Eléonore Senlis

BONNES FEUILLES - Elle sait que cette âme slave rêve d’un prince russe, un peu paysan, à la Tolstoï, et elle voudrait le lui trouver. Chroniques d’une enfance bohème et douloureuse entre une fille et sa mère, diva internationale.

BONNES FEUILLES - Salerno. Six foyers italiens, et un point commun : Eléonore, femme de ménage. Mais la routine bien huilée risque de se voir bientôt chamboulée...

BONNES FEUILLES - Marie-Noëlle Hébert signe un premier roman graphique, et autobiographique, salvateur pour toutes celles et tous ceux qui un jour se sont sentis en marge du monde. Marie-Noëlle Hébert signe un premier roman graphique, et autobiographique, salvateur pour toutes celles et tous ceux qui un jour se sont sentis en marge du monde. 

BONNES FEUILLES - Biarritz, 1910. À la tête de sa propre maison de couture, la jeune et brillante Eléonore se démarque par son talent et sa créativité. Fraîchement divorcée, elle place son ambition et sa liberté avant toutes choses. Jusqu’à sa rencontre avec un aristocrate russe, venu passer quelques jours sur la côte. 

BONNES FEUILLES - « Il paraît qu’un être humain met à peine plus de huit secondes à tomber amoureux, et tandis que tu regardais et que tu écoutais cette fille aux yeux brillants (...), tu sentis à son égard cette sympathie singulière, ce désir invincible de proximité que revêt l’amour lorsqu’il apparaît. » 

La collection « Les Plumées », des éditions Talents hauts, destinée à donner une nouvelle vie à des textes d'autrices oubliés ou négligés par l'histoire littéraire, accueille le 25 novembre prochain La femme auteur, roman écrit en 1802 par Félicité de Genlis. Auteure de quelque 140 ouvrages, elle encourage les femmes, dans ce roman, à prendre la plume.

AVANT-PARUTION - Les éditions Hugo vont prochainement publier Storia, un recueil de nouvelles signé de 17 auteurs de thrillers, et dont l'intégralité des droits seront reversés à l'association ELA, pour accompagner et soutenir les enfants atteints de leucodystrophie.

Rentréelittéraire2023 - « Qu’il vous reste de nous notre amour infini de la vie, de sa beauté et de sa légèreté, et que du fin fond de notre sommeil éternel, vous nous entendiez rire encore. Rire, chanter, danser et célébrer la vie. Nous l’avons tant aimée. »

« Vous pensez que c’est peut-être là, dans la représentation récurrente de ce pan de chair dénudée, dans cette attache du cou délicatement offerte au regard, que gît, les deux sexes confondus, la marque du Caravage, le poinçon érotique de sa peinture. »