histoires qui, toujours ou presque, restent liées à ses racines et à son enfance algérienne. Le cinéma est toute sa vie. Pour lui, il a servi de lien entre les deux rives de la Méditerranée. Depuis le Coup de Sirocco en 1979, Alexandre Arcady, d’abord comédien, puis producteur, réalisateur, a enchaîné les sagas, au fort accent pied-noir, comme le Grand Carnaval ou le Grand Pardon ; des films d’amour comme Pour Sacha, des polars comme l’Union Sacrée, et des oeuvres plus engagées comme K ou 24 heures, la vérité sur l’affaire Halimi. Roger Hanin, Patrick Bruel, Marthe Villalonga, Gérard Darmon, Jean Benguigui ont fait partie de cette famille de cinéma très méditerranéen - mais aussi Sophie Marceau, Jean-Paul Belmondo, Zabou Breitman. 7 rue du Lézard raconte trente-huit ans de carrière dans le cinéma, après presque dix ans de théâtre, dix-sept films, des rencontres, des chocs, des émotions sur les plateaux de tournage mais aussi des blessures intimes, des déceptions, des interrogations d’un homme qui vibre derrière sa caméra et d’un citoyen en perpétuel questionnement.

04/2016

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Faits de société

Rue Entre Deux Saisons

Ma vie s'est arrêtée le jour où, lors d'une énième dispute avec mon père, la peur a pris le dessus. C'était lui ou moi. Je savais qu'un drame allait forcément arriver et que, malgré la peur, il me faudrait me défendre... jusqu'à entraîner la mort. Au coeur d'un procès pour meurtre, tout mon passé se retrouve dévoilé aux yeux de tous. Ce drame est décortiqué et l'horreur vécue pendant des années est enfin révélée. Ce témoignage, c'est ma vie, mon drame. C'est également l'histoire de beaucoup de victimes de parents violents et alcooliques qui franchissent les limites.

10/2023

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XIXe siècle

Rue de la Moïka

Une petite réussite, avec des personnages attachants et courageux, un bon dosage d'humour, d'histoire et de suspense ! Le 13 mars 1881, le tsar de Russie Alexandre II est assassiné. Trois ans plus tard, un nouvel attentat se prépare dans l'ombre contre son fils Alexandre III. Dans le climat de tensions internationales qui règne à Saint-Pétersbourg, tandis que tout accuse la Grande-Bretagne, un officier et sa courageuse épouse refusent de croire aux apparences. Chacun de leur côté, ils vont mener une enquête qui les conduira rue de la Moïka... Un roman haletant dans les fastes de la Russie à la fin du XIXe siècle, des héros attachants et perspicaces, de l'humour et du suspense. A partir de 10 ans. A propos de Pauline de Vencay : Issue d'une formation littéraire, Pauline de Vençay est diplômée d'une licence d'Histoire et d'un master axé sur le patrimoine culturel. Après avoir évoqué la Vendée dans son roman Royalement vôtre , elle nous emmène ici dans la Russie des Tsars.

06/2021

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Poésie

En traversant la rue

"En traversant la rue" est le quatrième ouvrage publié par Edilivre. Un premier thème qui se répartit en plusieurs chapitres ; des textes parfois courts qui relatent le fil fragile d'instants douloureux ou de tendresse, mais aussi des parcours à cloche-pied dans une ville teintée à la fois de joie partagée et d'indifférence. Quand les fantômes rôdent dans les rues et les bistrots de la ville, quand à l'ombre des néons les rêves sont à la dérive, quand un ennemi imperceptible et sournois rétrécit l'horizon, le temps s'habille de solitude. En traversant la rue sur les pavés semés d'embûches le trottoir d'en face recueille les blessures de la vie. Il faut avoir la force d'affronter le mauvais temps, pour passer de l'incertitude à l'espérance, de l'ombre à la lumière. Le recueil aborde en deuxième thème le sujet de l'errance.

08/2021

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Littérature française

Rue de la Fontaine

Rue de la Fontaine, de la fin des années quarante à nos jours, une famille et trois générations de femmes : mammgozh, la grand-mère, sa fille Denise, et Rose sa petite-fille. Rose raconte le bonheur de son enfance en Bretagne, sur les grèves du Trégor, entre mamm-gozh et tadkozh. Puis Denise, sa mère, partie à Paris, décide de la reprendre avec elle, et commencent alors des années de calvaire. Dévastée par une trahison amoureuse, Denise a perdu pied, et Rose se retrouve face à une femme violente. Mais les souffrances endurées ne viendront pas à bout de son désir d'une autre vie... Inspiré d'une histoire vraie et de divers témoignages, le récit bouleversant d'un chemin de renaissance sur fond de renouveau culturel.

