Si à Rome, on fait comme les Romains, il serait bon que les autorités napolitaines se calment un peu. En mars 2012, la bibliothèque des Girolmaini, célébrissime pour ses ouvrages anciens, était victime d'un vol. L'enquête démontrera par la suite que le directeur du noble établissement, était à l'origine des larcins. Sauf que les ouvrages n'ont pas tous été récupérés. Et que les carabinieri font du zèle...