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Heures de rêve et de guerre, 1914-1916. Les carillons et glas de l'adolescence

Extraits

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Lecture 9-12 ans

Le journal d'Adèle (1914-1918)

Jeudi 30 juillet 1914. Adèle commence le journal qu'elle a reçu pour Noël : un ami auquel elle peut raconter sa vie, confier ses espoirs, ses craintes et ses secrets. Les années passent dans le petit village de Crécy, en Bourgogne, rythmées par les travaux des champs, les nouvelles du front... La guerre tue, mutile les soldats, les campagnes. Adèle grandit et rêve de devenir institutrice dans un monde meilleur...

08/2007

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XXe siècle

Jaurès. Une autre histoire 1914-1915

Si, en date du 16 mars 1914, Henriette Caillaux n'avait pas assassiné Gaston Calmette, directeur du Figaro, Joseph Caillaux, son époux, aurait accédé à la fonction de président du Conseil. Il aurait alors nommé Jean Jaurès au poste de ministre des Affaires étrangères, et ce dernier n'aurait pas connu une funeste fin le 31 juillet 1914. Ainsi, une autre histoire aurait pu s'écrire. Quelle autre histoire ? Jaurès, ministre du gouvernement Poincaré, immergé au sein d'un contexte politique intérieur et international particulièrement instable, aurait-il pu participer à infléchir la destinée d'une Europe assise depuis des décennies sur une poudrière ? De Paris à Vienne, en passant par Sarajevo, Potsdam, Saint-Pétersbourg, Belgrade, Londres, Berlin, c'est à un périple mouvementé où se mêlent faits historiques et fictionnels, entre alliances, manipulations et trahisons, que le lecteur est convié.

09/2023

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Littérature française (poches)

Soldats bleus. Journal intime 1914-1918

Homme du front et homme de l'arrière, dans le confort parisien du Palais d'Orsay ou de ses chères maisons de Rochefort et d'Hendaye, ami des puissants comme des humbles, touché par la guerre qui menace son fils, ses amis, tous ceux qu'il aime, Pierre Loti nous offre dans ces pages une large vision de la Grande Guerre, vécue, vivante, inattendue. Les phrases sur le fouillis champêtre du jardin d'Avize semblent annoncer, d'une guerre l'autre, Un balcon en forêt de Julien Gracq : la nature en fête, retournée à l'état sauvage, sous le sifflement des obus, et la menace d'une catastrophe. La montée aux Dolomites en téléphérique, et nous voici plongés dans le plus irréel paysage. Venise emmaillotée comme par Christo, les tamtams africains dans la boue des tranchées, une soirée avec la Duse, la célèbre comédienne italienne (rencontre de deux monstres sacrés), le spectacle de carcasses d'avions abattus telles d'immenses phalènes, image qui semble annoncer si fort les descriptions d'André Breton dans L'Amour fou, ces "soldats bleus" ou "bleu horizon" qui surgissent de l'enfer, ou qui déambulent dans un village déserté : autant de notations intenses, frappantes, sensibles, inoubliables.

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BD tout public

D'Oléron à Sedan 1914-1918

Paul Devin, notaire à Sedan, chef de bataillon au 46e Territorial, et son épouse Marthe, infirmière de l'Association de Dames Françaises (composante féminine de la Croix Rouge), accompagnés de leurs filles Elisabeth et Jeanne, passent l'été 1914 dans leur maison de vacances à Saint Denis d'Oléron. Mais le 1er août, les tambours de la mobilisation vont bouleverser leurs vacances... et leur vie à jamais ! Séparés durant quatre longues années, au milieu d'un conflit mondial, Marthe et Paul ne cesseront jamais de correspondre et d'écrire leur histoire. Vous la tenez entre vos mains.

