Le monde de l’édition américain est en détresse. Preuve en est, le nombre de démissions annoncé sur Twitter par des éditeurs appartenant aux grandes maisons et groupes éditoriaux – doublées de mouvements de grève jamais vue depuis des décennies. Le 12 mars dernier, quatre personnes quittaient deux des cinq plus grandes structures, partageant leur lettre ou leurs adieux à la profession dans un tweet. Véritable sonnette d’alarme ou nouvelle tendance des réseaux ?