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Intermittences Létales

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Littérature française

Intermittences Létales

RidaB est un journaliste algérien, qui "commet" dans plusieurs webzines belges : Concepteur (entre-autres) de mots-croisés, auteur de plusieurs petits livres de recettes de cuisine revisitées du monde, il se spécialise dans le style photomontage, (tous sujets), à travers lequel il nous livre de savoureux dialogues, la plupart désopilants, quelquefois "sérieux" , mais toujours empreints d'une bonne dose de bon sens. Son style d'écriture, empli d'humour et de... néologismes déconcertants, est souvent loin de la norme classique traditionnelle. On pourra le constater dans ce petit roman autobiographique, au style anecdotique et surtout très digressif, où il y narre le nombre invraisemblable de fois où il aurait rencontré et flirté avec la mort, (la sienne ou celle de ses proches), avec ironie le plus souvent, mais aussi avec un certain détachement, mêlé de respect... Et si y vous trouvez des coquilles... Ne cherchez pas à corriger, c'est volontaire ! ...

07/2022

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Littérature française

Intermittences

Le deuxième roman de Celia Levi, réédité pour la première fois en poche. Un livre proche par son thème et sa force critique de La Tannerie, qui reparaît en même temps dans la collection Souple. L'intermittence sera-t-elle le lot de chacun dans la société qui s'annonce ? Peintre par vocation, mais figurant sur les plateaux de télévision par nécessité, le jeune héros de ce roman est " intermittent du spectacle ". Quand il n'est pas à la recherche des contrats qui lui permettront d'obtenir le statut tant convoité, il mène une autre quête, dans les quartiers de Paris ou dans l'intimité de l'appartement qu'il partage avec sa fantasque amie Pauline : celle de la sensation juste et d'un accès poétique au monde. Hélas, les contretemps des tournages, ajoutés aux délirantes complications administratives de " l'intermittence ", compromettent sans cesse le fragile équilibre. Le parcours de ce combattant inexpérimenté serait du plus haut comique, s'il ne le conduisait à vivre un enfer chaque jour plus absurde, où il a peu à gagner et presque tout à perdre. Celia Levi décrit avec une subtilité de touche - et un luxe de nuances - le basculement de cette situation ordinaire dans une sorte de " fantastique du quotidien ", où se perçoivent les échos de quelques grands mythes littéraires. Dans Intermittences, elle prête à l'écriture du Journal que tient son héros, une année durant, la simplicité et la pureté classique du style qui ont émerveillé les lecteurs de son dernier roman, La Tannerie, l'un des événements de la rentrée littéraire 2020.

09/2021

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Littérature française

Intermittences

L'intermittence sera-t-elle le lot de chacun dans la société qui s'annonce ? Peintre par vocation, mais figurant sur les plateaux de télévision par nécessité, le jeune héros de ce roman est " intermittent du spectacle ". Quand il n'est pas à la recherche des contrats qui lui permettront d'obtenir te statut tant convoité, il mène une autre quête, dans les quartiers de Paris ou l'intimité de l'appartement qu'il partage avec sa fantasque amie Pauline : celle de la sensation juste et d'un accès poétique au monde. Hélas, les contretemps des tournages, ajoutés aux délirantes complications administratives de " l'intermittence ", compromettent sans cesse le fragile équilibre. Et le parcours de ce combattant inexpérimenté serait du plus haut comique, s'il ne le conduisait à vivre un enfer chaque jour plus absurde, où il a peu à gagner et presque tout à perdre. Celia Levi décrit avec une subtilité de touche - et un luxe de nuances - le basculement de cette situation ordinaire dans une sorte de " fantastique du quotidien ", où se perçoivent les échos de quelques grands mythes littéraires. Dans Intermittences, elle prête à l'écriture du Journal que tient son héros, une année durant, la simplicité et la pureté classique du style qui ont déjà émerveillé les lecteurs de son premier roman, Les Insoumises.

08/2010

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Poésie

Intermittences

Intermittences "Il n'y a pas d'amour heureux" disait Aragon auquel Brassens fait écho en chan- son. Cependant Edith Piaf voit "la vie en rose" et "ne regrette rien" . Quant à Proust, il considère que "l'amour, c'est l'espace et le temps rendus sensibles au coeur" - dont il analyse les intermittences. Mais il "appelle aussi amour une torture réciproque" . Loin des passions subites et subies, mieux que le Cogito cartésien, prônons le : Amo ergo sum. De l'ange à la sirène, de gares en ponts, en traversant jardins publics, rives de la Seine, quartiers neufs et plus anciens de Paris, ces petits poèmes flotteront entre deux eaux, oscilleront entre les pôles aimantés, de l'amour fou et du désamour désespéré, entre l'euphorie de la reconnaissance foudroyante et les lendemains qui déchantent. Pourtant il faut imaginer Tristan et Iseut, Roméo et Juliette, Rodrigue et Chimène, Madame Bovary, Ondine, Ariane et Solal, tous les amants et amoureux de la terre et du ciel... heureux.

01/2016

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Romans policiers

Intermittence

La Manuelli est l’une des plus grandes entreprises d’Italie. Entre ses dirigeants, c’est la guerre. À l’occasion de la fermeture de plusieurs usines, ils s’affrontent : le vieux Manuelli, père fondateur, son fils Beppo qu’il méprise, De Blasi, directeur de la société et requin impitoyable, sa secrétaire Anna, amoureuse d’un gigolo, un sous-secrétaire d’État avide et bigot, des ouvriers en grève et des hommes de main sans scrupules…

11/2012

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Littérature française (poches)

Les intermittences du coeur

" Les intermittences du coeur ", ce n'est pas seulement le titre d'une des sections les plus émouvantes, au coeur de la Recherche du temps perdu de Marcel Proust (dans Sodome et Gomorrhe) ; cela devait initialement en être, selon l'un des projets de Proust ; le titre d'ensemble. On oublie trop souvent que Proust ne parle pas de la - mémoire et de ses intermittences, seulement pour des raisons métaphysiques, mais d'abord comme d'un déchirement intime, dans les relations humaines. La perte des êtres les plus chers, elle-même, nous l'oublions le plus souvent, et quand elle nous revient, involontairement, elle n'en est que deux fois plus douloureuse ; douloureuse par la perte qu'elle ravive, mais aussi par la culpabilité de l'oubli, qu'elle réveille.

04/2009

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