Chaque soir, dans son atelier, lorsqu'il avait fini de peindre, lorsqu'il reposait sa sainte palette, il enfilait sa redingote, coiffait son haut-de-forme, empoignait sa canne, et montait en boitant vers le Divan Japonais ou le Moulin Rouge, pour y retrouver des fils de famille, comme lui, qui touchaient des rentes, comme lui, et les dépensaient pour la fête.
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