« Mes camarades, j’étais avec eux mais j’étais seul pourtant » Placé après le décès de son père chez son oncle Gustave et sa tante Gertrude, Luc n’ira pas à l’école, « la tante Gertrude ne m’envoyait pas à l’école parce que l’école corrompt l’image enfantine ». Livré à ses doutes et à ses peurs, l’enfant développe une sensibilité. Singulière : il hurle la nuit, se griffe le visage, a des visons. On dit de lui : « il n’y a rien à faire de cet enfant ».