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Anaïs Bergling

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Energie

La petite graine d'un Grand Groupe. Le projet GEPY (Gestion Electricité Postale Yvelines)

Je crois que la Transition énergétique constitue une véritable révolution silencieuse. Cette révolution est, selon moi, extrêmement profonde et riche d'opportunités. Une entreprise comme La Poste, qui possède un patrimoine immobilier très important, et une des premières flottes de véhicules éclectriques au monde : doit se poser la question de son autoproduction d'énergie. Le Projet GEPY (Gestion Electricité Postale Yvelines) est né de cette conviction. Ce projet consiste à tester sur le parking d'un site de La Poste, une ombrière dont le toit est constitué de panneaux photovoltaïques. Celle-ci permet d'abriter et d'alimenter en électricité photovoltaïque deux véhicules électriques et/ou un bâtiment, suivant l'heure de la journée ou l'ensoleillement. D'autre part, cet équipement de production d'énergie est associé à un système de stockage et de gestion de l'énergie électrique. Le dispositif comprend également un volet recyclage et économie circulaire, puisque ce système de stockage possède des batteries de deuxième vie provenant d'anciens véhicules électriques. Le démonstrateur est en test depuis le 6 février 2019. GEPY permet d'autoproduire son électricité, de la stocker, et de la gérer. Ce document a un double objectif. Présenter la synthèse des résultats de l'observation durant une année, du fonctionnement du projet GEPY ; dans une première partie. Mais aussi partager l'expérience vécue par l'équipe ayant suivi ce projet : fonctionnement de l'équipe, management, suivi des actions, et collaboration entre les parties prenantes. L'objectif de cette deuxième partie étant de prendre de la hauteur, pour tenter de comprendre l'aventure collective qu'a été GEPY. J'avais envie de témoigner, de partager ; et pourquoi pas d'inspirer le lecteur à travers ce retour d'expérience ?

07/2022

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Littérature française

L'homme aux mille visages [EDITION EN GROS CARACTERES

"Il se fait appeler Ricardo, Alexandre, Daniel ou Richard. Il est argentin, brésilien ou portugais. Il se prétend chirurgien, ingénieur, photographe ou policier, sans qu'aucune femme ne doute de la réalité de ses activités. Car ce menteur de haut vol parvient à mener en parallèle quatre vies conjugales dans plusieurs pays et sous différentes personnalités imaginaires, toutes plus séduisantes les unes que les autres. Lorsqu'une de ses compagnes m'a contactée et que j'ai découvert l'histoire de celui que je nommerai Ricardo, elle s'est immédiatement imposée. Les hommes que j'ai aimés étaient souvent malhonnêtes et menteurs. Et dans mon travail, je me suis beaucoup intéressée aux baratineurs, bonimenteurs, vendeurs de bobards de tout acabit. Ricardo, c'était le niveau supérieur. Il est devenu un nouvel objet à l'intérieur d'une quête personnelle sans fin ni vérité, mais dont le chemin me passionne. Quels invraisemblables stratagèmes utilise-t-il ? Pourquoi vivre sur un fil, de légende en légende ? Dangereux manipulateur, grand malade, amoureux compulsif ? J'ai décidé d'enquêter, persuadée que si je n'avais pas croisé sa route, si je ne figurais pas sur la liste de ses victimes, c'était une simple coïncidence. Il m'a fascinée, terrifiée, amusée aussi. Ce livre raconte un imposteur extraordinaire, à travers les témoignages des femmes qui l'ont aimé, un détective privé qui l'a suivi, les policières qui l'ont attrapé. De Paris à Varsovie en passant par les favelas du Brésil, un incroyable voyage à la recherche d'un caméléon de génie. Elles cherchaient l'homme idéal, il composait l'amoureux de leurs rêves. Au risque de tout perdre, et de se trouver pris à son propre piège : le nôtre, celui du livre et de la fiction" . Sonia Kronlund.

01/2024

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Littérature française

Naissance d'un Goncourt

" Quand j'ai vu ces deux bougies charbonner dans les ténèbres, je me suis demandé où j'arrivais ? Dans quel port inconnu j'allais devoir entrer à la voile, manoeuvrer à la voile et rien qu'à la voile, accoster en douceur ? Santander ? La Corogne ? Yeu ? Noirmoutier ? La Rochelle ? Je n'ai reconnu Belle-Isle-en-Mer qu'au dernier moment, à l'énorme silhouette oblique de la citadelle Vauban. On a déboulé vent arrière entre les deux môles à peine visibles sous la pluie rageuse, et j'ai viré de bord en catastrophe, suppliant Claudius de baisser la voile, de la tuer. J'espérais ralentir le voilier, lui briser son élan, mais il a filé sur son erre entre deux yachts au corps-mort, deux ombres gesticulantes, et c'est le quai des visiteurs qui l'a fait s'arrêter - net ! avec un méchant bruit de ferraille disloquée. Pour morfler, il avait morflé ! Des échelons brillaient comme des yeux. Je suis monté sur le quai passer une amarre à l'anneau. A quoi pouvais-je penser ? Mes mains avaient doublé de volume, le vent m'incendiait les tympans. J'étais sorti du monde civilisé où le mot Littérature a la moindre chance de vous choper au collet. Pourtant je n'avais pas la berlue, quelqu'un me tapait sur l'épaule et crevant les rafales j'entendais ces mots complètement nases, délivrés du nord, du sud, de tous mes fantasmes du moment : - Toi, chéri, tu as une gueule d'écrivain. " C'est ainsi que Yann Queffélec, 27 ans, rencontra Françoise Verny, papesse de l'édition. Un hommage tendre et drôle au chemin que parcoururent ensemble ce jeune inconnu et cette femme aux excès aussi célèbres que ses intuitions. Un hommage à l'écriture, aussi, qui sait faire sa place dans la vie des écrivains par des voies parfois inattendues.

09/2018

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Littérature française

Mon nom est Homère, fils d'Ulysse

Homère nous hante. D'autant plus qu'on ne sait rien de lui, pas même s'il a existé. Mais il y a ces deux textes extraordinaires, l'Iliade et l'Odyssée, qui parlent de l'homme pour la première fois et dans lesquels j'entends la voix singulière d'un homme. Je vois le mouvement de la main qui trace les signes, qui efface, qui reprend... Homère est bien l'aède qui, pour la première fois, a utilisé les mythes et les formules de l'épopée pour dire le monde et l'homme, ses souffrances et ses rêves. Homère a bien écrit l'Iliade et l'Odyssée. Homère volontairement a forgé son mystère. Pour avoir inventé la question homérique, il faut qu'Homère ait existé. Je suis donc partie sur ses traces. Qu'avais-je pour cela? Ce que disent les savants qui, sur Homère, ne savent rien mais donnent matière à rêver. Les deux textes d'Homère : toutes les comparaisons de l'Iliade qui sont des choses vues, toutes les scènes domestiques de l'Odyssée. Les paysages de l'Ionie où je me suis promenée... Smyrne, la plaine de Troie, la plage, les murs de la citadelle, les temples de Claros, de Chrysè, la lumière, qui est celle de l'Iliade. La voix des savants, les poèmes, l'Ionie... Assez pour retrouver le regard d'un enfant, son émotion en entendant les aèdes de passage, l'envie de chanter à son tour et de dire autre chose, les succès dans les cours royales, le besoin de disparaître. Et puis, au fil de l'écriture, j'ai senti que cette quête d'Homère m'entraînait au-delà, là où sans doute il nous mène, aux origines de la création, de l'écriture.

