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Pierre Schaeffer

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

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Dossier

Majik, la collection des épopées et sagas fantastiques

Miroir de notre monde, la Fantasy raconte les luttes et aspirations de l'humanité, à travers des mondes imaginaires. Créée par les éditions Leha, la collection poche Majik propose pour son lancement les ouvrages de John Gwynne, Brian McClellan, Kendare Blake, Hermine Lefebvre ou encore Pierre Bordage. En avant pour des univers étranges !

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Dossier

Le Prix Décembre

Créé en 1989 sous l’appellation Prix Novembre, le Prix Décembre a été pensé comme un anti-Goncourt, un de plus : la récompense entendait se démarquer de par sa sélection initiale, mais aussi son choix de lauréat. Pensé et doté, à l'origine, par Michel Dennery, il fut ensuite soutenu par Pierre Bergé, se nommant alors Prix Décembre.

Extraits

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Musique, danse

Pierre Schaeffer. Les constructions impatientes

Ingénieur, écrivain, compositeur, acteur et théoricien visionnaire des médias, Pierre Schaeffer (1910-1995) a révolutionné la musique contemporaine, introduisant en son coeur les expérimentations les plus audacieuses, pour aboutir à la remise en question de notions a priori évidentes comme l’écoute, le timbre, le son... Des premières expériences théâtrales au sein des associations scouts dans l’entre-deux guerres au long compagnonnage avec Gurdjieff, des recherches de formes nouvelles pour la Radio ou la Télévision jusqu’aux défis de l’homme d’institution à la tête du Service de la Recherche de l’ORTF, cet album richement illustré fait revivre l’oeuvre et les engagements de l’auteur du Traité des objets musicaux. La somptueuse iconographie reproduite dans l’ouvrage provient des archives privées de Pierre Schaeffer, conservées à l’IMEC : partitions, manuscrits, catalogues, photographies, dessins…Un beau livre en forme d’hommage au polytechnicien-musicien, qui a marqué de son empreinte le XXe siècle intellectuel et artistique.

04/2012

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Histoire de la musique

Pierre Schaeffer & Pierre Henry. Symphonie pour un homme seul, 1e édition

Homme de radio, fondateur et directeur de nombreux services de l'ORTF, Pierre Schaeffer (1910-1995) est considéré comme le père de la musique concrète, terme qu'il propose dès 1948 pour qualifier les expérimentations sonores qu'il effectue dans le Studio d'essai de la Radio au tournant des années cinquante. Contrairement à Schaeffer, Pierre Henry (1927-2017) possède une formation musicale de haut niveau. Formé au Conservatoire de Paris, il y fait des études de percussions et d'écriture, puis suit l'enseignement de Nadia Boulanger, tout en devenant un très bon pianiste. C'est en 1948 qu'il rencontre Pierre Schaeffer au studio de l'ORTF. Ensemble, ils posent les bases d'un nouvel univers sonore qui abolit les limites de la musique instrumentale. Faisant suite aux premières collaborations des deux hommes, la Symphonie pour un homme seul (1950) est considérée comme la première pièce d'envergure de musique concrète. Ouvre manifeste, la Symphonie prend sa source dans un projet de Pierre Schaeffer, une pièce radiophonique sur le thème de la solitude humaine et des bruits corporels. C'est Pierre Henry qui en invente l'univers sonore, lui donnant du même coup une dimension considérable. L'oeuvre s'impose d'emblée comme un événement. René de Obaldia en dira : "Nous voici devant la reproduction de cet univers mécanique devenu nôtre et qui nous domine chaque jour davantage... Le drame de notre temps se grave sur cette cire sans miel" . Tiraillés entre l'extension des possibilités instrumentales et la recherche d'une connaissance théorique qui faisait encore défaut, les auteurs de la Symphonie tentent de concilier les exigences de la démarche concrète avec celles de la composition musicale. Il y est question d'un transfert de la radio vers la musique, de l'invention de nouvelles formes s'inspirant du cinéma ou de la poésie débouchant sur une nouvelle dramaturgie sonore, mais aussi de la production d'un savoir critique vis-à-vis du langage musical classique. En s'attachant à son contexte, à ses conditions de production techniques et esthétiques, et en examinant des sources inédites, telles que les archives sonores ou le journal personnel de Schaeffer, Loïc Bertrand reconstruit le contexte de l'oeuvre et sa genèse. L'auteur procède par ailleurs à une analyse détaillée de la Symphonie, apportant des éclairages significatifs sur cette oeuvre emblématique. Enfin, l'auteur propose une réflexion sur les questions soulevées en leur temps par la première musique concrète, tout en les actualisant.

