Incontestablement, la préface de Colum McCann ajoutée à la nouvelle édition du roman de Frank McCourt (traduit par Daniel Bismuth), paru initialement il y a un peu plus de vingt ans, offre aux Cendres d’Angela, une nouvelle lecture, plus contemporaine mais confirme en même temps que la pauvreté, l’exil demeurent des situations tragiquement intemporelles qu’aucune société ne semble en mesure d’abolir, encore aujourd’hui.