08/2006

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Enseignement primaire

Le Bibliobus n° 6 CE2 Parcours de lecture de 4 oeuvres. Le petit chaperon vert ; La petite fille aux allumettes ; Les aventures de Bull Mastik ; Les six serviteurs

Théâtre : Le Petit Chaperon vert de Cami. Le Petit Chaperon vert doit aller apporter à sa mère-grand une galette et un petit pot de beurre... Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Rassurez-vous : le Petit Chaperon vert est rusé et ne sera pas dévoré. Conte : La petite fille aux allumettes de Hans Christian Andersen. C'est le dernier soir de l'année. Une petite fille marche pieds nus dans la neige. Elle a faim, elle a froid. Elle vend des allumettes que personne ne veut acheter. En allumer une lui apportera-t-il un peu de chaleur ? Roman et Récit illustré : Les aventures de Bull Mastik Le loup-garou de la Dent du Loup de Florence Desmazures. Les vacances du commissaire Bull Mastik commencent très fort : un mystère effrayant entoure le pic de la Dent du Loup. Heureusement qu'il n'a pas oublié ses chewing-gums verts à l'anis relaxant... Le commissaire enquête... Conte : Les six serviteurs de Jacob et Wilhelm Grimm. Il était une fois une reine-sorcière qui avait la plus belle fille du monde. Mais elle ne voulait pas la marier. Il était une fois un prince beau et courageux. Il rencontra en chemin six amis, six serviteurs, aux dons étranges et magiques... Le cahier d'activités Le bibliobus CM 6 (code : 11.6488.8) propose, à partir des œuvres du recueil, des parcours de lecture permettant de lire et comprendre, lire et dire, lire et écrire. Pour le maître, des pistes d'exploitation et des compléments pédagogiques sont téléchargeables sur le site www.hachette-education.com

07/2004

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Actualité et médias

Nous sommes des Peshmergas de père en fils

Sirwan Maro, le regard pétillant, la moustache bien taillée, a 56 ans. Ancien colonel de l'armée peshmerga, il s'est longtemps battu sur le front kurdo-irakien. Comme il le dit en souriant : "Tu nais Peshmerga, tu le restes jusqu'à ta mort". Chaque année, depuis longtemps avant l'avènement de Daesh, il quitte l'Europe et son métier et part rejoindre ses amis qui se battent sur le front pour leur tenir compagnie, ne pouvant plus se battre lui-même. Sirwan connait dès son plus jeune âge une existence tragique et mouvementée, entre les séjours en prison de son père, opposant politique, la disparition précoce de sa mère et les atrocités commises chaque jour par le régime de Saddam Hussein à l'encontre de la population kurde. Rejoindre les Peshmergas, ces légendaires défenseurs du Kurdistan, représente dès lors une évidence pour le jeune Sirwan, dont le tempérament rebelle ne passe pas longtemps inaperçu. Fusillades, tortures, jeux de pouvoir, trahisons, sa vie d'activiste est jalonnée d'épreuves et de rebondissements, le conduisant à un exil forcé en Belgique dans les années 1980. Sirwan a décidé de confier la rédaction de son histoire à son fils qui, lui aussi, rejoint le front périodiquement, armé de son appareil photo pour témoigner. Il est la seule personne en qui il a confiance, la seule personne avec qui il partage un lien aussi étroit. Cette histoire est également celle d'un fils qui cherche dans le passé de son père sa propre identité. La raconter fut éprouvant pour tous les deux, mais cela les a libérés. La défaite de l'EI se dessine grâce au courage de certains hommes.

09/2017

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Histoire de France

Là-bas la France. Souvenirs d'une Algérie heureuse

Eté 1962. Un million de Français quittent l'Algérie, leur terre natale, pour un voyage sans retour. Sur le pont arrière d'un bateau, ils regardent s'éloigner ce pays qui leur a tout donné et tout repris. Certains pleurent. D'autres S'évanouissent. L'Algérie ? Ils ne veulent plus en entendre parler. Quarante ans ont passé. Depuis, les Pieds-Noirs ne font plus que ça évoquer le pays, se rencontrer et réécrire au travers d'un millier d'amicales et d'associations une histoire vraie, la leur. Y sont-ils parvenus ? Sans aucun doute. Le couscous est devenu le plat préféré des Français, sur les écrans La Vérité si je mens a fait un tabac, le raï et le chaâbi ont envahi les bacs, et les petits gars de Bab El Oued - d'Albert Camus à Roger Hanin, de Patrick Bruel à Etienne Daho, en passant par le philosophe Jacques Derrida, le journaliste Jean-Pierre Elkabbach, la réalisatrice Nicole Garcia ou Jean-Claude Darmon, l'homme clé du football - ont tous gravi les échelons de la célébrité. Avant eux, qui s'en souvient des marques désormais célèbres, comme Orangina, l'apéritif Picon, les pâtes alimentaires Rivoire et Carret, les jeans Rica Lewis ou le Cristal Anis, avaient vu le jour là-bas. Et aussi quelques champions hors catégorie comme le boxeur Marcel Cerdan et le couturier Yves Saint-Laurent. Avec plus de trois cents documents, photographies, affiches de publicité, tableaux ou encore dessins, pour la plupart inédits et très précieux, Elisabeth Fechner nous entraîne dans un livre empli d'une nostalgie pétillante, sur les traces d'une Algérie mythique, à découvrir ou à redécouvrir.

11/2003

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Littérature française

Le carré jaune des fenêtres

Abominable condition humaine... Comme si mourir ne suffisait pas... Il faut en plus que la maladie existe. D'injustice en préjudice, de maux en maladie, je n'ai pu oublier mon corps. Et je l'aime encore. Quelle injustice que celle de connaître les saisons, l'amour et la passion, pour finir par écrire son testament, en faisant le voeu pieux de ne pas disparaître totalement ! De rester dans les mémoires. Dans ta mémoire... Et toi, l'enfant qui va naître, tu connaîtras le même sort, un jour ou plus probablement une nuit, parce qu'ici-bas, tout se termine par la nuit. Je pars et tu arrives. Je meurs et tu nais. J'ai tant et tant de choses à te dire. Toute une vie à te raconter. J'ai tellement besoin de te dire qui je suis. Tu sais, mon enfant, ce n'est pas simple de mourir quand rien n'est achevé. Alors voici ta lettre, jeune poète. Alors voici, en cadeau de baptême, comme pour la belle Elise, la musique de mes mots. Lis-la et essaie de ne pas juger sans essayer de comprendre ton père. Lis-la sans essayer de comprendre la mort, mais plutôt de comprendre la vie. Malo de Braquilanges, jeune auteur JDH, nous offre un texte bouleversant et fondamental sur l'existence. Percutant dans sa simplicité comme dans son style épuré. A travers l'histoire de la vie d'Antonin et des siens, c'est une histoire humaine partagée que ce roman sublime. Un livre de la collection Magnitudes, classé au chiffre 5, à découvrir absolument.

