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Oleg Poliakow

Extraits

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Hypnose thérapeutique

Renaître au souffle de l'esprit. L'imagination active en psychothérapie

Avec le souffle de l'esprit, qui est à rapprocher de l'imagination active et de l'hypnose, la thérapie du rêve éveillé présentée dans cet ouvrage, marqué par les travaux convergents de M. Berta et R. Desoille, offre, loin des modes et des chapelles, la possibilité de donner un sens spirituel à une existence engagée dans le monde.

06/2023

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BD tout public

Oleg

"Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard... Pour l'instant je l'imagine vaguement avec ma tête, c'est plus facile... " Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça : dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu'à maintenant, jusqu'à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n'est plus vraiment là - comme si quelque part, "l'influx était perdu" . Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d'Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d'événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui : la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le "je" pour le "il" , et, en utilisant cet avatar qu'est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque : ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d'authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d'amour que fait l'auteur à celles qui lui sont le plus proches - et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c'est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l'adversité.

01/2021

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Théâtre

Au bal masqué ! Olé ! Olé !

Quand on intègre le cabinet de BSK, la sulfureuse ministre du Redressement progressif, on peut s'attendre à tout. A tout mais certainement pas à voir son petit ami jouer les bonnes espagnoles, sa mère venue à Paris en tracteur, assommer pour le compte un acteur porno sur le retour ou encore un garde du corps dépressif s'enfuir devant un paysan narcoleptique passionné de valse musette, le tout dans un appartement de fonction qu'on a obtenu à la condition expresse de l'occuper seule. Vous n'avez là qu'une partie de ce que devra affronter Estelle avant de pouvoir enfin aller au bal masqué. Alors préparez vos mouchoirs !

11/2016

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Littérature française

Enfance v(i)olée

Le beau-père de Véronique, l'autre, est violent, manipulateur et incestueux. Sa mère, violente également, sait mais préfère se taire. A 4 ans, Véronique subit les premiers coups, à 9 ans c'est l'inceste que l'autre lui inflige. Pendant 12 ans, Véronique et sa fratrie, vont subir l'enfer dans l'indifférence générale. C'est devant les Tribunaux, les Assises, que Véronique va retrouver sa dignité. Ce livre est le témoignage bouleversant d'une enfance volée.

07/2019

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BD tout public

Les Blondes Tome 21 : Olé !

Une nouvelle avalanche de gags pour Vanessa et ses copines !

10/2014

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Histoire internationale

Oneg Shabbat. Journal du ghetto de Varsovie

Avec la publication d'une partie des archives d'Oneg Shabbath chez Fayard, il y a dix ans, la traduction de ce Journal complète l'édifice des voix d'outre-tombe venues du judaïsme de Varsovie. Quelques semaines après l'invasion allemande, pressentant avec beaucoup d'autres que des temps lourds de dangers encore imprécis s'ouvrent devant eux, Ringelblum met sur pied une équipe de collecte d'informations qui se réunit chaque samedi. D'où le nom du groupe, Oneg Shabbath (Onegh Shabbès en yiddish), "la joie du shabbat". La finalité de cette collecte va changer avec le temps : de preuves pour l'après-guerre, elle devient, quand se confirme l'extermination dans la première moitié de l'année 1942, une accumulation de preuves pour les générations à venir. Preuve du désastre sans précédent qui prétend éradiquer un  peuple décrété "en trop" sur la terre. Parallèlement Ringelblum tient son Journal, en yiddish, de façon intermittente, en langage parfois haché, voire sibyllin. Au fur et à mesure que passent les mois, la description de la misère effroyable et volontairement organisée par les Allemands prend le dessus. Comme s'impose aussi la description de la trahison d'une partie des classes dominantes juives, la bassesse de beaucoup, voire la trahison d'une poignée. Mais il met aussi en lumière la solidarité d'un grand nombre et la vivacité de la résistance culturelle à ce martyre. Reste que ce texte est un réquisitoire implacable, par des notations sèches, jamais emportées par une indignation de posture ou outrancière, de l'égoïsme de classe qui structure les sociétés juives. Comme les autres.

11/2017

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