Si l’expression originelle remonterait au livre de Jonas Jonasson, Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire (trad. Caroline Berg)— soit mars 2011 — les Feel Good Books ont depuis fleuri. Contrepoint, manifestement, d’un héritage littéraire parisien propice à l’autofiction, ils offrent des lectures enthousiasmantes. Avec cette promesse d’un réconfort proche de la tasse de chocolat chaud en plein hiver. Oui, mais l’époque s’ouvre à d’autres réalités…