03/2021

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Littérature française

Comme si tu étais toujours là

Une histoire de chansons, de littérature et surtout d'amour. "Je m'appelle Marie-Paule Belle. Je suis chanteuse. L'un de mes plus grands succès a été "La Parisienne". Une chanson écrite par Michel Grisolia et Françoise Mallet-Joris. Françoise Mallet-Joris, poète, penseuse, philosophe, romancière était un formidable écrivain. Elle était aussi - et elle était surtout - mon amie. Dans les années 70, nous formions un couple de femmes, sans souci, sans honte, sans pudeur. Nous étions ensemble naturellement, sans rechercher le scandale que nous créions pourtant dans une société figée qui ne reconnaissait pas que deux femmes puissent s'aimer ouvertement et sans réserve. Nous nous sommes tant aimées d'ailleurs. C'est après la disparition de Françoise, en 2016, que je me suis aperçue de la grandeur et de la profondeur de son amour. Elle m'avait écrit des lettres. En les lisant une première fois, je n'avais reconnu que la manifestation de cet amour. En les relisant, longtemps après son décès, j'y ai vu l'amour absolu que Françoise me portait, s'oubliant pour me sublimer, me propulser vers des niveaux qu'elle seule jugeait acceptables pour moi. " On n'a rien donné, tant qu'on n'a pas tout donné " - écrit quelque part Sainte Thérèse De Lisieux. Françoise Mallet-Joris m'a tout donné avec une générosité sans mesure. Et je ne me suis aperçue de rien, prenant pour gentillesse et dévouement ce qui n'était qu'oubli de soi et pur amour. Aujourd'hui qu'elle n'est plus, j'ai un peu honte d'un tel aveuglement. C'est la raison pour laquelle j'ai souhaité écrire ce livre. Pour rendre à Françoise Mallet-Joris un peu de ce qu'elle m'avait donné, pour dire publiquement combien son intelligence irradiante, sa personnalité modeste et attachante, avaient contribué à établir, enfin, ce que je suis devenue."

02/2020

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Non classé

Mes maux par mes mots

Née à Sao Paulo, au Brésil donc, en 1982 et issue d'une adoption illégale, dans cet ouvrage j'évoque tant mon passé, que mon présent ainsi que l'avenir. Pour moi, ce recueil est un exutoire, tel un de ces "journaux intimes " adressés pourtant à des gens que j'eu côtoyer afin que je ne vive plus mes propres ressentis envers eux comme des frustrations. C'est donc mon livre thérapie ! Ecrivant depuis l'âge de neuf ans je réutilise mes propres rimes tout au long des années. Notamment dans "le soleil s'est retourné " adressé à ma Maman Biologique j'oppose mes propres suppositions à travers " alors merci " adressé à ma mère adoptive (avec laquelle je noue depuis trente ans, une relation extrêmement conflictuelle.) Dans "Azur " je m'adresse à mon Père adoptif, anciennement haut gradé dans l'armée de terre française, et dont les absences m'ont fait souffrir et poser des questions. Notamment sur la place de l'armement dans le monde cf "j'ai souvent croisé des Dieux " et "Suffisance ". J'ai rédigé "as de ton désir " j'avais alors 16 ans et étais folle d'amour de mon thérapeute. Quand au texte "le caravanier " je l'ai rédigé en classe de cinquième, en cours d'histoire car le chapitre sur l'empire Byzantin m'avait totalement fasciné ! C'est d'ailleurs une mélodie qui m'est venue en tête et dont j'ai noté la partition qui m'a inspiré le texte. Tout au long cet ouvrage je me situe donc tantôt dans la peau d'un enfant puis dans celle d'un adulte... Diagnostiquée autiste d'Asperger ainsi que hyperactive, j'ai créé mon propre univers verbal, ma propre syntaxe... J'espère aussi découvrir par le Flop ou le succès de mon oeuvre si d'autres personnes ont ma sensibilité, ma complexité et donc savoir si je suis audible, fédératrice. Alors bonne lecture...

05/2020

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Développement personnel

Petit manuel d'une rebelle moderne

Petit manuel d’une rebelle moderne trouve ses fondations dans mon histoire, dans une phase charnière de ma vie, où j’ai réalisé que je ne souhaitais plus être la personne qu’on attendait de moi, mais la personne que j’avais choisi d’être. Il s’agit ici de mon témoignage, de mon éveil aux infinis possibilités de la vie, et plus simplement de ma rencontre avec moi-même. Alors que nous n’avons jamais été aussi libres, nous sommes encore nombreux à ignorer le potentiel incroyable qui est en nous, à refuser cette capacité que nous avons tous de vivre une vie qui a un Sens. La peur nous habite, elle constitue le moteur de nombre de nos choix. Nous avons peur de manquer, peur de nous distinguer, peur de ne pas être à la hauteur. La frustration s’installe, et pourtant, nous choisissons encore trop souvent de rester dans notre zone de confort. Cet ouvrage a pour but de vous montrer un autre chemin que celui de votre éducation, de votre contexte familial, ou de votre société. Il vise à éveiller en vous une lueur de rébellion, à vous pousser à vous questionner sur votre place en ce monde. Je vous offre ici mes réponses, mes choix. Ils ne sont pas la seule vérité, mais représentent un socle, qui j’espère vous permettra de construire Votre vérité. Ce petit manuel s’adresse donc à tous ceux qui aspirent à vivre une vie qui a du sens, qui ne souhaitent plus gâcher une seule seconde en restant dans le costume d’un autre. Il est destiné à tous ceux qui ne cherchent plus à développer leur pouvoir d’avoir, mais leur pouvoir d’être, à ceux qui aspirent à ne plus seulement exister, mais vivre. Il est une lanterne, pour ceux qui se sentent perdus en ce monde frénétique, et qui cherchent désespérément la lumière. Il est une bulle d’oxygène, pour ceux qui ne parviennent plus à respirer.

08/2019

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Esotérisme

Les Secrets les plus cachés de la Philosophie des Anciens. Enigmes et mystères de l'Histoire philosophique de l'Humanité

Comme je n'ai eu d'autre motif que d'obliger le Public, en lui faisant part des Curiosités que contient ce petit Ouvrage ; je ne me suis pas attaché trop scrupuleusement à le remplir de ces beaux termes dont la Langue Française est ornée aujourd'hui, ni à former ces brillantes phrases, qui donnent à la vérité plus de grâce à un discours, mais qui n'augmente en rien à l'essence du sujet que l'on traite. J'espère cependant que quoiqu'il ne s'y rencontre pas ce pompeux arrangement de mots, le Lecteur ne se repentira pas d'avoir donné quelques heures d'attention à une Histoire qui renferme tant et de si surprenantes opérations, telles que je suis certain qu'aucun Philosophe ancien ni moderne n'en a écrit de semblables et qui ne seraient jamais venues la connaissance de personne, si je n'avais pris le soin d'en faire un recueil d'autant plus curieux qu'il est très exact, dans le temps même que ce Philosophe les faisait, afin de soulager ma mémoire, et ne rien laisser échapper de coures les choses merveilleuses que je rapporte, qu'il a quasi toutes faites en ma présence : la vérité y est toute entière, dans y avoir rien ajouté. A l'égard des Traités qui suivent, je ne me serais pas déterminé à les mettre sous la presse, si, quelques uns de mes amis ne s'étaient servis de l'ascendant qu'ils ont sur moi, pour m'y obliger. Je souhaite que les Curieux et les initiés dans les principes y trouvent quelque chose qui leur fasse plaisir ; et que ceux qui ne regardent la lecture que comme un amusement ne s'imaginent pas d'avoir perdu leur temps que de l'avoir employé à les lire. C'est l'unique vue que j'ai eu en les donnant à lire au public.

