Umberto Eco est mort il y a sept ans, sa bibliothèque privée a été léguée à celles de Braidense à Milan et de l’université de Bologne. Ce patrimoine implique les héritiers de l'auteur et l'État. Or, ce dernier agit à travers deux entités distinctes, parfois en contradiction, le MIC (Ministère de la Culture) et la Direction générale des archives.