C’était devenu le mal-aimé de l’édition française, ou le romancier le plus illisible, selon ceux qui en parlent. « La littérature française est atteinte d’un mal chronique : les autobiographies exposant un microcosme parisien sans intérêt pour le lecteur se multiplient », jurait Maurice Dantec. Le romancier est mort dans la nuit du 25 juin, annonce son éditeur, Inculte.