11/2018

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Histoire de France

Journal d'une bourgeoise 1914-1918

"C'est une évocation si sincère et si vibrante de ces années abominables de l'occupation, qu'en parcourant les pages, j'avais l'impression parfois, jusqu'à l'illusion, de vivre encore sous le joug de l'ennemi", écrit le grand historien Henri Pirenne à Marguerite Giron après avoir lu le Journal d'une bourgeoise, l'un des rares journaux écrits par une femme à l'époque en Belgique. Destinés à ses fils, mobilisés dans la lutte contre l'envahisseur "s'ils reviennent", ces cahiers où elle consigne au jour le jour ses angoisses et ses espoirs, les deuils et les naissances et tous les événements qui émaillent le quotidien de son entourage, ne sont en effet pas une simple chronique familiale. C'est aussi et surtout un témoignage passionnant sur une période sombre de l'histoire, traversé par un leitmotiv : "les civils tiennent". Marguerite y évoque la vie difficile des Belges, soumis à une censure pesante, harcelés par une bureaucratie tatillonne qui prétend tout contrôler, victimes de vexations et de réquisitions en tout genre, sinon d'une répression féroce ; l'esprit frondeur de ses compatriotes qui narguent l'occupant ou lui résistent ouvertement lors des mises sous séquestre des usines ou de l'instauration brutale du travail obligatoire ; la misère noire des plus pauvres qu'elle découvre lors de ses activités caritatives ; la cupidité des profiteurs de guerre ; la révolte des fonctionnaires et des magistrats ou encore la politique de flamandisation menée par les Allemands. En dépit des difficultés à obtenir des informations fiables par la presse clandestine ou internationale, les courriers qui échappaient à la censure ou les amis et relations qui revenaient de l'étranger, elle suit de près aussi les rebondissements politico-diplomatiques de cette époque troublée en Belgique comme à l'étranger et, bien sûr, les nouvelles militaires. "Nous menons", écrit-elle un jour de 1916, "une vie exposée et précaire dans un temps furieusement intéressant". Le lecteur ne pourra que partager cet avis.

06/2015

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Europe

Nos usines métallurgiques dévastées, 1914-1918

Nos usines métallurgiques dévastées (1914-1918). Monographies de quelques grandes usines métallurgiques françaises détruites par les Allemands rédigées par Un groupe d'ingénieurs. Introduction par M. Léon Guillet, professeur de métallurgie au Conservatoire des arts et métiers et à l'Ecole centrale des arts et manufactures Date de l'édition originale : 1921 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2023

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Littérature française

Soldats bleus. Journal intime 1914-1918

Au début de la guerre de 1914, le capitaine de vaisseau Pierre Loti, écrivain célèbre, académicien, se bat auprès de l'Etat-Major pour être mobilisé et envoyé au front. Officier de liaison, il parcourt les zones de combats : le Nord, la Champagne, l'Alsace et le front italien. Il découvre les villes en ruines, les tranchées, les cimetières militaires, rencontre poilus et généraux, témoigne dans un style à la fois épique et précis. Il continue aussi à mener une vie sociale et mondaine dans les salons parisiens, voyage, négocie au plus haut niveau avec les Turcs et les Espagnols, rend visite au président de la République française et au roi des Belges. Mais, dès qu'il le peut, il retrouve la province, ses maisons de Rochefort et d'Hendaye où il s'adonne avec bonheur à son "éternelle nostalgie". La guerre lui permet d'éprouver à l'extrême des sentiments familiers, l'amour, la fuite du temps, l'angoisse de la séparation - son fils Samuel est lui aussi mobilisé - et la fascination de la mort. Ce journal intime est l'un des derniers documents encore inédits sur la guerre 14-18. C'est un monument littéraire au service de l'Histoire.

02/2023

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Histoire de France

Guide du Nord-Pas-de-Calais 1914-1918. Lieux de combats et de mémoire

Le Nord-Pas-de-Calais a été, au fil des siècles, un vaste champ de bataille. Au cours du XIXe siècle, les deux guerres mondiales ont marqué, de manière profonde, paysages, populations et mémoire collective. La Grande Guerre ne se résume pas uniquement à une succession de batailles le long de la ligne de front. Loin des zones de combat, la population a connu, soit la cohabitation avec les soldats alliés - qu'ils soient britanniques, canadiens, australiens, portugais - soit la pénible occupation allemande. Le conflit achevé, les villes se sont reconstruites et ont été aménagés nécropoles, mémoriaux et autres vestiges qui, aujourd'hui, témoignent de ces années de conflit. Le guide du Nord-Pas-de-Calais recense au fil de ses pages, les différents lieux de mémoire, et permet de comprendre ce qui s'est passé dans cette région si marquée par la Grande Guerre, par le biais de textes clairs et synthétiques, de cartes présentant les lieux à visiter aujourd'hui.

