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Obscena

Extraits

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Théâtre

Obscena

Obscena est ce long chant d'amour et de guérison délivré à l'enfant, à la femme, au pays, à l'île, le chant hors scène, au-delà de la représentation, dans la nudité et la pudeur de ce qui n'est pas à montrer mais qui se délivre sans rémission, quand la douleur trop vive oublie l'oeil qui voit, quand la danse dit les mots inachevés, inachevables... Obscena est le deuxième volet du triptyque Enlacement(s), composé dans le cadre de la résidence d'écriture a Athénor, scène nomade (Saint-Nazaire/Nantes), où Raharimanana est auteur associé.

03/2013

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Littérature bulgare

Allemagne, conte obscène

Quand on est jeune, intrépide et insolent comme notre héros, quel avenir a-t-on dans la grisaille de la Bulgarie soviétique ? Aucun. Victor le sait et fuit avec joie rejoindre son père en Allemagne de l'Est où il pense y trouver la liberté et la réussite. Vite, il déchante : cette terre aussi est un enfer où son père dégringole. Seul le rock'n'roll permettra à Victor d'entrevoir un espoir pour échapper à la misère. Jamais à terre, toujours vibrant, tel est le destin de ceux qui n'en ont pas. A rebours d'un récit larmoyant sur une vie peu amène, Allemagne, conte obscène préfère faire rire que pleurer. Certes l'humour y est acerbe, car l'hostilité règne. Quand tout se ligue contre vous, l'humour devient une arme qui fait violence à la violence. Face à la corruption, à la médiocrité, aux bassesses des petits chefs, Victor passe en trombe et jamais ne s'effondre. Mordu par son mordant, le lecteur réalise que la liberté ne se donne pas, elle se prend.

01/2023

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Littérature étrangère

L'obscène Madame D. suivi de Le chien

"Je me suis vue écartée du centre d'une chose que je ne sais comment nommer, mais ce n'est certes pas une raison pour que, moi Hillé, théophage incestueuse dite également par Ehud Madame D, moi Néant, Nom de Personne, je sacrifie aux autels après soixante années vécues en quête de la lumière, soixante années dans une cécité silencieuse, employées à chercher le sens des choses. Déréliction, me disait Ehud, Déréliction - une fois pour toutes, Hillé - signifie abandon, détresse, pourquoi le redemandes-tu chaque jour que Dieu fait et tu ne retiens jamais, à dater de ce jour, Hillé, tu seras Madame D, D de Déréliction, tu as compris ? "

01/1997

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Poésie

Enlacement(s). Triptyque : Des ruines ; Obscena ; Il n'y pas plus de pays

Un coffret : il s'agit d'un objet exceptionnel. Sa dimension inhabituelle (450x180) en fait un objet d'art. Un cadeau intelligent. Il contient trois ouvrages indépendants : Des ruines ; Obscena ; Il n'y a plus de pays ; Voix. Chants. Danses. S'enlacent les mots à travers trois livres, trois espaces, trois temps. Impalpable beauté des mots et des phrases. Impalpable trouble des images et des mouvements qui nous enivrent. Impalpable récit des temps d'aujourd'hui, quand les guerres défilent comme faits divers. Traverser les ruines, ruines de la mémoire comme ruines du présent, et continuer le chemin en enjambant l'inacceptable, jour après jour, souffle après souffle, se faire le lieu de l'oubli pour survivre... Des ruines est ce premier volet où l'auteur s'ouvre à la fragilité et convoque ces ruines qui l'ont constitué, de l'esclavage à la dictature, de l'intime à la mondialisation, ou comment se construire sur les champs de ruines, comment renaître et rester debout, de là où il écrit ? Les mots sont les piliers, la voix rebâtit l'édifice du corps... Obscena est ce long chant d'amour et de guérison délivré à l'enfant, à la femme, au pays, à l'île, le chant hors scène, au-delà de la représentation, dans la nudité et la pudeur de ce qui n'est pas à montrer mais qui se délivre sans rémission, quand la douleur trop vive oublie l'œil qui voit, quand la danse dit les mots inachevés, inachevables... Il n'y a plus de pays est cette quête d'une mère à travers les brumes et les bombes, à travers les paysages et les intolérances, quand l'humanité oublie de quel lieu elle provient, sur quel lieu elle habite, vers quel lieu elle se dirige, quand elle prend le corps de la femme comme terre de conquête. Soif de cette femme, soif des mots qui redonnent naissance, qui redisent l'identité, la fabrique du sens.

10/2012

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Critique littéraire

Ob/scena. L'obscène au féminin au tournant du XXIe siècle

La notion d'obscène est-elle encore pertinente aujourd'hui, dans notre société du spectacle et de l'hyperconsommation où l'on croit avoir tout vu, où l'on considère être au-delà de toute transgression ? Si oui, comment l'obscène se manifeste-t-il et selon quels déplacements ? Traditionnellement connotée d'un sens moral et esthétique négatif, l'obscénité dévoile, par les liens privilégiés qu'elle entretient avec d'autres problématiques (privées ou socio-politiques), des fractures, et contribue à l'émergence d'oeuvres nouvelles qui remodèlent les canons de représentation et les visions du monde. Ce volume approfondit ces questions dans le champ de la création francophone de ce tournant du XXIe siècle (théâtre, performance, danse, installation, cinéma, photographie), afin d'examiner les regards des femmes, selon qu'ils opèrent par dérivations (du physique vers le sentimental ou inversement), prolongations ou renouvellement du concept. Il plonge ainsi dans l'univers de Catherine Anne, Virginie Baes, Irène Bonnaud, Catherine Breillat, Denise Chalem, Hélène Cixous, Catherine Corringer, Louise Doutreligne, Carole Fréchette, Clarisse Hahn, Agnès Jaoui, Marie L., Christine Letailleur, Stéphanie Marchais, Marie NDiaye, Aude du Pasquier Grall, Célie Pauthe, Natacha de Pontcharra, Lamia Ziadé ou la Compagnie Mossoux-Bonté.

04/2013

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Poches Littérature internation

Les contes du Tripitaka. Le singe obscène et la tortue bavarde

Le lecteur découvrira avec bonheur l'adaptation de dix-sept contes et apologues, extraits du Tripitaka chinois. Ils mettent en scène, comme le fera plus tard La Fontaine dans ses Fables, des animaux dans des situations amusantes ou tragiques. Les morales de ces petites histoires - pour beaucoup venues d'Inde, avant de se répandre en Extrême-Orient, en Asie centrale et jusqu'au Moyen-Orient - restent extrêmement modernes. Le Tripitaka ou «Trois corbeilles» est un très vaste recueil de textes fondateurs du bouddhisme. Ils ont été traduits en chinois par des moines, à partir du sanskrit, dans les premiers siècles de notre ère.

11/2014

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