11/2009

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Livres animés (3 ans et +)

Rue de la peur

Des illustrations remplis de détails cocasses. Une approche de la différence et de la tolérance. Un livre se déplie et forme une rue habitée par un cerbère, un cyclope, un minotaure, un yéti..., que l'on découvre en ouvrant la porte de leur maison. Une petite fille, pas très rassurée, doit longer ces habitations pour rejoindre son grand-père. Celui-ci lui apprend que derrière chaque monstre se cache une âme sensible.

12/2021

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Littérature française

La rue de paris

Vous souvenez-vous de la chanson française gagnante de l'Eurovision en 1971 ? Séverine chantait cette ballade : "On a tous un banc, un arbre, une rue Où on a bercé nos rêves On a tous un banc, un arbre, une rue Une enfance trop brève. . ". En effet, j'ai bien eu ce banc recouvert d'un simili cuir brun, celui de ma grand-mère où elle brodait et tricotait, cet arbre, un plantureux cerisier en fleurs, cette rue, celle de Paris où se trouve la maison que je vous emmène visiter avec toute une pléiade d'objets, toutes ces choses, toutes ces phrases accumulées à la manière de Georges Pérec, comme une suite de fragments épars, d'éclats lumineux de mon enfance lorraine.

12/2021

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Littérature française

Traquenard rue Jules Vallès

Afin de calmer la colre de son fils adoptif ‰gŽ dÕune dizaine dÕannŽes, lÕauteur raconte ˆ lÕenfant les Žvnements qui ont prŽcŽdŽ la fin tragique de son pre, Dominique Fabre. Aprs un stage ˆ lÕŽcole des inspecteurs de police o ils se sont rencontrŽs, leur formation ˆ la Brigade Territoriale de Paris est confiŽe ˆ lÕancien, Lucien Mirail. Par la suite, une amitiŽ semblant indestructible nait au sein du trio. Lors dÕune opŽration de flagrant dŽlit o tout le service est mobilisŽ, Lucien et Dominique sont abattus. Dans un dernier souffle, celui-ci fournit des renseignements ˆ lÕauteur qui, devant les rŽactions de ses supŽrieurs, lÕincitent ˆ mener sa propre enqute, sans en rŽfŽrer ˆ sa hiŽrarchie. Sa volontŽ, son obstination vont lÕaider, aprs bien des pŽripŽties, ˆ dŽbusquer les responsables de ce Ç traquenard rue Jules VallsÊÈ.

12/2014

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Théâtre

Un dîner, rue Göring

La scène se déroule à Berlin, en février 1941. L'issue de la guerre est incertaine. Joseph Goebbels, ministre de la Propagande d'Adolf Hitler, reçoit ce dernier à dîner à son domicile. Pendant le dîner, les deux hommes, proches amis, discutent à bâtons rompus de choses et d'autres : de l'invasion prochaine de l'URSS et des Etats-Unis qui vont entrer en guerre, de l'art de la propagande, de Churchill et de Marlène Dietrich, de la future colonisation du Brésil, de problème conjugaux, de la mort prochaine des religions, de la formation des professeurs et du travail obligatoire des femmes, de leurs enfances respectives et de leurs goût en peinture, en buvant du champagne.

01/2015

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Littérature française

La rue Saint-Maurice

Si la Bretagne est une terre de marins naufragés, elle n'en demeure pas moins un pays où les hommes sont hantés par le mythe de leur retour. Claude Caër, dans un style à la fois simple et profond, nous raconte cette histoire où la réalité nous dévoile, derrière les apparences, la face cachée de la nature humaine. Amour et crime vont alors comme signer un pacte d'alliance. Ainsi Locronan sera le théâtre d'une histoire de marin disparu, d'amour et de chair jusqu'au sang qui va couler... mais on ne vous en dira pas plus. Ce livre résonnera en chacun de manière différente. C'est ce qui fait aussi sa richesse et déclenchera en chacun un vrai bonheur de lire.