11/2020

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Non classé

Un homme si grand dans l'entrée du jour

J'écris afin de toucher de la plume l'essentiel, ce que le monde énervé ou la mort prématurée nous fait manquer. Surtout pour retenir un peu les âmes belles d'ici. Voici donc un enfant qui recherche celle de son père, afin de bien grandir. C'est un chemin entre innocence et douleurs, quand la réalité de l'absence parfois ne saute pas au visage. Ma douleur à moi n'est pas arrivée à l'heure. Elle avait déjà loupé l'annonce du décès, même les obsèques. Elle a pris son temps pour grimper jusqu'à mon coeur, beaucoup de temps, beaucoup d'années. Mon Papa est mort très tôt, un siècle avant l'éclosion de ma conscience. C'est comme ça, les véritables héros sont fragiles du coeur, ils aiment trop, ça leur fatigue les valves. J'avais huit ans et une demi-tonne d'insouciance. Après, il m'a fallu chercher, deviner, inventer : son visage, son regard, sa voix, dont il me restait si peu. Et chercher ce qui construit un homme. De mes trop rares années avec lui, et des quelques récits qui me furent offerts sur sa vie, il me reste quand même un joli fil : être un Homme, c'est être libre à tout prix. Je me suis emparé assez vite de cette formidable utopie qui amuse les enfants et encombre les adultes. Mais que la barre est haute ! Comment être digne d'un homme six fois évadé de la guerre et des camps allemands, lui qui a toujours su remonter du pire des découragements ? Au-delà de ce défi, je ne peux m'empêcher de relier son histoire à celle des évadés de l'Afrique et de l'Asie qui aujourd'hui tentent le vaste pari de la Méditerranée, et viennent frapper à notre porte, à ma porte, comme mon Papa tout perclus de faim et de neige fit le pari de frapper à la porte d'une ferme hollandaise, en janvier 1944, en se demandant qui ouvrirait.

04/2020

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Poésie

L'écart qui existe

Ecrire des poèmes dont la belle sobriété agrandit la profondeur et la densité de la vie, faire que chaque ligne atteigne un état de simplicité tel que le poème devient une formidable caisse de résonances intérieures tout en restant ouvert sur l'immense dehors alentour. Pouvoir mettre ces poèmes entre les mains de n'importe qui, enfants laboureurs, grands lecteurs, curieux tout neufs, tenir compte de la pesanteur en faisant surgir la lumière, s'effacer derrière les mots tout en les incarnant avec humilité. C'est ce que j'avais déjà aimé et admiré dans le premier livre d'Olivier Vossot, au titre si juste de réalité dilatée, Personne ne s'éloigne. Toutes ces qualités ne sont-elles pas celles que nous frôlons parfois, celles dont nous sommes en quête après un temps infini de tâtonnements ? Olivier Vossot parvient dès ses premiers poèmes à nommer cet " en deçà " des choses qui nous est donné tous les jours mais que nous savons rarement percevoir. La part visible sous nos pieds, devant nos yeux, dedans nos mains, peupliers, ruisseaux, nuages, la part visible est honorée, autant que la part invisible, cette épaisseur dans l'air entre les êtres, remuements du vivant, poids du soir. Bien sûr, je pense à l'ami Antoine Emaz, je tressaille avec le pronom " on ", avec quelques verbes – présents, infinitifs, participes passés, conditionnels – quelques verbes qui savent comme la vie heurte et ruisselle en même temps, comme elle est calme mais pas tranquille, et consciente d'être aussi éphémère qu'éternelle. Je pense à Antoine Emaz mais j'entends la voix d'Olivier Vossot, singulière, ténue, puissante. Ce deuxième livre prolonge le premier, il est de nouveau adressé au grand-père, et on retrouve le même subtil équilibre tendu entre la gravité des choses qui arrivent et l'immense douceur du regard porté sur elles. Olivier Vossot disparaît au milieu de ce qu'il regarde, yeux ouverts ou fermés, et c'est cette vie absorbée qui devient poème. Dans " l'écart qui existe entre durer et tenir ". Albane Gellé

11/2020

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Critique littéraire

Mon destin, ma vie, une passion

Il y a cinq ans, au moment des fêtes de fin d'année, j'apprends que j'ai un cancer. Pendant les jours qui suivent sur mon lit d'hôpital voyant ma vie défiler devant mes yeux, j'ai eu l'impression que cette vie avait été bien remplie et que je ne l'avais pas trop mal réussie. Né en 1946 avec ma soeur jumelle, mon enfance fut heureuse avec des parents formidables mais d'une vie très simple et campagnarde après un CAP de menuisier je vais aller dans l'usine où mon père travail , un service militaire où je terminerai sous officier et aussitôt mon mariage avec Annie, l'année suivante mai 68. Après les grèves je suis obligé de quitter cette entreprise et là à 22 ans je refais une formation d'ébéniste, la naissance de notre fils et la construction de notre maison. En 1978 la création de notre entreprise avec Gérard mon petit beau frère et en 1980 la construction de notre premier atelier où la vie fut heureuse et enrichissante. Malheureusement en 1989 une association avec un personnage qui va nous emmener dans un tourbillon d'ennuis et nous briser 10 ans de notre vie. Après des moments difficiles nous remettons l'entreprise sur pieds, et nous allons exporter dans le monde entier en nous faisant un nom sur le marché du meuble. Viendra la retraite où je vais avec mon épouse me retirer à Lyon prés de notre fils et petit fils. En écrivant ce livre je n'ai nullement l'intention de m'ériger en modèle mais simplement de laisser mon modeste témoignage à cette jeunesse qui se cherche. Comme pouvaient le faire nos ancêtres . Je veux simplement expliquer que la vie n'est pas qu'un fleuve tranquille, et que si on considère que la vie que l'on a reçu à la naissance ne nous convient pas eh bien avec un peu de volonté et beaucoup de courage on peut l'améliorer sensiblement. François Georgin

