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Ousseynou Diagne

Extraits

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Littérature française

Les roses blanches

Les roses blanches nous place au coeur du Sénégal postcolonial. L'auteur nous relate l'histoire de Sekou, jeune homme ayant hérité de ses ancêtres des connaissances ésotériques qui lui permettent de prédire l'avenir et de changer, s'il le faut, le cours des choses. Après avoir quitté sa terre natale pour aller en France, Sekou devient un marabout dans un espace occidental qui méconnaissait jusque-là la possibilité de l'existence d'une telle compétence. Pour cela, il est connu, respecté et adulé. Il rencontre une femme française qui deviendra son épouse et de cette union naîtra une fille nommée Sandrine qui, au fil du temps, va elle aussi faire face à l'héritage familial après la mort de son père. Que fera-t-elle de cet héritage ?

08/2018

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Littérature française

Diane

"Diane est le récit d'une femme qui s'est perdue, qui erre et ne trouve d'intérêt pour rien, elle qui était toujours partante pour tout, toujours à l'écoute de tous. Retrouver la force, se redresser, se remettre en mouvement... tel est son nouveau défi. Ce texte se déroule au rythme des impulsions de cette femme au bord du gouffre, et le lecteur ressent chaque essoufflement, chaque respiration, chaque instant de vie. L'auteure veut nous faire avancer dans les pas de Diane pour en saisir toutes les émotions jusqu'au dénouement, heureux ou malheureux ? Laissez-vous guider par Diane...". (Claudine Citron)

04/2015

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Théâtre

Diane

Cet autoportrait est une traversée historique et familiale d'un itinéraire artistique hors du commun. Diane Arbus, née Nemerov en 1923 d'une famille juive new-yorkaise, travaille dans la photographie de mode aux côtés de son mari, avant de s'en affranchir pour imposer sa propre vision. Dans l'Amérique des années 1960, dans la lignée d'un Walker Evans, elle descend dans la rue à la rencontre de ses modèles. Restée célèbre pour ses portraits d'inconnu. e. s pris au reflex 6x6 à deux objectifs, elle se distingue par sa fascination pour les personnages hors-normes, là où l'étrange croise le familier. "Ce que j'essaie de décrire, c'est l'impossibilité de sortir de sa peau pour entrer dans celle d'un autre". Personnes transgenres, handicapés mentaux, jumeaux, nains, prostituées offrent des visages et des corps de l'Amérique moderne dont elle tente de capter la vérité, à contre-courant de l'esthétique conventionnelle du portrait. La pièce de Fabrice Melquiot donne voix aux relations nouées pendant sa courte vie : rencontre fulgurante avec Allan qui deviendra son mari, celle toujours intime avec ses modèles dont Jack Dracula (l'Homme Tatoué) ou sa professeure, Lisette Model. Se dessine ainsi le parcours singulier d'une artiste émancipée, dont l'intérêt pour la marginalité l'éloigne peu à peu de son milieu social. Des vignettes mêlant éléments purement biographiques et dates clés des relations internationales forment une chronologie croisée, où l'histoire de Diane tend un miroir à celle du monde.

01/2020

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XXe siècle

Blaise Diagne, l'honorable député

En 1914, les élections législatives voient le triomphe d'un Noir, un inconnu, Blaise Diagne. Ce roman s'attache, par petites touches, à guider le lecteur, en redonnant vie à ce personnage charismatique hors pair qui défie l'autorité coloniale, imbue de préjugés à l'endroit des Noirs. Audacieux, à la limite de la témérité, Blaise Diagne se dresse contre l'ordre colonial raciste qui n'accorde aucun égard aux sujets noirs. Il mobilise les foules et oblige le colonisé à relever la tête et à affronter l'ennemi.

08/2021

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Actualité et médias

Rester digne

Le 17 novembre 2018, Ingrid Levavasseur, comme des milliers d'anonymes excédés, manifeste contre la hausse du prix du carburant. Ce jour-là, le peuple des travailleurs pauvres qui n'avait jamais fait la une des médias décide de se faire entendre le mouvement des gilets jaunes est né. Très vite, l'aide-soignante en devient une figure. Parce qu'elle parle vrai, avec son coeur et ses tripes. Voici l'histoire d'une femme qui s'est toujours battue. Dans ce livre, elle revient sur son parcours de petite fille maltraitée qui a fui le domicile familial à 16 ans, d'ex-obèse qui a réussi à vaincre ses 50 kilos de trop, d'ex-compagne malmenée qui élève seule ses deux enfants, d'aide-soignante qui a démissionné et dénoncé des conditions de travail indignes. Elle lève le voile sur les six premiers mois du mouvement, la fraternité des débuts, les guerres d'ego et les trahisons, les coulisses rocambolesques de la campagne aux élections européennes, la folie des médias, le machisme des uns, la violence des autres, sur les réseaux sociaux comme dans la rue. Aujourd'hui présidente d'associations et engagée pour les municipales, Ingrid Levavasseur a quitté les gilets jaunes, dont elle a publiquement dénoncé les dérives, mais pas son combat pour une société plus juste.

09/2019

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Photographie

Diane Arbus

A Londres, en janvier 2005, l’exposition consacrée à la photographe Diane Arbus s’achève en gloire. La presse entière acclame ce travail longtemps jugé dérangeant, voire « pervers » comme le disait Susan Sontag. Les collectionneurs s’arrachent les tirages à prix d’or : « Boy with a toy grenade in his hand », cliché légendaire, se vend à 350.000 dollars. Nan Goldin, Steven Meisel ou Cindy Sherman sont les disciples de ce style noir et blanc, au format carré sans concessions, parfois dévoyé entre le « porno-chic » et le trash. Il manque quelqu’un pour le happy end. Diane Arbus n’est plus là pour savourer la revanche sur le milieu frelaté de la mode où les directeurs artistiques l’exploitaient au rabais. En juillet 1971, à l’âge de 48 ans, un jour de moite chaleur new-yorkaise, un ami la trouve les veines tranchées, dans sa baignoire. Diane Arbus, née Nemerov sur Central Park West, petite fille gâtée de l’upper-class juive américaine, puis mère de famille se levant à 5 heures du matin pour courir les cirques ou les asiles psychiatriques, est une artiste en photographie. Passée par la photographie de mode, travaillant pour Condé-Nast, Harper’s Bazaar ou Vanity Fair, fréquentant Richard Avedon et Irving Penn, elle consacre son temps aux frivolités qu’on maquille. Elle s’émancipe vite, se brûle au contact des damnés de la ville. C’est l’une des premières, sinon la seule avec Lisette Model, à saisir les ombres errantes de Manhattan : elle saisit au vif avaleurs de sabre, femmes à peau de serpent, nudistes militants, aliénés hilares, géants, jumelles sibyllines au regard de glace, photographiés au flash dans des hôtels miteux ou des recoins hors la loi de Central Park. Le Barnum américain, côté coulisses. « Je suis née tout en haut de l’échelle, et depuis toute ma vie, j’en ai dégringolé aussi vite que j’ai pu » disait-elle. Alors, comment rester intacte quand l’ambition d’une artiste est de traverser le miroir des apparences. Au risque de le briser. Se briser, aussi.

09/2009

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