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Xavier Greffe

Dossiers

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Javier Cercas

Javier Cercas est un écrivain espagnol né le 19 janvier 1962 à Ibahernando, en Estrémadure. Il a étudié la philologie hispanique à l'Université de Barcelone avant de devenir professeur de littérature espagnole à l'Université de Gérone.

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Dossier

15 livres jeunesse à offrir pour enchanter Noël

Parce que le livre reste le cadeau le plus prisé pour les fêtes de fin d’année, et que choisir un livre pour les enfants n’est pas toujours simple, voici une sélection de 15 ouvrages pour petits et plus grands. Des livres jeunesse, des albums, des romans et des imagiers, pour éveiller les sens et s’émerveiller.

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Dossier

“Grands romans”, une littérature inoubliable

Les plus grands romans, tout simplement. Venus de toutes les époques et de tous les continents, ces ouvrages de la collection créée en 2006, se sont vendus à plus de 2 millions d’exemplaires. « Les Grands Romans, passionnément ! », tout simplement.

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Dossier

Thorgal : Voyage à travers mythes, étoiles et vikings

La bande dessinée belge Thorgal fusionne habilement l'heroic fantasy et la science-fiction, le tout ancré dans la riche mythologie scandinave. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien renommé, célèbre pour sa série de romans policiers mettant en scène le commissaire Montalbano. Il est né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle, en Sicile, et a grandi dans la ville voisine de Agrigente.

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Dossier

Rencontres nationales de la librairie 2019 : les libraires à Marseille

C’est à Marseille que s’ouvrent ce 30 juin les 5es rencontres de la librairie, occasion de réunir près de 1000 professionnels — dont 200 éditeurs et quelque 600 libraires. Deux journées professionnelles sous le thème « Engagé et sous tension, le libraire en équilibre ». 

Extraits

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Economie

L'évaluation des projets publics

Les investissements publics donnent lieu à d'importants et difficiles débats sur leurs effets, retombées et utilités. Les arguments évoqués y sont nombreux : politiques, sociaux, environnementaux, etc., leur combinaison variant d'un type de projet à l'autre. Parmi ceux-ci, les arguments économiques y occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante : la disponibilité des fonds publics oblige à des estimations précises de leurs contributions nettes au développement ; la volonté de synthétiser tous les effets en une échelle de valeur unifiée trouve dans l'approche économique le moyen de les convertir à l'aide d'un critère unique : la maximisation du bien être collectif. Pour mettre en œuvre cette évaluation économique, il existe plusieurs méthodes qui se différencient en fonction de la plus ou moins grande facilité à évaluer les bénéfices et les coûts des projets. On trouvera ainsi cinq méthodes principales : l'analyse des coûts, l'analyse des effets (ou d'impact), l'analyse coût - efficacité, l'analyse coût - utilité et l'analyse coût - bénéfice. Leur évaluation respective est importante car elle attire l'attention sur l'intérêt de les appliquer ou non en fonction des circonstances et de la nature des projets. Pour clarifier de tels débats, il conviendra d'ailleurs d'analyser les fondements de ce " calcul économique public ", ce qui conduit à envisager les approches en terme de surplus. Cet ouvrage a ainsi un double objectif : mettre à jour les fondements constitutionnels et économiques de l'analyse des projets publics ; montrer comment utiliser et appliquer les différentes méthodes d'évaluation.

09/1997

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Géographie

La gestion du patrimoine culturel

Le patrimoine culturel est-il un facteur de développement ou une charge pour la société ? Le considérer comme une source d'activités et d'emplois est une idée neuve, même si elle est aujourd'hui popularisée par les grands travaux, les journées du patrimoine ou la multiplication de musées de toute sorte. Les choses ne sont pourtant pas simples : les utilisateurs du patrimoine ne sont guère plus nombreux aujourd'hui qu'il y a dix ans, bien des collectivités territoriales n'ont pas pu maintenir les budgets de fonctionnement promis, certains sites font l'objet de dégradations croissantes. La gestion du patrimoine culturel est donc mise en question. Il s'agit d'abord de sa gestion " privée " ou décentralisée, les détenteurs du patrimoine devant transformer leurs actifs en offre de services, et mettre en place des politiques de prix et de commercialisation adaptées. Il s'agit ensuite de sa gestion " publique ", les politiques traditionnelles n'ayant guère modifié les indices de fréquentation, faute de prendre les choses en amont et d'agir au niveau des formations et des compétences. Mais il s'agit surtout de l'aptitude de la société à dépasser le patrimoine comme secteur d'émotion ou de loisir, pour y voir une activité susceptible d'irriguer de nouvelles filières et de nouveaux métiers dans l'ensemble de l'économie.

