En avril dernier, le prix Nobel de littérature colombien quittait ce monde. Salué partout dans le monde, jusqu'à la chanteuse Shakira qui évoquait son œuvre comme « un cadeau unique et irremplaçable », Gabo avait incarné cette écriture du réalisme magique. Or, ce fervent critique de l'impérialisme américain, interdit de territoire aux États-Unis, va faire un pied de nez à l'histoire.