06/2017

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Faits de société

Une poupée qui dit non

Enlevée à dix-huit ans par des Tsiganes dans sa Bulgarie natale, Galina Valkova devient l'esclave d'un clan mafieux. Prostitution, racket, trafic d'êtres humains... Pendant quatre longues années, contrainte et forcée, elle partage leur quotidien et devient la favorite de leur chef. Dans un pays gangrené par la corruption, celui-ci impose sa loi et fait régner la terreur. " Quand je regarde en arrière, ce dont je suis stupéfaite, c'est de l'insensibilité que cette vie avait développée en moi. J'étais devenue comme lui. Je n'éprouvais plus rien. Et c'est cela qui me fait le plus mal, aujourd'hui encore. Il ne m'a pas seulement battue, violée, vendue et privée de ma dignité en me prostituant. Il m'a aussi dépouillée de tout ce que j'avais d'humain. Il a fait de moi un monstre. Il m'a façonnée à son image. " Après plusieurs tentatives de fuite, la chance lui sourit enfin à la faveur d'un séjour en France. En témoignant devant la justice française, elle fait lourdement condamner deux de ses proxénètes. Va-t-elle pouvoir enfin vivre libre ? Et de quoi ? On la félicite et on la laisse quitter seule, sans ressources ni protection, le palais de justice de Toulouse. La voilà abandonnée à elle-même, en situation précaire sur le territoire français alors que son témoignage lui interdit tout retour en Bulgarie par crainte de représailles... Pendant deux ans encore, la prostitution, l'alcool, la drogue la retiennent prise au piège jusqu'à ce que, au prix d'un effort surhumain, grâce à une association et à quelques amis, elle parvienne à s'en extraire et à témoigner par ce livre. Une poupée qui dit non relate l'incroyable parcours d'une jeune femme fragile et combative, résolue à tout braver pour enfin vivre libre et dans la dignité.

03/2006

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Histoire de France

30 ans après

Serge Moati se souvient aujourd’hui à 64 ans, devant la Villa Jasmin en Tunisie, de son arrivée à Paris après la mort de ses parents : « Eté 1957. J’avais perdu mon père, ma mère et quitté mon pays la Tunisie. Le tout en deux mois. Trois disparitions en un été, ce n’est plus du chagrin, c’est de la distraction ». Le jeune Henri en s’appropriant le prénom de son père Serge, devient à son tour socialiste et franc-maçon. Le socialisme à la française était pour cette famille juive une saga intime. Leur cœur battait à gauche. En Mai 1968, après un séjour en Afrique où il apprit son métier de réalisateur, il frappe à la porte de la cité Malesherbes, siège du parti socialiste (SFIO).Il rencontre François Mitterrand son « leader maximo », devient en 1971 son « conseiller » pour la télévision. Plus tard il sera « son » réalisateur pour les débats présidentiels. 1974. 1981. 1988… Serge Moati fixera les règles et on se souvient du débat de 81 qui l’opposa à Valéry Giscard d’Estaing : rien n’est laissé au hasard, la longueur de la table qui sépare les candidats, la valeur des plans des visages filmés, le choix des journalistes... Bref, les conseillers négocient 21 règles pour ce débat ! Coulisses. L’histoire palpite. Histoire secrète d’une victoire. La gauche est au pouvoir ! Plus, loin, le récit de la « cérémonie du Panthéon » raconté par l’auteur est drôle et émouvant. Serge Moati verra le président jusqu’à sa mort. Aujourd’hui il avoue qu’il lui manque. « En 2011, on ricane souvent en se souvenant des illusions du “peuple de gauche”. Pas moi. Je prends le risque d’étaler, trente ans après, notre ferveur parfois candide d’alors sur le papier glacé et très libéral des jours ». Un témoignage très personnel, sur ces années de gauche 30 ans après.

03/2011

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Littérature étrangère

EN CHAIR VIVE. Pages de journal, 1977-1993

" Durer longtemps - écrit Miguel Torga le jour de son soixante-douzième anniversaire -, seule façon de pouvoir efficacement mettre en perspective les hauts et les bas de la vie. De savoir que la raison atteint où elle peut, que les sentiments ont plusieurs facettes, que derrière chaque apparence se cache une inapparence, qu'il est de bons défauts et des vertus mauvaises, que tout est complexe et vain... Certes, celui qui part prématurément laisse de lui un espoir frustré, et celui qui dure s'expose à être une frustration manifeste. Mais ça vaut la peine de courir le risque. Même si l'on échoue complètement, on emporte dans la tombe un inestimable trésor : la soumission à nos limites, la connaissance désabusée de la réalité. Que de choses j'aurais perdues si je n'avais pas tant aimé, tant vu, souffert tant de désillusions, connu tant de controverses, lu tant de livres, et si manquaient à mon expérience émotive et mentale les guerres, les découvertes, les catastrophes auxquelles j'ai assisté ! Durer longtemps. Durer assez pour n'avoir pas de peine à quitter le savoir et la pratique du monde. " Ce long temps " en chair vive " est jalonné par les disparitions de J. Rostand, Chaplin, Brel, Hergé, Sartre, Yourcenar, Dali, Borges, Beckett, Garbo, La Passionara, etc..., dont Miguel Torga écrit les incisifs " tombeaux " ; des régimes s'effondrent, des idéologies se succèdent, des guerres camouflées ou spectaculaires se déroulent, une Europe bancale s'édifie, sous son œil clinicien. Et finit de se réaliser un souhait précocement exprimé (23.3.1942) : " Ce que je demande à la vie, c'est assez de santé pour pouvoir continuer à constituer, avec mes livres, un bon oreiller sur lequel, un de ces jours, je pourrai appuyer ma tête et mourir " : 15 recueils de poèmes, 4 pièces de théâtre, 2 volumes de discours et conférences, 16 volumes de Journal, 2 romans, 94 nouvelles, les 6 jours de sa Création du Monde et un visionnaire Portugal.

01/1997

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Généralités médicales

Psychiatrie, hôpital, prison, rue... Malades mentaux : la double peine

Des malades mentaux qui se retrouvent attachés à l'hôpital, enfermés en prison ou abandonnés à la rue. Que s'est-il passé en psychiatrie ? Que reste-t-il du bel espoir suscité par la mise en place de la sectorisation dans les années 1970-80 qui avait souhaité en finir avec l'enfermement ? L'idée c'était d'humaniser le soin, de le centrer sur l'individu, de comprendre le sens de sa souffrance et tenter de lui conserver une place dans sa famille et dans la société. Aujourd'hui, des impératifs budgétaires nous imposent de rationaliser les dépenses et de rentabiliser tous nos actes. Dans l'hôpital, géré comme une entreprise, le patient n'est plus cet être unique, avec son histoire particulière. Il n'est qu'un symptôme à éradiquer par des médicaments et des contraintes physiques parfois violentes. Le soin n'est plus la rencontre de celui qui souffre avec celui qui soigne. Il faut adapter, normaliser. Dans les services, la médicalisation a pris le pas sur la réflexion clinique, on traite souvent très vite, sans parler, sans écouter et sans comprendre. Et cette folie qui autrefois nous était familière devient alors étrangère et dangereuse. Elle nous fait peur. Considérés maintenant comme des criminels, punis par le rejet ou l'enfermement, les patients supportent à la fois leur pathologie et cette lourde condamnation. Malades et coupables, c'est la double peine. Je suis devenu infirmier en psychiatrie après mes études en 1977. J'ai beaucoup aimé mon métier. Des formations, mais surtout des rencontres enrichissantes de soignants et de patients, au fil du temps, m'ont permis d'acquérir un savoir-faire, des connaissances, une expérience. Mais, ces dernières années, le discours et la pratique en psychiatrie, très matérialistes, basés principalement sur la médicalisation, ont conduit à une réduction progressive de la dimension humaine du soin. Et il m'a semblé alors que je n'avais plus ma place, restant convaincu que le premier médicament, c'est le soignant lui-même.