07/2021

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Musique, danse

TRAITE DES OBJETS MUSICAUX. Essai interdisciplines

Les trouvailles contemporaines masquent (ou bien révèlent ?) une énigme de toujours : la musique est-elle science ou art ? Quels sont ses éléments : signal physique ou signe d'un langage ? Mais la musique est-elle un langage ? D'ailleurs, de quelle musique s'agit-il : occidentale ou primitive, concrète, électronique ?... Y a-t-il des musiques singulières ou une musique plurielle ? Si Pierre Schaeffer répond que la musique est une architecture qui parle, c'est bien qu'il propose d'entrevoir son dualisme fondamental: ses racines à la fois naturelles et culturelles, les lois de ses matériaux comme les systèmes de ses références. Il ne saurait être question de déduire les uns des autres, mais bien de mettre en corrélation deux sortes de phénomènes relevant de deux sortes de connaissances : celle de la Nature et celle de l'Homme. On ne s'étonnera donc - pas que Pierre Schaeffer tourne autour de l'objet musical et le présente sous ses divers aspects. L'approche est successivement historique, linguistique, physique, philosophique, méthodologique, "acoulogique", musicale. On en arrive à une double conclusion: du concours des disciplines surgit une méthode propre à la musique, destinée à renouveler le solfège traditionnel et à fonder les musiques dans leur généralité. D'autre part, un tel itinéraire mène à son tour aux passages hermétiques - à moins qu'ils ne soient occultés par le respect humain - entre science et art, ces deux moitiés de l'expérience humaine. Aussi est-il de la vocation d'Orphée, sinon de résoudre l'énigme, du moins de l'affronter et de répondre à l'espoir que mettent en lui des créatures encore sauvages : qu'une réponse des choses soit donnée à la question des hommes.

01/1998

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Musique, danse

À la recherche d'une musique concrète

" Autour de moi, s'étalait des piles de disques, où s'inscrivaient les fragments de cette matière décomposée, rapetissée et agrandie, désossée, inversée, éclatée, pulvérisée. J'étais comme une enfant qui a vidé le son de son ours, arraché les yeux de sa poupée et démantibulée son train mécanique. Il fallait bien que je m'avoue que je venais d'inventer d'extraordinaires techniques de destruction, mais que tous les essais de synthèse me claquaient dans les doigts. Il y avait d'autre part, à chaque instant de mes démarches, d'impitoyables contradictions qui surgissaient. Les objets sonores proliféraient mais leur multiplication insensée n'apportait aucun enrichissement, du moins au sens où les musiciens l'entendent : l'idée musicale, ou l'ombre de d'idée qui demeurait à travers ses contorsions inchangées, et que de formes biscornues, que de variantes concrètes pour la même idée ! Ces variations elles-mêmes étaient contradictoires, trop musicales et pas assez, trop parce que la banalité de l'écriture initiale persistait, pas assez parce que la plupart de ces objets sonores étaient cruels, offensants pour l'oreille. "

01/1998

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Critique littéraire

Une visite à Brangues. Conversation avec Jacques Madaule et Pierre Schaeffer en février 1944, avec 2 CD audio