11/2013

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Histoire internationale

Les exilés belges en France, 1914-1918. Histoires oubliées

Durant la Grande Guerre, 350 000 Belges se sont exilés en France. Après avoir traversé cette épreuve loin de leur terre natale, ces "Belges du Dehors" ont été accusés d'avoir échappé aux terribles souffrances de l'occupation brutale subie par les "Belges du Dedans". En France pourtant, certains, dont les membres du gouvernement en exil, ont activement participé à la logistique de leur armée en guerre. D'autres ont permis aussi le maintien de l'activité économique de leurs régions d'accueil, privées des hommes mobilisés au front. La plupart ont fait preuve, entre eux, d'une solidarité exceptionnelle. A l'heure où la figure du réfugié questionne plus que jamais, ce livre met en lumière l'inventivité et le courage des exilés belges de 14-18.

03/2017

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Histoire de France

La France espionne le monde (1914-1919). Les exploits des briseurs de codes

Qui a conduit Mata-Hari au poteau d'exécution ? Comment le Kaiser a-t-il failli être assassiné ? Qui a empêché l'Allemagne de soulever le Maroc contre la France ? Comment la navigation fut-elle protégée des attaques de U-Boot ? Qui a permis à l'armée française de manoeuvrer avec bonheur en 1914 ? Comment fut anticipée l'offensive allemande de 1918 sur le Matz ? Par quels moyens la France a-t-elle pu connaître les intentions des négociateurs allemands de l'Armistice et du traité de Versailles ? Quelle activité secrète a exercé le grand-père de Bernadette Chirac pendant toute la guerre de 14 ? Comment fut-on à deux doigts de mettre fin précocement à la carrière de Canaris ? Qu'est-ce qui a trahi les intrigues des services spéciaux allemands dans le monde pendant la Grande Guerre, comme le sabotage et cette grande inconnue qu'est la guerre biologique ? À toutes ces questions, une seule réponse: les briseurs de codes français. Précurseurs de la NSA américaine qui défraie aujourd'hui la chronique, ces hommes ont écouté pendant quatre ans des milliers de communications de par le monde. Ce livre, riche en révélations, étudie pour la première fois tous les rouages de cette extraordinaire épopée de l'espionnage français.

05/2014

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Histoire de France

Carnet de route d'un soldat musicien (1914-1919)

"2 août 1914. Branle-bas de combat. Les cloches sonnent à toute volée Comme une traînée de poudre, les mots : mobilisation générale, la guerre est déclarée, sont prononcés indistinctement par les occupants de la caserne St-Charles, sise sur un mamelon, tout près de la gare du même nom, à Marseille. Dans la chambre n° 100 au 1er étage, à l'aile gauche du bâtiment, les musiciens s'habillent à la hâte , dès le réveil, ils ont reçu l'ordre de se tenir à la disposition du magasin d'habillement. Chacun d'eux est atterré par les événements, car je dois bien l'avouer, dans l'anxiété de la veille, personne de nous n'avait pu croire à un conflit que les journaux, pourtant, laissaient pressentir depuis plusieurs jours." Ainsi commence le carnet de route d'un soldat musicien de 23 ans, qui allait tout juste finir son service militaire, embarqué avec des millions d'autres dans une guerre dont nul ne pouvait imaginer qu'elle prendrait les proportions d'un cataclysme. Les musiciens du régiment n'iront pas au combat, ils seront brancardiers. Arrivés en Lorraine, ils marchent sous la pluie, dans la boue, de village en village pour installer leur cantonnement, c'est le plus souvent un peu de paille qui tient lieu de lit pour trouver le repos quelques heures dans le meilleur des cas. Le canon tonne, les blessés commencent à affluer, il faut faire face avec tout le courage du coeur. Et puis débutent les répétitions et les concerts pour égayer les troupes et garder le moral quand tout s'écroule autour de soi. Ce journal de bord est un témoignage écrit au jour le jour durant toute la durée du conflit. S'y révèle une humanité teintée d'amour du prochain, d'incompréhension face à l'absurdité de la guerre, de tendresse pour les proches, de solidarité... C'est toute la fraternité humaine qui se découvre au fil de pages émouvantes, simples mais aussi empreintes d'humour d'un Jeune soldat niçois embarqué vers l'inconnu.