08/2019

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Couple, famille

Il pleure, que dit-il ? Décoder enfin le langage caché des bébés

Décoder enfin le langage caché des bébésGrâce à ses capacités hors normes, oreille absolue, mémoire des sons, l'auteure a pu décrypter la signification des pleurs des nourrissons. C'est une révolution pour les parents qui comprennent tout à coup ce que leur bébé leur dit ! Priscilla Dunstan a confirmé sa première découverte par de nombreuses recherches menées autour du monde. Quelle que soit leur nationalité ou ethnie, les nouveau-nés humains s'expriment dans une langue universelle reposant sur des réflexes physiologiques. La classification Dunstan des pleurs des nourrissons permet d'écouter son bébé pour que, dès sa naissance, les parents sachent reconnaître les causes de ses pleurs. A-t-il faim, sommeil, froid, besoin de faire un rot, mal aux dents ou au ventre ? Répondre à ses besoins pour le calmer devient si facile ! Quand ils n'arrivent pas à trouver la cause des pleurs de leur bébé, les parents se sentent impuissants, coupables et découragés, la classification Dunstan change leur vie. Fini les tentatives infructueuses et l'approche essai-erreur. Les sons sont décryptés, la route directe vers la satisfaction du besoin du bébé est tracée. Dans plus de trente pays, des infirmières, des pédiatres et d'autres professionnels de la santé enseignent cette classification des sons. Un million de bébés en ont déjà bénéficié. Dans cet ouvrage, le lecteur découvrira dix mots, dont trois prononcés dès la naissance. Les sons à repérer dans les pleurs sont décrits puis l'auteure explique comment les bébés les produisent, avant de proposer diverses techniques d'apaisement. Après avoir écouté les pleurs des nourrissons avec Priscilla, j'ai repris le couloir de la maternité, mais alors que je n'y avais entendu que des pleurs auparavant, cette fois, j'entendais nèh, èh et aoh. C'était dingue ! Comme si quelqu'un m'avait débouché les oreilles, comme si je pouvais comprendre ce que ces bébés disaient ! STEVE.

10/2016

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Roman d'amour, roman sentiment

Le ballet des libellules. Tome 2

Leur amour survivra-t-il aux rumeurs et préjugés de la société ? Ellie est aussi belle que têtue. Malgré sa jeunesse, elle cache une grande maturité. En âge de se marier, elle n'aspire qu'à épouser l'amour de sa vie, comme l'ont fait ses parents. Faut-il encore le trouver... Tous les garçons de son âge lui paraissent fades et immatures. En visite chez sa famille française, elle fait la rencontre du cousin de sa mère. Un homme d'âge mûr, don Juan et terriblement charmeur. Alors que leurs proches réprouvent leur potentielle union, ils ne semblent pas pouvoir se tenir éloignés l'un de l'autre très longtemps. Mais Paul étant réputé pour être un coureur du jupons, Ellie craint de n'être qu'une conquête parmi d'autres... Avec ce deuxième volet de sa saga historique, Nadine Deconinck-Cabelduc introduit, dans un décor historique parfait, de nouveaux personnages attachants, tourmentés par leur passion. CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE "Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas eu l'occasion de me détendre en compagnie d'une agréable romance mais L'Envol du Papillon a su combler ce manque et m'offrir un moment de pur ravissement". - Coeur de givre sur Le soupir du roman. "Je trouve qu'avec ce roman , Nadine n'a rien à envier à Sarah Lark, Tamara McKinley... son imagination, ses recherches et l'univers du roman dévoilent au contraire à quel point l'auteure est a l'aise. Sa plume naviguant avec poésie et charme tout au long du récit". - La lectrice compulsive sur Booknode. A PROPOS DE L'AUTEURE Jeune quinqua débordante d'imagination, Nadine Deconinck-Cabelduc inventait déjà des histoires enfant, avant de prendre la plume à l'adolescence pour écrire des nouvelles. Depuis, elle n'a cessé d'écrire. Après Une seconde chance, une romance mêlée de suspense, l'auteure se lance dans une romance historique.

09/2021

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Roman d'amour, roman sentiment

US Air Force : cohabitation secret défense

Le passé peut parfois nous empêcher de voler de nos propres ailes. Morgan est l'exemple même du gendre parfait. Médecin militaire, père célibataire, il s'occupe de son fils de manière exemplaire et son physique de sportif en ferait rêver plus d'une... Pourtant, son charme indéniable ne semble pas du tout lui rendre service lorsqu'il s'agit de la nouvelle maîtresse de son fils ! Glaciale, moralisatrice, l'année s'annonce tout sauf sereine et c'est peu de le dire... Une plainte de l'administration de l'école risque de tout changer pour le médecin qui réussissait jusqu'ici à maintenir son équilibre, et ce malgré son passé particulièrement difficile. Il est à deux doigts de tout perdre, encore une fois. Mais ça, c'était sans compter la belle Rachel, cette enseignante implacable et d'autant plus irrésistible, avec qui il va même devoir cohabiter quelques temps. Dans ces conditions particulières, il va être bien compliqué de garder des secrets... Un sourire amer se dessina sur mes lèvres. Je n'avais donc pas de véritable choix et elle en était tout aussi consciente que moi. Je soupirai en attrapant un stylo sur le bureau de la directrice mais elle m'arrêta en posant une main autoritaire sur mon poignet. - Cet accord devra rester entre nous, cela va de soi. Je haussai les sourcils avec évidence, désabusée. Elle me lâcha et je me remis correctement sur ma chaise. Sans savoir pourquoi, je me tournai une dernière fois vers Lewis. Son regard me transperça, incandescent. Il me détestait. Ce que je pouvais comprendre au vu des accusations qui nous menaient à ce bordel sans nom. Pourtant, j'étais prête à m'enchaîner à lui pour les trois prochains mois dans le seul but de ne pas être totalement dépassée par quelque chose qui m'échappait déjà. Trois mois durant lesquels, d'une certaine manière, nous allions être obligés de cohabiter...

06/2022

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Littérature française

Dans l'obscurité de la nuit

"Toi et moi, ça n'arrivera jamais. Ni aujourd'hui, ni demain, ni dans cinq ans. Pas même quand un idiot te brisera le coeur. Je vais repousser tes limites, te briser, te faire pleurer et, à la fin... je te sauverai". Certaines personnes existent dans la lumière bénie du jour ; je ne suis pas l'une d'elles. J'existe dans le sombre gris d'un monde d'après crépuscule où la chaleur a disparu et où les ombres en apesanteur sortent pour jouer. Je ne serai jamais libre, parce que mon démon ne me quittera jamais. Il n'a pas toujours été là, mais quelque chose est arrivé, quelque chose de grave. Qui m'a volé un an de ma vie. Peut-être que le démon, c'est lui : Nicholai Fell. Il réside dans l'horrible obscurité d'une nuit sans lune : tranquille, plein de mystère, complètement inaccessible. Sa profession consiste à sauver les gens, mais ça ne marchera pas cette fois-ci. Pas même lorsqu'il commence à enfreindre toutes ses propres règles. Parce que peut-être que... Peut-être... Que le démon, c'est moi. Attention, ce livre contient des sujets sensibles comme la dépression. --- "Ce livre est incroyable, j'ai tout aimé, il est si bien écrit que j'ai été accrochée à l'histoire dès le premier chapitre, je n'ai pas pu le reposer. Washington sait vraiment écrire des rencontres tout en maintenant assez de secrets dans le livre, pour le garder beaucoup plus intéressant tout au long du chemin, j'ai adoré ! " - Carol "Cet auteur sait comment me briser en mille morceaux et me remettre en place. Dans l'obscurité de la nuit est sombre et déchirant, mais il est plein d'espoir, de rédemption et de nouveaux départs. Il m'a fait ressentir tellement de sentiments intenses. J'ai lu ce livre d'une traite, car je ne pouvais pas vraiment le poser et y revenir, j'avais besoin de savoir ce qui allait se passer". - Jemimah Zafoune