Le 27 février 1944 - un dimanche -, Jacques Madaule et Pierre Schaeffer rendent visite à Paul Claudel dans son château isérois de Brangues. Le poète a accepté de lire pour la radio française un hommage à Jean Giraudoux, décédé quelques semaines plus tôt. Les deux hôtes -l'un claudélien reconnu, l'autre déjà versé dans l'exploration des ressources radiophoniques - installent leurs appareils d'enregistrement et laissent les disques tourner. La conversation s'engage. Vive et souriante, elle ne suit pas de plan préconçu. Claudel évoque ses travaux en cours, journal et commentaires bibliques ; puis on l'entreprend sur ses pratiques d'écriture et ses brouillons. Il poursuit sur son rapport tumultueux à l'exégèse contemporaine et, changeant de registre, livre quelques éléments de sa conception de la prosodie française. L'époque est également présente : Claudel dénonce l'attitude bienveillante d'une partie du haut clergé français à l'égard de l'occupant et informe ses visiteurs de ses propres démêlés avec la Gestapo. Après avoir évoqué la jeune génération - Sartre, en particulier -, le poète parle de ses premiers textes et des adaptations théâtrales et musicales de ses œuvres, réalisées ou projetées. C'est l'occasion de préciser ses rapports avec Milhaud ou Barrault. Tout cela, entrecoupé par des lectures appliquées de l'hommage à Giraudoux et de plusieurs poèmes récents. Un Claudel au naturel ? Certes. Il reste que " le Claudel qui va vous parler n'est pas un Claudel en pantoufles. C'est le Claudel de tous les jours ; mais chaque jour pour lui est le jour de Pâques ; chaque instant celui de la Résurrection " (Madaule).

06/2005

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Musique, danse

Pierre Schaeffer : de Mac Luhan au fantôme de Gutenberg. Communication et musique en France entre 1936 et 1986

L'effort pédagogique schaefferien, permanent quelles que soient les aventures, et la dénonciation des modes -dont le scientisme- ont toujours permis au Penser de tenter de redresser les écarts ou dérives possibles du Faire. La constante est perçue mais l'auteur termine sa trilogie (Pierre Schaeffer : des Transmissions à Orphée, puis Pierre Schaeffer : d'Orphée à Mac Luhan) en recherchant plus intimement encore le fil conducteur. Serait-ce, comme souvent, dans l'éducation et mieux, dans la rencontre de personnalités ou le vécu d'événements, marquant au fer le raisonnement et le comportement, sinon l'âme ? Un abbé à la fois professeur de physique et directeur-animateur de jeux de sociétés ou d'élans théâtraux ; un ami de l'école polytechnique, également scout, croyant, mais à l'esprit caustique ; une catastrophe de chemin de fer ; un homme venu du Caucase -Gurdjieff- qui tente de nous guérir d'un Moi dictateur de notre Faire puisque les clés de notre Vie sont ailleurs... Il serait temps de se connaître pour devenir vraiment soi-même, bref, se réveiller et être son être. Alors change la vision des choses et du Monde... La musique, l'écriture peuvent jouer un rôle d'exercice dans cette thérapie et cette recherche d'une intériorité qui passe aussi par une " métaphysique concrète ". L'œuvre de Pierre Schaeffer, musicale ou littéraire mais en tout cas poétique, prend alors une autre dimension et se déploie... Le lecteur établit des ponts avec d'autres écrivains : Claude Giraudoux, Mauriac, Bloy, Bernanos... ou bien serait-ce Proust ? Par ailleurs, on pense à cette science-fiction d'un Gérard Klein ou d'un Clifford D Simak annonçant un monde pas si loin que cela... sans oublier les multiples facettes du langage et de l'esprit d'un Paul Valéry qui renvoie à Léonard de Vinci, Descartes ou Goethe... Quels sont finalement les rôles révélés de la musique, de l'audiovisuel, de tout art ? Des interrogations au cœur de l'œuvre et de la vie de Pierre Schaeffer au centre desquelles se trouve l'homme. Pour agir sur les entreprises de l'homo faber et de là tenter de changer l'homo-sapiens, quelle est d'ailleurs la méthode schaefferienne ?

04/2002

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