Les jours passent… sans la moindre réponse. Je m’interroge. Les deux tiers des maisons d’édition n’ont pas – encore – réagi. L’optimiste me dirait qu’il s’agit d’une preuve d’intérêt pour mon texte. Que celui-ci franchit les étapes de sélection, une par une. Qu’il suffit de faire preuve de patience ! Le pessimiste me parlerait de statistique, de dés pipés, de manque de relations haut placées. Il rajouterait, goguenard, que s’ils avaient eu un coup de cœur, ils m’auraient contacté depuis longtemps.