Serge Lehman, Stéphane Créty

RentreeLitteraire23 - À vingt et un ans, Jeanne souffre de terribles maux de ventre depuis quatre ans. Quand elle se décide à consulter, l’opération est devenue inévitable. C’est que Jeanne, même si ses douleurs ont été causées par un avortement clandestin, n’aura jamais le caractère d’une victime.

RentréeLittéraire23 - De nombreux pays recourent à la chimie pour soumettre la météo à leurs propres besoins. Mais à qui appartiennent les nuages ? Et quelles conséquences sur le monde des vivants ? Des questions qui taraudent Mathieu Simonet, au moment où il vit le deuil de son amour perdu.

HIVER2024 - Lors d'une séance d'analyse, Joann Sfar partage avec son psychanalyste comment ce vide l'a conduit à embrasser pleinement la vie et à se consacrer passionnément à l'art, notamment à la peinture et à la bande dessinée.

Pour cette nouvelle année, les éditions do publiera Braconniers d’Alessandro Cinquegrani, traduit de l’italien par Laura Brignon. Plongé dans une représentation allégorique de l’histoire de l’Italie, le lecteur découvre des personnages tourmentés par la mort de leur fils dans des conditions mystérieuses, qui les laissent dans une souffrance — presque — inexprimable. 

BONNES FEUILLES - Pour célébrer leur anniversaire de mariage symbolisé par les noces de fleurs, Herbert et Isis ont choisi de passer une semaine à naviguer le long des côtes.

AVANT-PARUTION – Sulfureuse rentrée littéraire ? Deux ouvrages autour de la petite Lolita vont se partager l’affiche entre août et octobre, un roman et un essai. Le premier donne la parole à cette jeune adolescente, sous la plume de Christophe Tison. Le second, entre récit et analyse littéraire, retrace l’affaire Sally Horner, kidnappée en 1948, et qui aura inspiré Nabokov.

HIVER2024 - Aux urgences, Alice se reproche de s’être abîmé le bras en tombant dans la cuisine. Elle aurait dû reculer vers le tapis du salon ... Et quand la médecin lui demande devant qui, devant quoi elle a battu en retraite, la jeune femme esquive.

HIVER2024 - En cette année 1994, nombreux sont les étudiants à gravir les marches de l’école des Beaux-Arts pour venir écouter, dans son atelier niché sous les combles, le séminaire de Christian Boltanski. François Jonas, le narrateur, boit ses paroles.