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Renaud Fortuner

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Extraits

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Romance sexy

Comment je me suis retrouvé dans le Morvan

Abandonné au bord de l'autoroute par la femme qu'il aime, le narrateur entame une longue randonnée à travers le Morvan. Bercé par la marche, il se remémore les étapes de son amour perdu. S'interrogeant sur sa vie, il revoit les personnes et les évènements qui l'ont forgé et se demande s'il peut remonter le cours des ans pour se retrouver.

11/2021

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Chanson française

Mister Renaud

Libertaire, révolté, gauchiste, un peu loubard, chanteur énervant. . . Renaud est tout cela à la fois, mais c'est surtout un écorché vif. Depuis plus de 40 ans, il promène son regard sur le monde à travers des chansons inoubliables. Dans ce livre, l'auteur, qui a côtoyé des proches de Renaud, est parti sur les traces du mystère Renaud. De son enfance bourgeoise à Paris jusqu'aux errances dans l'alcoolisme, en passant par les barricades de Mai 68 ou son amour des femmes, cette biographie retrace une vie riche de passions. Elle montre aussi l'extraordinaire force de l'artiste et son immense sensibilité. Un homme à fleur de peau, un éternel enfant à la tendresse exacerbée qui a toujours trouvé les moyens de renaître de ses cendres. Même dans les moments les plus difficiles de sa vie.

06/2022

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Poésie

Fortunes

Postface "Fortunes, qui rassemble les poèmes d'une période de dix ans (les plus récents sont vieux de cinq), me donne l'impression d'enterrer ma vie de poète. Mais, en revanche, à la faveur de l'éloignement, je puis porter sur ces vers un libre jugement. Je ne méconnais point ce qui a vieilli dans les deux premiers poèmes. J'y délimite les déserts qui séparent des passages d'une inspiration plus ardente. Mais, si une image a jamais excusé un défaut, je les comparerai à ces espaces vides où le vent se repose, où les oiseaux grands voiliers suspendent leur course. Une certaine impudeur me gêne encore dans ces textes dont l'architecture tend au grandiose mais se dégage mal d'un brouillard verbal. Une de mes ambitions, en effet, est moins de faire maintenant de la poésie, rien n'est moins rare, que des poèmes dont mes camarades et moi, vers 1920, nous niions la réalité, admettant alors que, de la naissance à la mort, un grand poème s'élaborait dans le subconscient du poète qui ne pouvait en révéler que des fragments arbitraires. Je pense aujourd'hui que l'art (ou si l'on veut la magie), qui permet de coordonner l'inspiration, le langage et l'imagination, offre à l'écrivain un plan supérieur d'activité. Ai-je réussi ? [... ] Que ferai-je à l'avenir ? Si tous les projets ne se mesuraient à la longueur de la vie, je voudrais reprendre des études mathématiques et physiques délaissées depuis un quart de siècle, rapprendre cette belle langue. J'aurais alors l'ambition de faire de la "Poétique" un chapitre des mathématiques. Projet démesuré certes, mais dont la réussite ne porterait préjudice ni à l'inspiration, ni à l'intuition, ni à la sensualité. La Poésie n'est-elle pas aussi science des nombres ? " Robert Desnos.

03/1969

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Poches Littérature internation

Fortune

Le Ferndale est bien le navire le plus inquiétant qui soit, dans le sens où notre planète est inquiétante, avec son atmosphère trouble de passions, de jalousie, d'amour, de haines, avec la calamité des bonnes volontés transcendantes. Et il a fallu que le hasard choisisse le Ferndale, entre tous les navires alors dans le port de Londres, pour assurer au jeune Powell son premier pas dans la vie. Le voilà désormais sous le coup du funeste enchantement qu'exercent sur lui l'énigmatique capitaine Anthony, Flora De Barral, pâle jeune femme qui semble vouée au malheur, et le père de celle-ci, vieux financier mis en prison pour banqueroute frauduleuse. Le plus grand, le plus beau des romans de Conrad. Nouvelle traduction établie par Roger Hibon.

12/1989

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Policiers

Fortune

Au printemps 1976, s'arrachant à sa retraite jamaïquaine, Cimballi a une idée : il ne s'agit plus de gagner quelques millions de dollars, mais d'accéder à la Fortune, la vraie. Une nouvelle vient d'éclater comme un coup de tonnerre dans le ciel bleu de Las Vegas. A l'autre bout des Etats-Unis, le New Jersey autorise les jeux à Atlantic City. Et Cimballi décide d'y fonder " son " casino : l'Eléphant-Blanc. Il entre dans le monde des maîtres du jeu, monde infiniment dangereux et secret. Quelles sont les lois à respecter ? Qui sera le casino-manager, qui aura presque droit de vie ou de mort sur des milliers d'employés ? Et surtout, comment éviter les pièges parfois mortels du milieu le plus fermé du monde ? Ces dangers, Cimballi ne les esquive pas : il se jette à l'eau et tombe dans une arnaque incroyable, glacée, cynique. Sa contre-arnaque sera monumentale, hilarante, nourrie d'un formidable suspense. L'enjeu : probablement la liberté, peut-être la vie... et plus d'un milliard et demi de dollars, le Pouvoir, la Fortune ! Une course désopilante, dramatique, rythmée par un étonnant chassé-croisé entre Las Vegas et les brumes menaçantes d'Atlantic City.

06/2010

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Poésie

Fortune

Fortune n'est pas un simple recueil de poèmes, mais plutôt une "suite" ou un ensemble de "variations" au même titre que les deux précédents ouvrages de l'auteur. Ici, une narration fragmentée reprend une traversée ferroviaire d'un personnage, Etienne, surnommé "Leblanc" , d'une côte à une autre, d'une mer à une autre. Ce qu'il perçoit ainsi que ce qu'il a laissé, ce qui le traverse dans les instants de torpeur ainsi que ce qu'il projette pour son arrivée influent musicalement sur la composition du livre aussi bien que sur ses rythmes. Par ailleurs, ce dernier opus prend ses distances avec les précédents qui s'inscrivaient tous dans la composition et le prolongement des Motets de l'auteur - ne serait-ce que par la récurrence des personnages. Un lien demeure toutefois avec son dernier, Variations de Jan, en ce que la Guerre de Troie en constitue l'arrière-plan lancinant. L'histoire fait retour sans cesse, percutant l'intime et provoquant les heurts métriques, ses syncopes, autant que l'allongement du vers parfois quand il s'agit de faire retour, ou tenter une synthèse de cette multiplicité d'approches. Les échos sont multiples : Conrad et Joyce, Maïakovski et Khlebnikov, Henry James et Homère. Mais surtout, les temps présents - avec leurs révoltes, leurs exils et leurs luttes - agitent un corps entre précipitation (panique) et méditation (pensée). Sans trame narrative, sans les sens sollicités sans cesse et sans l'invention en chemin, ce qui s'approche ici de l'élégie ne semblerait pouvoir trouver de voix chez cet auteur.

10/2022

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