Cité à deux reprises par F. Ouellet (cf. "Un homme tendre" de JH Louwyck et "La femme de Gilles" de Madeleine Bourdouxhe), exhumé du monde des Ensablés par D. Gombert (cf. "Faillite"), Pierre Bost est devenu familier au lecteur de nos chroniques. Je viens d’achever la lecture de Porte Malheur, un vrai coup de cœur. Initialement publié chez Gallimard - maison d'édition pour laquelle Bost était aussi lecteur- le roman a été réédité aux Editions le Dilletante en 2009 avec une intéressante préface de F. Ouellet.