Au matin du 25 octobre 1991, quand le chanteur Manno Charlemagne rentre dans l'ambassade d'Argentine, il ne sait pas encore que son second exil vient de commencer. — Je ne suis pas sûr que vous soyez en sécurité ici. Nous n'avons qu'un seul garde, et des hommes armés viennent de se poster tout autour du bâtiment ! — Calmez-vous monsieur l'ambassadeur, ici en Haïti, on m'appelle "l'homme qu'on ne tue pas facilement".
Commenter ce livre