#FACTCHECKING – La sacro-sainte rentrée littéraire : ce mal français dont Beigbeder priait pour que l’on n’y trouve jamais d’antidote. Pourtant, dans les librairies, depuis que le monde est monde et que les éditeurs préparent ce moment de pure folie, on souffre. Cette année, c’est réduction des effectifs, promet-on : 524 romans contre 567 en septembre 2018. Vraiment ?