09/2014

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Histoire de France

La santé en guerre, 1914-1918. Une politique pionnière en univers incertain

Une présentation de la nouvelle politique de santé adoptée au cours de la Première Guerre mondiale sous l'impulsion du ministre Justin Godart. Ce système innove en matière de gestion de l'urgence médicale et de lutte contre les épidémies. Controversé puisque l'Etat a alors toute autorité sur le corps médical, il est rapidement abandonné. Un certain écho existe avec la situation actuelle en France.

05/2015

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Romans historiques

Pour l'exemple. 1914-1918. Un village de haute Provence brisé par la guerre

Imaginaire le "Journal imaginaire du poilu Olivier C." fusillé, pour l'exemple, le 4 mars 1916 ? Imaginaire le "Prélude" qui, le 2 août 1914, voit réagir Marcel le bûcheron, Joseph le paysan, Etienne le maire, Julie la bergère, Fanfan et tous les autres, lorsque le gendarme s'avance au milieu d'eux pour leur annoncer : "Pardonnez-moi pour ce que je vais dire. Voilà, c'est la guerre ! Tous les hommes valides sont appelés sous notre drapeau pour battre les Allemands et défendre la patrie." ? Imaginaire "Marie" la vieille femme rencontrée, des décennies plus tard, au bout de la ruelle de son village en ruine, là-haut, au pied du mont Chiran ? Imaginaire son histoire qui égrène la disparition des hommes du village, les uns après les autres, dans cette "grande guerre" lointaine ? Sûrement pas ! En trois textes bouleversants, Félix Chabaud nous emmène dans les réalités d'une haute Provence qui, loin des obus et de la mitraille, voit pourtant ses villages détruits par la disparition des hommes. L'émotion est là, aussi présente qu'au moment des drames, intacte, vibrante, vivante.

05/2014

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Histoire de France

Jadis, d'une guerre à l'autre (1914-1936). Tome 2, 1934-1936

EDOUARD HERRIOT ET LYON Edouard Herriot disait? : "?J'ai aimé la ville de Lyon comme on aime un être vivant. Je me suis proposé à la fois de ressusciter son passé, d'assurer son présent­, de préparer son avenir.?" Lyonnais d'adoption, il fut maire pendant plus de 50 ans. Il entra au conseil municipal en 1904 pour y rester jusqu'en 1957, année de sa mort avec une interruption sous l'Occupation. Il démontra l'attachement à sa ville d'adoption en déclinant l'offre du président Roosevelt de se rendre aux Etats-Unis suite à l'occupation allemande du 1940. EDOUARD HERRIOT ET L'ARGENT Edouard Herriot est l'homme qui dénonça le mur de l'argent lors de la victoire du Cartel des gauches en 1924, c'était une condamnation des milieux d'affaires pour leur supposé manque de loyauté vis-à-vis de la nation. Les adversaires politiques d'Herriot l'accusèrent de faire preuve de laxisme en matière financière, pourtant c'est son gouvernement qui tomba le 14?décembre 1932 sur la question du remboursement de la dette française à l'égard des Etats-Unis, dette qu'il entendait honorer. Il mit en garde à plusieurs reprises, sur l'état des finances publiques, la persistance du déficit budgétaire et l'excès des dépenses. Il considérait que "?l'Etat français avait établi son train de vie sur un niveau supérieur au niveau normal.?" Rien ne change sous le soleil?! EDOUARD HERRIOT ET LES ANGLO-SAXONS A l'inverse de beaucoup d'hommes politiques français, Edouard Herriot ne considérait pas les Anglo-Saxons comme des ennemis perfides, ne cherchant qu'à nuire aux intérêts français. Au contraire, il pensait? : "?Pour la France, la base de toute action est, selon moi, son amitié avec la Grande-Bretagne. [...], cette amitié que j'ai rétablie à la Conférence de Londres. Ces deux pays sont les garants éprouvés de la dignité humaine et de la liberté.?". Concernant les Anglais, il disait? : "?[...] l'un des avantages du caractère britannique, c'est qu'il supporte la contradiction, même la plus dure, sans en garder rancune. Il n'est rien de plus confortable que d'avoir un ami anglais.?" Il aimait et admirait les Etats-Unis, pays avec lequel il nourrissait de très chaleureux sentiments. La préface de cet ouvrage a été rédigée par M. Gérard Collomb, homme d'Etat et maire de la bonne ville de Lyon. Cet ouvrage est une édition augmentée, y figure de très nombreuses notes en bas de page ainsi que des encadrés ne figurant pas dans l'édition d'origine et qui fournissent de substantiels compléments d'information.

