ESSAIS – J’ai rencontré pour la première fois Abdourahman A Wabéri en 1999, lors de la remise du Prix littéraire « Un mandat pour la liberté » que j’avais créé au sein du Pen Club français dont j’étais alors trésorier, avec le soutien de Frédérico Mayor, directeur général de l’UNESCO, aux côtés de mon ami le poète et éditeur Jean Orizet, qui lui en était le président. Abdourahman venait tout juste de publier un ouvrage percutant intitulé « Balbala » aux éditions le Serpent à Plumes.