07/2022

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Littérature française

Shazad, l'enfant d'ailleurs

Nous suivons le parcours difficile de Shazad, un jeune homme pakistanais atteint de poliomyélite. Depuis l'âge de quatre ans, il voit son destin basculer et doit affronter, avec ses parents, toutes les difficultés créées par son handicap. Un récit édifiant sur la façon dont les conditions sanitaires, la pauvreté et les dérèglements climatiques exposent les enfants du Pakistan à des risques majeurs, dont la polio qui peut pourtant être éradiquée au moyen d'un vaccin préventif. Shazad devient presque la Greta Thunberg au masculin dans son propre pays. " Pour le Pakistan, l'année 2022 pourrait rester celle de tous les records au niveau des catastrophes climatiques. Cela a commencé par les fortes chaleurs du printemps, atteignant déjà en mai les 50 degrés dans certaines localités, et aggravant la fonte des glaciers dans les hautes montagnes puis la sécheresse dans les plaines. Cela a ensuite continué avec le début précoce de la mousson, à la mi-juin où des pluies torrentielles, mêlées aux crues, ont submergé un tiers du pays. La ministre du changement climatique, Sherry Rehman, évoque une "crise aux proportions inimaginables" tandis que le Premier ministre, Shehbaz Sharif, a parlé de "pluies de mousson sans précédent depuis trente ans". Près de trente-trois millions de personnes sont affectées par les inondations. Une eau qui stagne et qui pourrait être à l'origine d'une crise sanitaire. Le dernier bilan des inondations au Pakistan fait état de mille cent trente-six morts. Le lendemain de cette allocution, Shazad s'était rendu à l'hôpital civil de Karachi afin de rencontrer le docteur Zaib Said. - Bonjour, Shazad. Comment vas-tu ? Comme tu as grandi ! s'exclama le professeur. La dernière fois que je t'ai vu, tu avais quatre ans. C'est moi qui t'ai soigné lorsque ton père t'a amené ici en urgence. Depuis, j'ai suivi tout ton parcours... "

02/2023

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Littérature étrangère

A l'ombre du Mont Kenya. Ma soeur Karen Blixen

" Pour finir, je voudrais écrire quelques mots sur moi-même. Je crois que tu avais raison, c'était une bonne chose que je reparte - ce qui veut dire que je comptais faire mon avenir ici, car j'étais bien obligée de partir. J'appartiens à ce pays et je dois donc être là. Ce pays possède aussi beaucoup, peut-être la plus grande partie de mon cœur. Je dois m'habituer à la solitude et à d'autres choses. Ce qui, principalement, m'avait retenue chez nous, c'est de ne pas avoir de shauries, des doutes et des complications ; mais d'une certaine façon, être enveloppée dans du coton est quelque chose qui malgré tout ne me convient pas... Le vent souffle des plaines d'Athi, et les hyènes hurlent tout près d'ici. Maintenant que la pluie a cessé, le vert domine, la forêt embaume, tout comme les champs de maïs. La lune se lève très basse, derrière les caféiers. Il y a de gros nuages couvrant presque tout le ciel - tu te rappelles sûrement de la nuit africaine... " Thomas, le frère de Karen Blixen, trace ici un portrait de sa sœur tien loin de l'image hollywoodienne. À travers ces correspondances, on découvre une femme hors du commun, d'une richesse infinie et même fortement francophile qui, malgré toutes les tragédies de sa vie - le suicide de son père chéri quand elle avait 10 ans, un amour malheureux, une grave atteinte de syphilis, un divorce, des difficultés financières insurmontables - déborde d'idées et de projets. Étouffant dans son petit Danemark victorien et guindé, elle crée son propre paradis " Mbogani " au Kenya. L'Afrique, son autre patrie, où elle a trouvé la liberté, la paix et l'harmonie, lui permettra de prendre conscience que la véritable et la plus grande passion de son existence ci été l'amour pour son " frère noir ".

06/2002

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Littérature française

Les coquelicots

Je suis une goutte d'eau, tombée sur cette Terre comme tant de gouttes d'eau. Par les méandres de mon cerveau lent, je stagne dans des mares d'idées noires; je roule des rivières de misères, je coule, je mousse... Je regarde ce chemin parcouru, une vie de rêves et de combats, d'espoirs et d'éclats de vivre... Puis, ce matin-là... Un matin où, subrepticement, par hasard, par la lumière d'une petite fissure dans mes rêves, je découvrais l'océan ! Alors je reste là, sur le cul. Je pleure et je ris en disant: " Nom de Dieu ! Vous êtes beaux ! " Je le savais pourtant, depuis bien longtemps. J'avais appris. Je le disais aussi, à ceux-là que je savais dans le tourment de ces mauvais temps. Je voyais toutes ces gouttes d'eau, toutes différentes mais pourtant toutes eau. Tous ces êtres sur la Terre qui ont chacun délibérément choisi de plonger dans la vie par amour et pour l'amour, pour servir la Vie. Je comprenais cette phrase dite il y a deux mille ans: " Tout a un sens ! ". Je comprenais ce sens qui, tout à coup, me paraissait être une évidence. Et je restais abasourdi par cette magnificence Et j'ai envie de crier: " Eh ! Oh ! Regardez ! Il est là ! L'océan ! Nous sommes tous eau, séant ! Venez voir ! " C'est par ici, gentil coquelicot, que tu verras ce pourquoi tu te lèves. Indignez vous, oui, car il est bien qu'il en soit ainsi, c'est une étape. Une étape incontournable, mais une étape, non un objectif. L'objectif n'est pas dans la réaction, mais dans la création. Un " C " déplacé pour passer de " c'est" à " Je suis ". Alors, sans même lutter ni se battre, en chantant et en dansant pour la Terre, en marchant dessus, les coquelicots prendront le dessus sur le pouvoir, les frontières, le rendement, la compétition.

05/2012

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Littérature française

L’âme erre …. d’un humour vague !

