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Yannis Vaïtsaras

Extraits

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Littérature étrangère

Le cabinet de Nicéphore P.

Un bruit de porte se fit entendre dans les étages. C'était la porte du psychanalyste. Quelqu'un descendit l'escalier. Il aperçut d'abord des baskets mal lacées, un jean usé aux genoux... Apparut un jeune homme lui ressemblant étrangement, visage souriant, mal rasé, cheveux un peu hirsutes... - Bonjour, dit-il en arrivant au bas des marches. - Bonjour... Les patients vont et viennent, parfois se croisent sans se connaître, dans l'escalier de cet immeuble ancien du centre de Salonique, où le psychanalyste Nicéphore Phocas, homonyme de l'empereur - et d'une petite rue sombre portant son nom - a installé son cabinet. Dans leur recherche d'une libération, dont le prénom Nicéphore, qui signifie en grec : "celui qui porte la victoire", pourrait être l'annonciateur, leurs parcours se côtoient au sein d'un univers insolite, dans lequel le labyrinthe des rues se superpose aux enchevêtrements des mots, propices aux ruses de la psyché.

11/2013

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Psychologie, psychanalyse

Ecouter comme aimer. Histoires de psychanalyses ordinaires

Installé dans un cabinet du centre de Salonique, le psychanalyste reçoit quotidiennement les confessions parfois pesantes de ses patients. De la difficulté de répondre à leur besoin pressant de soulagement, de ne pas faiblir lui-même face aux tempêtes de l'âme auxquelles il se trouve confronté, naît l'idée de tenir une sorte de journal de bord. Il espère parce biais parvenir à mieux comprendre, à mieux se comprendre, à jeter aussi quelque lumière sur le lien si particulier qui l'attache à ses analysants. Il y consigne au fil des jours les craintes et espoirs qui l'occupent pendant ces longues séances d'écoute, alors que son inconscient chemine selon des voies qui le conduisent souvent à découvrir en lui-même des paysages inattendus. C'est ainsi que prennent corps six récits de psychanalyses, dont l'ensemble pourrait constituer aussi une part de la sienne propre.

04/2012

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12 ans et +

U4 : Yannis

Yannis est un survivant. Ses parents et sa soeur sont morts. Lorsqu'il sort de chez lui, terrorisé, il découvre une Marseille assaillie par les rats et les goélands. Tandis que des bandes prêtes à tuer patrouillent, le jeune garçon parvient à se cacher et décide de s'enfuir vers Paris.

08/2015

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Science-fiction

U4 : Yannis

" Je m'appelle Yannis. Ce rendez-vous, j'y vais pour rester libre. " Yannis vit à Marseille. Ses parents et sa petite soeur sont morts du virus U4, qui a décimé 90 % de la population mondiale en à peine dix jours. Lourd de culpabilité de n'avoir pu enterrer ses proches, Yannis voit leurs fantômes un peu partout et commence à douter de sa raison... Heureusement qu'il lui reste le fidèle Happy, son chien. Dehors, ils découvrent horrifié une ville où brûlent des bûchers de cadavres, une ville prise d'assaut par les rats et les goélands, mais aussi par des jeunes prêts à tuer ceux qui ne font pas partie de leur bande. Yannis réussit à échapper aux patrouilles... mais à peine a-t-il retrouvé son meilleur ami que celui-ci se fait tuer sous ses yeux. Trouvant un scooter, il décide de fuir Marseille et de s'accrocher à son dernier espoir : un rendez-vous fixé à Paris par le mystérieux Khronos, qui les a convoqué, lui et tous les autres experts de son jeu en ligne préféré : " Warriors of time "...

01/2022

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Littérature française

Les bannis

"Tous, ils marchent en chantant. Ils ne sont ni joyeux ni tristes, mais ils chantent. Ils sont ma famille, mon peuple, ma condamnation à l'errance. Ils viennent de Picpus ou de Bretagne, de Bucarest ou de Tunisie, d'Istanbul ou de Lannemezan, de Pittsburgh ou du Jura. Ils n'ont souvent rien en commun et pourtant ils fredonnent tous le même chant d'exil, le même récit d'un bannissement. "Une histoire vraie racontée comme une fiction, celle d'une famille unique et surprenante.

08/2015

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Littérature française

La tendresse des bannis

"Quand la poésie allie écriture et témoignage, quand la sensibilité la plus pudique est traversée d'émotions violentes et d'images fortes, quand le regard est porté à hauteur d'homme, sans frontière ni tabou, du Congo à la rue de la Goutte d'or, des violences faites aux femmes à la tragédie des enfants soldats, des Gilets Jaunes aux détenus des prisons, des maisons de retraite aux migrants pourchassés, de la famine qui tue au racisme quotidien qui nie l'être humain, alors la poésie devient douleur et colère. Le trait est vif, incisif, réaliste, impliqué, sans compassion, baigné à la fois d'une immense humilité et d'une rage contenue". Daniel Barraud

01/2020

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