02/2012

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Actualité et médias

21 rue la Boétie

« Vos quatre grands-parents sont-ils français ? » me demanda le-monsieur-de-derrière-le-comptoir. Cette question, on l'avait posée pour la dernière fois à ceux qui devaient bientôt monter dans un train, venant de Pithiviers, de Beaune-la-Rolande ou du Vel d'Hiv... et cela suffit à raviver en moi le souvenir de mon grand-père, Paul Rosenberg, ami et conseiller des peintres, dont la galerie se trouvait au 21, rue La Boétie. Attirée, malgré moi, par cette adresse et par l'histoire tragique qui y est attachée, j'ai eu soudain envie de revisiter la légende familiale. [.] J'ai voulu comprendre l'itinéraire de ce grand-père lumineux, intime de Picasso, de Braque, de Matisse, de Léger, devenu paria sous Vichy. [.] Ce livre raconte son histoire qui, indirectement, est aussi la mienne. A. S. Anne Sinclair retrace, entre anecdotes et nostalgie, l'histoire familiale marquée par l'art et la guerre.

03/2013

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Littérature française

Rue du Japon, Paris

Tout a commencé par un jeu. Le lieu : Paris. Les joueurs : un écrivain français à la recherche d'un sujet ; une jeune Japonaise en quête d'aventure. Ils se rencontrent, font l'amour. Petit à petit le goût qu'ils ont l'un pour l'autre devient si fort qu'il leur faut compliquer les choses. Installer des rituels - miroirs, accessoires divers. Et surtout garder les traces de leurs étreintes : enregistrements au magnétophone, photos, à quoi s'ajoute le récit de leurs émois que chacun consigne dans son carnet " secret " - si peu secret qu'ils en font la lecture alternée. Peut-on fixer l'empreinte d'un amour ? Tel est l'un des sens que revêt ce livre complexe. L'extrême crudité des mots qui accompagnent la répétition de l'acte sexuel ne parvient pas à faire oublier le sentiment poignant de la fuite du temps. Et ce roman si français par les paysages qu'il traverse - Paris, la Bourgogne - s'imprègne alors d'une mélancolie très japonaise.

12/1998

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Poches Littérature internation

Rue de la Tranchée

Matti le Finlandais est rescapé d'une guerre bien particulière. Celle de l'émancipation des femmes. Il avait pourtant tout fait pour éviter la débâcle. Mari aimant, père idéal, quotidiennement dévoué au bien-être de son si doux foyer. Du moins, le croyait-il. Car, du jour au lendemain, le voilà abandonné par sa femme et par sa fille. La raison officielle ? Une simple gifle. L'officieuse ? Son manque de combativité. Dès lors, il va errer dans les limbes de la solitude avec une seule idée en tête : reconquérir sa famille en lui offrant une jolie maison rouge...

05/2007

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Littérature étrangère

Rue du Petit-Ange

Des journalistes commencèrent à faire leur apparition. Isaac fut contraint de tenir une conférence de presse : " Monsieur le Maire, pouvez-vous nous parler de la constitution de votre équipe municipale ? " Le roi ne put faire autrement que de mentir un peu : " Tout ça prend forme... Mon équipe sera en place pour Noël. - Pouvez-vous nous dire un mot des Knickerbocker Boys ? Est-ce une fraction du Ku Klux Klan ? - Peut-être. Je les détruirai, quels qu'ils puissent être. " Le commissaire Sidel vient donc d'être élu maire de New York, mais un mois reste à courir avant sa prise de fonction. Alors il s'enfonce dans les bas-fonds de la ville, déguisé en clochard et sous le pseudonyme de Geronimo. L'idée, c'est d'aller voir de près quels sales coups peut bien préparer le gang des Knickerbocker Boys. Là-dessus resurgit Anastasia, alias Margaret Tolstoï, le grand, le seul amour d'Isaac Sidel, qui a grandi rue du Petit-Ange à Odessa. Elle a fait du chemin depuis et... Mais on ne raconte pas un roman de Jerome Charyn. On se laisse emporter, bousculer, charmer, surprendre...

