Theo Hakola raconte Le sang des âmes
«
Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme
Ce beau matin d'été si doux :
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux [...] »
J'ignore pourquoi, mais la lecture de la critique que nous vous présentons aujourd'hui m'a donné envie de retrouver un peu de Baudelaire ; et tout particulièrement la Charogne.
Vraiment, je ne me l'explique pas.
Le livre de Théo Hakola, Le sang des âmes n'a pourtant pas grand-chose de baudelairien. À moins que l'on extrapole depuis le Spleen à l'Idéal, en passant par les Fleurs et le Mal. Mais, là encore, le doute m'assaille, comme les guerriers homonymes.
Excellente lecture.
Cette critique est également publiée dans le cadre du prix Ligne d'Horizons.
22/08/2008 - 11:00