08/2019

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Histoire de France

Maudite soit la guerre (1914-1918). Edition bilingue français-anglais

En 1922, le maire de Gentioux (Creuse), ancien combattant de la Première guerre mondiale, gazé, fit réaliser ce rare monument aux morts. Un orphelin y montre du doigt l'inscription "Maudite soit la guerre", ainsi que les noms des cinquante-sept concitoyens ayant perdu la vie au cours du conflit. Les Autorités départementales refusant de le reconnaître, ce n'est qu'en 1985 qu'il fut officiellement inauguré. Chaque année, les mouvements pacifistes se réunissent devant celui-ci. André Chabot, petit-fils de gazé, parcourt les cimetières du monde entier en quête de la dernière demeure de ces destins tragiquement balayés par le souffle mortel d'un conflit sale et absurde. "Maudite soit la guerre" ne cache pas son objectif : montrer la guerre et ses réalités, pour que jamais plus elle ne soit considérée comme une possible solution aux conflits mondiaux.

10/2018

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Régionalisme

Tassin-la-Demi-Lune dans la Grande Guerre (1914-1918)

Tassin la demi-lune compte à cette époque environ 5000 habitants. 754 hommes sont incorporés sous les drapeaux. A la fin des hostilités, il en manquera 179. Pendant ces quatre années, il faut remplacer les hommes dans tous les corps de métier, mais surtout chez les maraichers et vignerons qui occupent de nombreux hectares de la commune. Heureusement, les femmes se mettent au travail. Ce livre rapporte notre imposante étude sur les 754 poilus incorporés.

12/2015

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Histoire de France

Martigues 1914-1918. La Grande Guerre à hauteur d'homme

Martigues, 1914 : une ville du Midi de 7 500 habitants. Parmi eux, 1 200 hommes mobilisés dont près de 200 ne regagnèrent pas leur foyer. Jeunes pour la plupart, partis pour une guerre qu'ils croyaient courte, tous furent confrontés à un conflit d'une violence inimaginable... Qui étaient ces pêcheurs, paysans, employés ou ouvriers mobilisés ? Comment la population de Martigues a-t-elle vécu leur absence ? Quelles furent pour la ville les conséquences d'une guerre qui devait être " la der des ders " ? A partir des archives communales et départementales, des sources du ministère de la Défense et de fonds privées, ce livre retrace, au ras du sol, c'est-à-dire des tranchées ou du pont des navires sur lesquels ils servaient, la guerre telle qu'elle fut vécue par les mobilisés martégaux.

10/2018

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Histoire internationale

Le Congo belge dans la Première Guerre mondiale (1914-1918)

L'histoire congolaise de la Première Guerre mondiale existe. Les contributions, belges et congolaises, qui font l'objet de ce livre l'affirment et le démontrent. Dès que la Belgique, la métropole du Congo, avait vécu la violation de sa neutralité par l'Allemagne, le Congo belge n'est pas resté longtemps dans le doute. La guerre exclusivement européenne devint une guerre mondiale, impliquant en Afrique les colonies allemandes et celles des alliés.

11/2015

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Histoire de France

La Grande guerre, les morts de Sens. Sens-sur-Seille, Souvenirs de nos morts, 1914-1918

Le monument aux morts d'une ville est plus que la liste froide et minérale de noms que presque plus personne ne connaît. Gratter la pierre et fouiller les archives a permis de retrouver la mémoire de ces jeunes adultes de Sens-sur-Seille, de caresser leurs espoirs, de les voir pris au piège d'une guerre qui n'était pas la leur. Chaque décès de ces Poilus est autant de larmes qu'ont versé leur mère, leur femme, leur père. Le travail de mémoire sur la commune de Sens-sur-Seille est important pour Didier Trouvat, ce Parisien qui a adopté ce village de Saône-et-Loire.

