Joséphine de Beauharnais doit-elle être réhabilitée ? C’est en tout cas ce à quoi s’attache Pierre Branda dans sa biographie publiée chez Perrin, Joséphine. Le paradoxe du cygne. Il faut dire que son image n’est pas exceptionnelle. Jugée volage et (trop) calculatrice, plus intéressée par son apparence que par autre chose, ou encore responsable du rétablissement de l’esclavage, car elle avait des intérêts financiers à la Martinique, voici, effectivement un portrait peu flatteur.