02/2002

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Religion

Domicile fixe : la rue

Enfant révolté, fougueux et difficile, Christophe Boumard passe les dix-huit premières années de sa vie en orphelinat. Privé de liberté et d'amour, il se forge une carapace de "dur à cuire" et rêve d'un avenir meilleur. Avide de sensations fortes, il débarque à Paris vers l'âge de vingt ans, en 1964. Cette ville de lumière l'éblouit, il découvre enfin ce qu'il croit être la vraie vie : le tabac, l'alcool, le jeu, les filles. Et c'est le début de la déchéance : pour financer son grand train de vie, il multiplie les vols et se retrouve en prison. Quand il en sort, c'est pour se retrouver à la rue et se nourrir dans les poubelles. Un soir, errant dans les rues de Paris comme un animal, il rencontre une fille qui lui offre une cigarette de "hasch", puis un peu de "poudre blanche". Christophe se voulait libre, le voilà à nouveau prisonnier, de la drogue cette fois. Au bord du gouffre, la santé ruinée, il sera délivré quelques années plus tard par une puissance capable de briser les chaînes les plus lourdes... Et c'est le début d'une nouvelle vie, la découverte de la vraie liberté et de l'amour qui ne s'achète pas...

06/2014

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Littérature française

Rue Blanche. Film intérieur

La mélancolie habite ce récit désenchanté qui se déroule sans chronologie véritable, comme un long panoramique sur l'enfance, les amours, les errances, mais aussi les expériences, déceptions et bonheurs d'un professionnel du cinéma et d'un amoureux des avant-gardes du septième art. La rue Blanche traverse tout le livre comme une immense veine qui irrigue l'écriture, qui anime ses fantômes et qui protège l'auteur du vieillissement.

07/2020

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Poches Littérature internation

Rue de la Miséricorde

Une histoire de passion et de mort au cœur de Rio au XIXe siècle. Enfermés dans l'univers clos d'une corvette, Bom-Crioulo, grand noir au physique troublant, et Aleixo, jeune mousse charmeur, courent vers une aventure hors du commun. Ce roman écrit en 1895 surprend par sa modernité. L'exigence naturaliste d'objectivité, d'observation s'accompagne de scènes dramatiques et violentes visant à montrer les inclinations contradictoires qui poussent les hommes à des actes déterminés par l'instinct et les circonstances.

03/2007

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Critique littéraire

24, rue Parmentier Oujda

Témoignage... Maroc... 1974 à 1976... Fuyant la caserne, je me suis retrouvé pourtant Volontaire pour un Service National Actif mais sans fusil, un bâton de craie entre les doigts avec lequel j'ai décrit de fulgurantes arabesques qui me tiennent encore éveillé aujourd'hui... J'étais loin de me douter que malgré ces grands espaces désertiques où je me suis senti si libre, j'allais me retrouver coincé dans une société non point bloquée, comme en France, mais cadenassée où j'ai bien failli disparaître...

10/2015

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Romans historiques (poches)

25, rue Soliman Pacha

Le Caire, années 1950. Farouk est roi. Les jasmins et les magnolias embaument. Les prétendants donnent des fêtes au pied des pyramides pour séduire les jeunes filles. Une société élégante parle d'amour et de sujets futiles en français, en grec, en italien... Des immigrées distillent de l'eau de rose. Des révolutionnaires parlent, eux, de renverser le régime. Une bulle du XIXe siècle occidental en plein Islam, épargnée par la guerre. Et sans doute par la réalité. Sept personnages sont emportés à leur insu par les flots de l'Histoire. Soussou, ambitieuse à défaut d'être jolie, et sa sueur, Nadia, innocente et révoltée. Siegfried, Werther en quête d'amour et de destinée. Sybilla, épouse d'un diplomate, qui succombe dangereusement au vertige sensuel de l'Egypte. Loutfi, trotskiste ascétique, qui rêve de justice sociale. Ismaïl, apollon au cœur naïf, mais à la tête froide, qui trouvera son identité dans le groupe des officiers insurgés. Fatma et Entezami, mondaine vaine, riche et désabusée. Tout à coup l'incendie éclate : le 26 janvier 1952, Le Caire brûle. La royauté chavire. La bulle a crevé. Les privilégiés d'hier sont sommés de choisir entre l'Egypte de Nasser et l'Occident, c'est-à-dire l'exil, son pain dur et surtout la perte de l'identité. " Personne ne comprendra jamais ce que nous avons vécu... " Ce roman chatoyant, contrasté, nostalgique, d'un réalisme quasi photographique, est peut-être le plus immédiatement intime de Gerald Messadié, qui est né au Caire et a connu cette époque, ce monde.

10/2003

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Policiers

Cabine 288, rue Brigal

L' histoire tourne autour de la cabine téléphonique 288, rue Brigal, à Bruxelles, prête à être démantelée par Belgacom. Elle revêt une importance capitale pour l'héroïne du roman, Jacotte Tripatin, pour de multiples raisons. C'est l'histoire d'un cadavre découvert dans la cabine, d'un enlèvement, d'une bande de mafieux russes et d'une ferme avec ses deux habitants, la fermière Iris et son fils, Bébert. Jacotte et Jef, deux seniors retraités, s'ennuient et se voient propulsés dans une enquête pas comme les autres, tout en ne perdant pas de vue leur projet " cabine " à valeur socio-culturelle et l'avenir de Bébert, fort compromis par les circonstances.