04/2016

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Philosophie

Le pacifisme et la révolution. Ecrits politiques 1914-1918

Monsieur, mon projet - considérablement plus économique et plus humain que la présente manière de conduire la guerre - est le suivant : que les grandes puissances de l'Europe s'accordent pour que les garçons, sitôt atteint l'âge de dix-huit ans, soient répartis par tirage au sort en trois classes, la première incluant la moitié d'entre eux, les deux autres un quart chacune. La classe incluant une moitié sera exécutée sans douleur dans une salle d'exécution. Quant aux deux autres classes, les garçons de la première seront privés d'un bras, d'une jambe ou d'un oeil, à la discrétion du chirurgien ; ceux de la seconde seront exposés jour et nuit à des bruits assourdissants jusqu'à être affligés d'une détresse nerveuse : folie, aphasie, cécité mentale ou surdité ; après quoi ils seront libérés pour former l'humanité future de leur pays (Lettre au Times, 20 avril 1916).

04/2014

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Histoire de France

Franchise militaire. De la bataille des frontières aux combats de Champagne, 1914-1915

Les lettres que le capitaine (puis chef de bataillon) Benjamin Simonet a adressées à sa femme entre le 6 août 1914 et le 26 mars 1915 ont été écrites au jour le jour, presque toutes au crayon, souvent dans les tranchées, sous la pluie ou sous les obus. Elles ne savent jamais rien du lendemain. Elles nous font revivre un an de guerre sur le front, aussi loin des historiens postérieurs que de la presse de l'époque. Elles nous donnent aussi la mesure d'un homme et nous montrent les ressources d'une singulière droiture en proie à des exigences contradictoires. Benjamin Simonet est né le 30 octobre 1872 à Nancy, treizième enfant d'une famille de commerçants. Après de bonnes études dans les établissements catholiques de sa ville natale, il s'engagea au 101 ? Régiment d'infanterie, où il devint rapidement sous-officier. Admis à l'Ecole militaire d'infanterie de Saint-Maixent, il en sortit, le 1 ?? avril 1897, sous-lieutenant au 4 ? Bataillon de chasseurs à pied. Son passage dans l'Infanterie de marine en décembre 1900 l'amena à effectuer deux séjours outre-mer, en Cochinchine d'abord, puis à Madagascar, avant de réintégrer l'Infanterie métropolitaine, en 1909. Au moment de la déclaration de guerre, en 1914, le capitaine Simonet servait au 142 ? R. I. à Lodève (Hérault), où il exerçait les fonctions de capitaine adjoint au colonel chef de corps. Il avait donc près de quarante-deux ans. Il était père de quatre enfants : René (1905), Yvonne (1906), Jean (1909), Madeleine (1913).

02/1986

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Histoire internationale

Namur à l'heure allemande (1914-1918). La vie quotidienne des Namurois sous l'occupation

L'ensemble des projets initiés sous le label "Namur à l'heure allemande : 1914-1918 au quotidien" a permis de sortir de leurs tiroirs où ils sont précieusement conservés depuis longtemps, de nombreux documents inédits, de les mettre en valeur par le biais de deux expositions, d'un colloque et de cette publication. Il a aussi, et c'est une autre de ses richesses, suscité la collaboration de personnes de disciplines a priori fort différentes, faisant ainsi la preuve de la complémentarité devenue inévitable des sources. Il porte, par conséquent, un regard nouveau sur cette occupation de Namur durant la première guerre mondiale.

01/2010

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Histoire de France

Lettres de guerre d'un jeune paysan alsacien à un ami. 1914-1918

Ces "Lettres de guerre" de Hans Karl Abel constituent un document unique. Elles parlent avec simplicité de ce qui s'est passé dans l'âme d'un jeune paysan confronté à l'absurdité de ce conflit, de son courage et de sa loyauté et, parfois même, de son humour. La traduction a été réalisée par Jean-Marc Castellazzi, parent éloigné de "Klaus" , ancien élève de l'ENS Ulm, ancien chercheur à l'Institut Pasteur et directeur honoraire de recherche au CNRS.

