cocaine cannabis

La mainmise des talibans sur l’Afghanistan provoque des montées de sève chez Roberto Saviano. L’écrivain italien, engagé depuis des années dans la lutte contre les narcotrafiquants, le revendiquait voilà bien longtemps : légaliser le cannabis reviendrait à soustraire des sommes colossales aux organisations criminelles. La drogue, financement idéal du terrorisme international, voici qui mérite d’être rappelé.

BONNES FEUILLES – Joana est née en juin 1986. Elle n’a jamais connu son père, Daniel Balavoine, décédé en janvier de la même année dans un accident d’hélicoptère alors qu’il était en mission humanitaire sur le Paris-Dakar. Les deux âmes n’ont fait que se croiser. En grandissant, Joana se cherche une identité et une légitimité. Tiraillée par une culpabilité inconsciente, elle trouve refuge dans la drogue, qui lui donne l’illusion que tout va bien. Ses journées sont alors rythmées par la prise de cocaïne et de cannabis.

Les fêtes s’amorcent sur un coup dur pour l’écrivain italien Roberto Saviano. Les votes cumulés de la Lega Nord et de Fratelli d’Italia — deux mouvements politique de droite sévère — ont abouti à la destitution de citoyenneté. La ville de Vérone, à 20 voix pour, 7 contre et une abstention, frappe d’ostracisme l’auteur et journaliste figure de proue dans la lutte anti-mafia.

ESSAI – Il ne suffit pas d’avoir fumé un peu de cannabis dans sa vie pour s’offrir le luxe d’un essai sur les psychotropes. Pas plus que la lecture de Baudelaire ne rend opiomane. En revanche, assurons qu’une pratique des substances évoquées dans ce livre ne mène pas nécessairement à la publication d’un ouvrage aussi passionnant que celui de Tao Lin. 

La bibliothèque municipale du quartier de La Duchère a fait les frais de représailles liées au démantèlement d’un trafic de drogues par la police lyonnaise. Au début du mois de mars, une opération de police avait permis de mettre au jour un « supermarché de la drogue », très bien organisé, dans deux barres d’immeubles. C’est en réponse à l’opération de police que l’incendie criminel aurait été provoqué.

William Shakespeare en fumeur de joints, la théorie n’a rien de nouveau. Mais consommateur de cocaïne, voilà qui est nouveau. Des recherches menées par un laboratoire médico-légal d’Afrique du Sud ont passé au crible 24 pipes à tabac du XVIIe siècle. Ces dernières ont été retrouvées dans des régions où Shakespeare a vécu. Certaines furent même déterrées dans le jardin de sa maison, à Stratford-upon-Avon. Et confirmerait l’idée que William tirait Marie-Jeanne.

L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) a rendu publique une analyse régionale de sa 8ème enquête nationale ESCAPAD sur les usages de substances psychoactives licites et illicites à 17 ans. Présentée au printemps dernier, cette enquête marquait une hausse généralisée de la consommation de drogue.

Se serait-on trompé, en accordant à la PCP, drogue de synthèse, le petit surnom religieux de « poussière d'ange » ? C'est en tout cas ce qu'ont pu se demander les douaniers savoyards, ce dimanche 14 septembre, au moment de faire leur belle prise de stupéfiants à un péage du côté de Chambéry. Ceux-ci ont contrôlé une voiture diplomatique du Vatican, à bord de laquelle circulaient 4 kilos de cocaïne et 200 grammes de cannabis.

Un homme, Scott Anderson, a été arrêté à Coventry (Royaume-Uni) le 23 avril vers 3h00 du matin pour avoir tenté de vendre de la drogue (cocaïne et cannabis). Et c'est sa tenue quelque peu excentrique qui a attiré l'attention de la police. En effet, l'homme était habillé et grimé en Incroyable Hulk.