01/1999

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Ecrits sur l'art

Arts et artistes dans la société créative

La société contemporaine nous invite tous à être créatifs, et les arts et les artistes y sont sollicités pour nous aider à relever ce défi en acclimatant nos capacités à la créativité, embellissant nos objets et nos lieux, et en suscitant les liens sociaux nécessaires à nos cohésions. Les artistes deviendraient ainsi les ingénieurs en émotion souhaités il y a deux siècles par Saint-Simon, permettant alors la convergence des valeurs artistiques et économiques. S'agit-il pourtant de la même créativité ? Dans le brouhaha des créativités, celle prônée par la société créative est de satisfaire au mieux et au plus vite les besoins reconnus. Là où la logique de la créativité demandée par la société doit remonter d'un besoin précis vers l'amont, celle de l'art descend de l'amont vers l'aval, en explorant de nouvelles voies d'expression. Il peut alors exister une tension entre valeurs artistiques et économiques, tension aujourd'hui catalysée par une économie des données massives qui fait des personnes que l'art entendait éclairer de simples porte-données, manipulés par une image numérique qui interpelle plus qu'elle n'informe. Toutes deux font même du virtuel, metavers compris, le lieu de réconciliation de ces valeurs opposées. Mais ces expériences virtuelles ne relèvent-elles pas de la simulation là où celles du monde physique enrichissent la réflexion des acteurs ?

04/2024

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Littérature française

La greffe

Dans sa cruauté typique, le temps s'écoulait lentement, pareil à un robinet qui fuit. Impossible de fermer l'oeil dans cette atmosphère bigarrée de sordide, où flottait une odeur sans nom. Les souvenirs refluèrent par bribes amères, voletant comme des feuilles portées par le vent, qui changent de direction chaque fois qu'une main tente de les saisir. Enferré dans ma solitude, je les revécus l'un après l'autre, avec toute l'intensité du désespoir, dans les méandres d'une nuit sans fin.

10/2022

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Littérature française

Greffe de spectres

On trouve dans ce livre des dates. Celles d'un massacre. Des fantômes (Warburg et son histoire de saucisse, Broodthaers et son cinéma, Rimbaud et ses jambes...), une femme qui mange du cygne, des hommes qui s'enfuient pour écrire ou coucher ensemble, la lettre d'un garçon qui chie du chien (c'est une «Lettre à la Mère», pourquoi toujours écrire aux pères ?). C'est dans des villes. De vraies villes. Avec des noms. Il y a des fleuves. Ce sont des «Nouvelles» ? Si l'on veut. Mais des nouvelles pour une Scène. Les personnages comme les décors sont des voix. Les voix n'ont pas de genre. Le genre c'est l'indice de l'opposition entre les sexes. Ici, le personnage est une matière sonore. En constant décalage. Décalé. Il est là. Il se tient entre les pages du livre. Certains sont de simples dessins. Des greffes. Tous savent que vidanger le temps empeste les locaux. Au lecteur, on lui dit «Si vous ne comprenez pas lisez à haute voix». Le lecteur, c'est lui qui met en scène.

05/2005

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Littérature française

Xavier et Alexandre

Mai 1968. Alors que la capitale s'agite, que les mœurs se libèrent, que l'on prône de faire l'amour, pas la guerre, la France rurale reste embourbée dans les tabous. La nouvelle ère tant espérée se fera longtemps attendre... À travers la relation unissant un abbé et un jeune paumé en réinsertion, ce sont quarante années de non-dits, d'humiliations, de combats, mais aussi de victoires que retrace avec justesse Philippe de Condey. Au-delà de l'étude de mœurs, sensible et nuancée, il livre une fresque sociale saisissante sur le droit à l'amour homosexuel. Mai 1968. Alors que la capitale s'agite, que les mœurs se libèrent, que l'on prône de faire l'amour, pas la guerre, la France rurale reste embourbée dans les tabous. La nouvelle ère tant espérée se fera longtemps attendre... À travers la relation unissant un abbé et un jeune paumé en réinsertion, ce sont quarante années de non-dits, d'humiliations, de combats, mais aussi de victoires que retrace avec justesse Philippe de Condey. Au-delà de l'étude de mœurs, sensible et nuancée, il livre une fresque sociale saisissante sur le droit à l'amour homosexuel.

08/2014

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