11/2020

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Histoire de France

Femmes sur le pied de guerre. Chronique d'une famille bourgeoise 1914-1918

Alors que les hommes mobilisés en 1914 sont loin des leurs demeurés à l'arrière, la correspondance devient essentielle pour ces Femmes sur le pied de guerre de la famille Resal. Pendant toute la Grande Guerre, leurs lettres maintiennent les liens entre les membres de cette famille d'ingénieurs très républicaine, proche de certains généraux et de l'entourage immédiat de Clemenceau. La correspondance polyphonique de ces quatre femmes circule, en un flux continu, vers les champs de bataille, de Charleroi au Chemin des Dames en passant par Verdun : Berthe, la grand-mère, est menacée de revivre en Seine-et-Marne l'occupation de 1870. Sa fille Julie organise un ouvroir et participe aux actions de la Croix-Rouge, quand son mari, directeur des tramways de Bordeaux, emploie des "femmes cochères". Tout comme les deux petites-filles l'une infirmière, l'autre professeur de piano elles adressent chaque jour à leur petit-fils, fils et frères des lettres qui, par l'ensemble qu'elles forment, présentent plusieurs angles de vue sur l'épreuve de la séparation, de l'angoisse et du deuil. Ces écrits intimes révèlent un patriotisme sans faille, que les pertes subies par les Resal sur quatre hommes mobilisés, un mort et deux blessés ne remettent jamais en cause. Ils présentent aussi, toutes générations confondues, un tableau très éloigné du lieu commun de femmes qui seraient par nature éplorées et pacifistes.

03/2014

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BD tout public

La grande guerre de Charlie Tome 3 : 17 octobre 1916 - 21 février 1917

Un monument de la bande-dessinée de guerre. Le jeune Charlie Bourne et son unité, empêtrés dans la Bataille de la Somme, doivent survivre à de nouveaux assauts allemands de plus en plus implacables, tandis que le front s'enlise. A l'issue d'une bataille longue qui aura causé plus d'un million de victimes des deux camps pour un gain minime, les survivants auront enfin droit à un peu de répit. De retour le temps d'une permission à la vie civile, Charlie constate avec amertume que la guerre a aussi de terribles conséquences sur le quotidien à Londres, entre l'effort de guerre des civils, les privations et les bombardements. Considérée comme l'une des meilleures bandes dessinées de guerre jamais écrites, La Grande Guerre de Charlie relate le quotidien du jeune Charlie Bourne, 16 ans, engagé volontaire dans l'armée Britannique pendant la Première Guerre Mondiale. S'appuyant sur un travail de documentation extrêmement minutieux et servi par l'impressionnante mise en image de Joe Colquhoun, La Grande Guerre de Charlie nous propose une immersion continue, redonnant à l'horreur et à l'absurdité de la guerre des tranchées toute sa force et son intensité. Ce troisième volume comprend douzes pages couleur telles qu'initialement parues dans le magazine BATTLE, où était publiée la série.

10/2012

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Histoire de France

Une famille lorraine dans la Grande Guerre. Journal de Lina Welter (1914-1918)

Ce journal de guerre est un beau témoignage du vécu quotidien de Lina Welter (née Kolb), où s'expriment la sensibilité et la détresse d'une femme contrainte à la solitude par les aléas de la vie et de la guerre. Conservé par Odette Marchet, il aurait pu être reproduit sous sa forme originale. Mais il a paru approprié de l'associer à une présentation de l'Alsace-Lorraine telle qu'elle était en 1914, de retracer une brève généalogie et d'insérer ce récit dans l'actualité de l'époque.