03/2019

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Littérature française

3 Bis, rue Riquet

3 bis, rue Riquet, Toulouse, un immeuble banal. Enfin pas tout à fait : Cécile, au rez-de-chaussée, traductrice agoraphobe, ne quitte jamais son appartement. Elle surveille les allées et venues de ses voisins par le judas de sa porte et s'invente des vies rocambolesques. Au premier, Lucie aime sortir et boire dans les bars en espérant le grand amour, via Internet. En face, Madeleine, la comtesse Mado des trottoirs, a connu ses heures de gloire dans le quartier. L'âge venu, il ne lui reste plus guère de clients et les fins de mois sont difficiles. Seul homme de l'immeuble, Marc est un quadragénaire arriviste qui a spéculé en achetant le dernier étage. La présence d'une prostituée qui travaille à domicile dérange ses plans, il aimerait bien s'en débarrasser. Mais la comtesse Mado a du répondant, et la crudité de son langage cloue le bec du jeune cadre sans scrupule. Pourtant, la vieillesse est cruelle, et le métier exige d'avoir les idées claires. Alors Mado bat le rappel de ses amies tapineuses et de ses voisines. C'est le combat de la dernière chance, elle le gagnera !

04/2018

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BD tout public

La rue Cases-Nègres

A la rue Cases-Nègres, à Petit-Morne, bourg de Rivière Salée, José et ses amis vivent dans l'insouciance tandis que leurs parents, de pauvres gens, triment dans les plantations de canne à sucre pour gagner leur vie. C'est dans ce contexte que commence La Rue Cases- Nègres, ce grand classique de la littérature antillaise. A travers le récit de sa propre enfance, Joseph Zobel y décrit la Martinique des années 1930, en peignant avec la mémoire du coeur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves, acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.

03/2018

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Littérature française

Côté chaire, côté rue

En sortant des sentiers battus de l'histoire des grands réformateurs, ce livre présente l'impact de la Réforme sur la vie quotidienne genevoise. Si la protestation de Martin Luther (1483-1536) contre les indulgences par ses 95 thèses en octobre 1517 n'a en effet pas eu de véritables répercussions sur Genève avant le début des années 1530, les idées luthériennes ont engendré une agitation religieuse qui n'est pas le fait de l'action individuelle d'un réformateur, mais qui émane d'une mobilisation collective. A travers vingt-deux courts chapitres assortis d'illustrations et de documents d'archive retranscrits et modernisés, on comprend comment les Genevoises et les Genevois se sont impliqués dans le processus de Réforme et la manière dont la conversion religieuse de la ville a affecté leur quotidien. Les archives se font l'écho de l'activisme, des résistances ou de l'adaptation des hommes, des femmes, comme des enfants et témoignent des changements qu'impose la pratique du nouveau culte, qui ont parfois donné lieu à des représentations mythifiées. L'ouvrage couvre l'ensemble du XVIe siècle, jusqu'aux premières commémorations de la Réforme qui interviennent en 1617.

06/2018

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Policiers

Rue du Dragon-Couché

Professeur de théâtre en crise devenu détective privé cherche à s'innocenter après s'être mis dans de beaux draps. Que faire à Taipei quand on adore le roman policier, la philosophie et le Kung-fu sinon s'installer Rue du Dragon couché, au coeur du quartier des pompes funèbres, et y devenir détective privé ? C'est ainsi que Wu-cheng, dramaturge raté qui en veut à tout le monde après que son couple s'est désagrégé, décide de tout envoyer valser : il quitte son poste à l'université, déménage et devient détective privé par amour des intrigues. Très vite, il reçoit la visite d'une certaine Mme Lin, inquiète que sa fille ne parle plus à son père. Une histoire a priori anodine mais qui, une fois réglée, lui redonne des ailes : le voilà convaincu de pouvoir traquer le premier serial killer de Taïwan, un bouddhiste fou. Passionné, il se donne corps et âme dans l'enquête, se déplaçant sur les scènes de crime... jusqu'à éveiller les soupçons de la police. RDV étranges, caméras de surveillance et ragots divers, tout l'incrimine. Une seule solution : débusquer ce meurtrier qui semble très bien le connaître...

