Dire que la pensée des primitifs est peu conceptuelle équivaut, en fait, à dire qu'elle n'est pas attachée à l'inviolabilité des lois des phénomènes ni à la permanence et constance des formes des organismes, ou, en d'autres termes, n'est jamais gênée par ce que nous appellerions les miracles ou des ruptures de l'ordre de la nature.
Par
Lucien Lévy-Bruhl Chez
Presses Universitaires de France - PUF
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