#Roman étranger

La femme qui a mangé les lèvres de mon père

Tudor Ganea

Le corps d'un vagabond, Litsoï, est retrouvé sur la terrasse d'une casemate. Un de ces vestiges de la Deuxième Guerre mondiale construits par les nazis au bord de la mer Noire. Dix ans plus tard, trois hommes disparaissent en explorant ce bâtiment. L'enquête mène sur la voie d'un bordel flottant, d'un village lipovène perdu dans les bras du Danube, et d'une malédiction qui rend les hommes impuissants... La Femme qui a mangé les lèvres de mon père est un peu les Mille et Une Nuits du Danube. Dans un univers où s'affrontent la mélodie sacrée de la Nature et l'apocalypse du béton, ressurgissent les figures mythiques et le merveilleux de l'enfance, à mi-chemin du Joueur de flûte de Hamelin et des mondes de Miyazaki. Un texte porté par les eaux, par l'histoire et par un bestiaire omniprésent, qui met en scène le retour à l'Ile primordiale.

Par Tudor Ganea
Chez Le Nouvel Attila

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Genre

Littérature étrangère

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trad. Florica Courriol
16/10/2020 160 pages 18,00 €
Scannez le code barre 9782371000940
9782371000940
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