01/2019

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Littérature française

Rue de la gare

"Puis, un jour, apparurent sur des motos des soldats gris qui firent pleurer ma mère. L'un d'eux s'arrêta près de nous, ôta son gant et nous indiqua, avec les doigts de la main, le nombre de "Kinder" qu'il avait laissés dans son pays. Il fit alors vrombir son moteur et s'éloigna en lançant : "Malheur, la guerre ! " Des larmes qui coulaient, des expressions comme "Boches", "Prussiens", "conflagration", lâchées dans la consternation générale, surtout par mon grand-père, atteignaient peu, je dois dire, le petit bonhomme de huit ans à peine que j'étais". Dans les années trente et quarante, Michel n'est qu'un gamin de la Somme essayant de comprendre le monde des grandes personnes. Avec un regard naïf, ou faussement naïf, il raconte ses bonheurs de "gosse des rues" que ses parents, commerçants, préfèrent ne pas avoir dans leurs jambes, sa terreur d'assister aux combats pour la libération du village, la joie indicible de voir surgir dans la rue des tanks anglais, ou encore ses émois d'adolescent lorsque les filles - ce mystère - viendront poser leurs jupes sur les bancs du même collège. Au cinéma "Eden" on découvre la vie, mais dans la rue de la gare, avec les copains, on "fait son cinéma" à partir des petites scènes de la vraie vie.

01/2019

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Littérature française

Rue du Chemin Vert

En lisant ce nouveau récit de Michel-Olivier Dury, le lecteur, comme avec son premier ouvrage La vie comme ça, retrouvera une part de lui-même par les émotions que l'auteur a su distiller tout au long du livre. Le héros qui est "je" , en entrant en pension, va découvrir l'amitié fraternelle à travers deux autres pensionnaires, tout aussi émouvants que contradictoires l'un et l'autre. Il va faire l'apprentissage de la vie, tant à travers le plaisir de l'étude que de la transgression, jusqu'à découvrir l'amour. Véritable initiation pour ce jeune garçon qui vivra des moments inouïs et qui le marqueront à jamais. Un vrai plaisir de lecture grâce au style de l'auteur tout en musicalité qui peut tous nous émouvoir. Enfin, oui il faut le dire, la fin est bouleversante car elle porte tout le livre en elle.

12/2018

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Romans historiques

Rue Freta. Varsovie 1920

11 novembre 1918. L'Europe célèbre la fin de la guerre. A Varsovie, le général Pilsudski proclame l'indépendance de la Pologne. Jack Tarnowski, journaliste américain d'origine polonaise, ancien combattant de l'escadrille Lafayette, part à la découverte du pays. 123 années après les partages, la Pologne est à reconstruire : à l'intérieur du pays, les divisions sont profondes et sur les frontières, les voisins, Russie bolchevique et Allemagne révolutionnaire, contestent l'existence même du pays. Au cours de ses reportages, Jack va découvrir que la guerre n'est pas terminée en Europe. Il va rencontrer le général Pilsudski, et son premier ministre, découvrir la force et la détermination des Polonais à vivre libres, croiser les soldats perdus combattant dans les corps francs en Courlande, et les hommes de la Tchéka, la terrible police politique des nouveaux maîtres de Moscou. Il deviendra l'ami d'un patriote polonais et rencontrera l'amour. Il combattra aux côtés de ses nouveaux amis pour que la Pologne puisse exister. Et devra choisir dans quel pays construire sa vie, en Pologne ou aux Etats Unis.

05/2016

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Actualité et médias

Quatrième étage, rue Réaumur

Après le verdict implacable que le principal avait rendu en présence de ses parents, Ronan Gauvain augurait avec pessimisme de l'avenir. Son renvoi du collège n'allait-il pas le poursuivre un fichu bout de temps ? Naturellement, Ronan était encore trop jeune pour connaître au mieux tous les ressorts existentiels qui accompagnent la vie d'un homme. De surcroît, comme tout être au monde, personne ne lui avait remis les clefs de son destin. Les mois qui suivirent sa mise à la porte du collège avec perte et fracas, seront en vérité l'opportunité pour Ronan de découvrir un espace féminin enchanteur, édénique ; un lieu qui, durant près de deux années, ne cessera de le fasciner. Aussi, Ronan y fera l'apprentissage d'un libertinage tout à fait inattendu.

06/2015