06/2016

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Première guerre mondiale

Général Emile Reibell. Pour l'Alsace, à la peine... La guerre de 1914-1918 et ses lendemains

Né dans une famille de notables de Strasbourg et de Sélestat, Emile Reibell (1866-1950), saint-cyrien, sert d'abord en Afrique, à Madagascar et comme officier d'ordonnance du président de la République. Entre 1914 et 1918 il combat à Sarrebourg, à Douaumont, aux Eparges, en Argonne et à Vauquois, puis il participe à l'occupation de la Rhénanie ; il achève sa carrière à Strasbourg. Soucieux d'exactitude, il se réfère à des sources, note scrupuleusement les dates et les lieux. Son parcours de guerre et d'après-guerre, son quotidien, ses réflexions sur l'avenir de sa grande et de sa petite patries font de ses mémoires, rédigés entre 1935 et 1940, un témoignage puissant qui permet de comprendre l'idéologie de toute une génération. A chaque page, c'est en effet l'Alsacien qui ressent d'une manière toute spéciale le conflit en cours entre la France - pour laquelle meurt son fils aviateur - et l'Allemagne - que sert son cousin, Heinrich Scheüch, unique général alsacien de l'armée du Kaiser.

01/2022

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Sciences historiques

Un marin aviateur dans la grande guerre

De l'Extrême-Orient à l'escadrille côtière de La Baule-Le Croizic, nous suivons, grâce aux archives de sa famille, les aventures d'un jeune menuisier originaire du val de Loire incorporé comme matelot charpentier en 1912. Le déclenchement de la guerre, en août 1914, le surprend à Hokkaïdo où il est embarqué sur le croiseur cuirassé Dupleix. De retour en France, il prend part, au début de 1915, aux croisières de surveillance en Méditerranée occidentale (Baléares, Corse, Sardaigne) puis rallie la base navale de Lemnos en Grèce aux ordres du vice-amiral commandant l'escadre des Dardanelles. En avril 1917, affecté à l'escadrille côtière comme observateur marin bombardier, il assure la défense du littoral atlantique contre l'action des sous-marins allemands et la protection des premiers convois américains à destination de Saint-Nazaire. Robert Palliot, c'était son nom, volera jusqu'en décembre 1918.

09/2011

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Critique littéraire

Correspondance croisée 1890-1917. Tome 4, 1913-1917

La correspondance croisée de Pierre Louÿs et de son frère Georges fait dialoguer un écrivain qui vivait au cœur des cercles littéraires et artistiques de Paris et un haut fonctionnaire qui occupa les postes diplomatiques les plus importants de son époque. Ces lettres nous fournissent d'intéressants commentaires sur les amitiés littéraires et artistiques de Louÿs avec Mallarmé, Heredia, Régnier, Gide, Valéry, Debussy, Oscar Wilde; les lettres de Georges donnent à cet échange une dimension historique et politique. Les grands événements de la fin du 19e siècle défilent devant nos yeux avec de savoureux commentaires souvent très informés : le scandale de Panama, le procès d'Oscar Wilde, l'affaire Dreyfus, Fachoda, la crise marocaine, la crise des Balkans et la Première Guerre mondiale. / The daily correspondence (1890-1917) between the writer Pierre Louÿs and his half-brother Georges, a high-ranking diplomat, provides insightful commentary on the major events and on the leading writers and artists of the time, from the Panama Affair to World War I and from Mallarmé to Debussy.

09/2015

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Histoire de France

Lettres et carnets de guerre. De la Lozère à l'Algérie, du Maroc à l'Oise (1912-1918)

En 1902, préférant l'uniforme à la soutane, Justin Meynadier s'engage dans l'armée. En 1912, il abandonne sa Lozère natale pour faire carrière en Algérie puis au Maroc. Rentré en France en 1915, il participe, avec la 12 Division du Maroc, à la seconde bataille de Champagne. En 1916, nommé capitaine à titre provisoire, il est contraint par une maladie de quitter momentanément son régiment. Guéri, il rejoint ses zouaves, en centre d'instruction puis en première ligne dans l'Oise. Capitaine à titre définitif au 8' Régiment de Marche de Tirailleurs, il prend part aux combats qui, au printemps et en été 1918, permettent à l'armée française de stopper la dernière offensive allemande. De 1912 à 1918, Justin Meynadier n'a cessé d'écrire aux siens. Outre un passionnant témoignage sur l'Afrique du Nord coloniale, il laisse sur la Grande Guerre deux " récits " du front de l'Oise : celui, rassurant, destiné à sa famille et celui, terrible, vécu au ras des tranchées et consigné dans ses papiers personnels. C'est ce qui fait l'originalité de ce recueil enrichi de cartes et de croquis.

11/2018