Jeune, je n'avais probablement pas d'immanence pour l'écriture, seul le hasard d'une profession particulière, l'information médicale, m'a mis le "pied à l'encrier" pour occuper mes temps d'attente de la manière la plus agréable. Peut-être est-ce un instinct de défense dans un contexte pathologique nécessitant une thérapie préventive par la création littéraire, un truc antistress pour contrecarrer l'inhibition de l'action ? Ce qui, au départ, était un exutoire, plus qu'une dilection, est devenu une nécessité culturelle. J'ai, encore aujourd'hui, autant besoin d'écrire et de lire qu'un alcoolique de boire. Chaque jour qui passe, en dehors du plaisir de vivre, et aussi pour entretenir un certain bien-être dans les moments où la morosité pourrait m'envahir, je suis à l'affût des bons mots que j'entends, des belles phrases que je lis, des pensées qui me viennent, celles qui font immédiatement dégainer les post-it avant de les faire entrer dans un texte. Je ne veux pas forcément accéder à la réussite mais simplement échapper à la honte de n'avoir rien fait de ma vie. L'écriture me donne l'impression de vivre une vie plus intense. Ce qui est, peut-être, devenue une vocation transcende mon existence. Ces mots "amis" qui se posent, s'installent pour effacer les maux des mots "ennemis" . Comme un bouquet de flore commensale éradiquant une vénénosité. Même si l'antidote essentiel doit rester l'amour de la vie, l'écriture est un alchimiste remarquable qui peut transformer de manière étonnante la morosité en gaieté. "Lever l'encre" nous transporte vers des horizons de rêves et de liberté. En exprimant les faiblesses de mon for intérieur, par un regard sur ce que, enfants, nous fûmes, adultes, nous devînmes et, séniors, comment nous divaguâmes. En m'octroyant le droit de taquiner les travers des humains dans un mélange d'humour et d'impertinence, j'ai un vaste programme en perspective. de 1962.

09/2021

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Faits de société

Magistrales insomnies

" L'Etat providence étant mort, le budget d'entretien de la machine le démontre, Je me dis enfin qu'on a tout à craindre, et l'institution cn premier lieu, de l'apparition du concept de justice providentielle, d'une justice à qui l'on demande tout et son contraire, et de surcroît tout de suite. Pour mettre mes actes en conformité avec mes idées du moment, je déchire le projet d'assignation que j'ai rédigé ce matin. Non, c'est décidé, Je n'assignerai pas, comme je l'avais envisagé, le ministre de la Justice sur la base de l'article 1.382 du Code civil afin d'obtenir une conséquente indemnisation, jurisprudence à l'appui, pour la perte non pas d'une chance mais de mes illusions. Vingt-sept ans de carrière dans la magistrature, dix ans à Paris dont neuf au terrorisme. Qu'est-ce que je fous là-dedans ? A quoi ça sert ? Ces quelques lignes de Magistrales Insomnies donnent le ton. Le juge Thiel, qu'on avait eu l'occasion de rencontrer dans son précédent ouvrage On ne réveille pas un juge qui dort, poursuit sa dissection de la machine judiciaire à travers l'évocation des grands dossiers qui ont fait l'actualité des derniers mois et dont il a eu pour partie la charge : les tirs croisés entre factions nationalistes corses, les règlements de compte insulaires, les assassinats de François Santoni et de Jean-Michel Rossi, l'assassinat du préfet Erignac, la traque d'Yvan Colonna. l'affaire du bagagiste de Roissy, le cas Battisti, l'affaire des paillotes, etc. Cette présentation de la justice vue du front met en perspective une institution dont les " vérités énoncées " sont révélatrices de l'état de notre société, mais ici l'analyse passe par le prisme du récit, une instruction à charge et à décharge par un esprit libre, n'appartenant à aucune chapelle, et où la réflexion se trouve stimulée par l'humour, l'ironie et la provocation.

01/2005

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Paternité

Moi, papa

"Je comprends enfin pourquoi je me lève le matin" . Voilà ce que m'a répondu un des meilleurs amis quand je lui ai demandé comment il se sentait quelques jours après la naissance de son premier enfant. C'était il y a 8 ans. A l'époque, J'avais trouvé le concept très sympa, mais vaguement insignifiant pour un ado de 32 ans comme moi. Cinq ans plus tard, c'était à mon tour de décrocher le plus beau métier du monde. Mais une fois qu'on est levés, nous les papas, on va (devoir) faire quoi exactement ? Comment appréhender la première échographie ? Quelles sont les techniques pour communiquer avec bébé in-utéro ? Comment gérer les premières contractions ? Quels sont les bons réflexes pour réussir le premier bain ? Le premier biberon, chaud, tiède ou froid ? Comment vivre de la plus chouette manière la première panade ? Et surtout comment prendre bien soin de la (future) maman ? C'est à toutes ses questions que je vais tenter de répondre en tant que papa d'un merveilleux Gaspard. Tout au long de cet ouvrage parsemé de kilotonnes d'endorphine, je serai accompagné de papas formidables et d'experts de la santé (pédiatre, psychologue, sage-femme, infirmière...) pour me pencher sur une de mes passions : les relations entre un père et son enfant. 2021 années après JC, on a l'impression que les lignes commencent (trop) doucement à bouger, on reconnait au père un rôle essentiel dans la délicate construction du noyau familial, le congé de paternité est allongé en Belgique comme en France. Profitons de cette prise de conscience pour donner au (futur) papa tous les outils nécessaires à son épanouissement dans la parentalité. Adrien Devyver est papa, auteur et journaliste belge. Après son premier ouvrage sur l'univers du TDA/H, il s'adresse aux (futurs) papas en leur donnant un maximum de clés pour mieux comprendre le plus beau rôle de leur vie.

11/2021

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Romance et érotique LGBT

Les protecteurs Tome 9 : Défiance

Tout ce que j'ai toujours voulu, c'est servir et protéger mon pays. Cela a fini par me coûter tout ce que j'avais... A 49 ans, Vincent St. James a appris à vivre avec les choix qu'il a faits, même s'il n'en est pas toujours fier. Après que l'armée dans laquelle il est pratiquement né a décidé que sa sexualité était plus importante que ses états de service impeccables, Vincent a tout perdu, y compris l'homme avec lequel il avait prévu de passer le reste de sa vie. Et un homme qui n'a aucune raison de vivre n'a rien à perdre. J'ai fait un choix terrible il y a trois ans et il m'a coûté la seule personne qui ait jamais vraiment compté pour moi. Mais il y a peut-être un autre moyen d'arranger les choses... Nathan Wilder, 30 ans, ne peut pas revenir sur le moment où il a trahi son frère jumeau, mais il peut essayer de faire en sorte que la haine qui l'a poussé à se retourner contre Brody n'ait plus jamais l'occasion de se manifester. Et si cela signifie aller à l'encontre de l'électorat de son puissant père dans une course sans scrupules pour un siège au Sénat des Etats-Unis, qu'il en soit ainsi. Mais lorsque les menaces qui se limitaient à des courriels inoffensifs commencent à prendre un tour plus dangereux, Nathan est mis directement sur le chemin d'un homme mystérieux et dangereux qui pourrait bien finir par le forcer à affronter des vérités qu'il n'est pas encore prêt à affronter. Protéger Nathan était censé être une promenade de santé pour un type comme Vincent. Mais rien de ce qui concerne le jeune homme n'est ce à quoi il s'attendait, en particulier les sentiments morts depuis longtemps que Nathan éveille en lui. Des sentiments qui ne sont pas seulement de la protection.

11/2021