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Félicie Toczé

Extraits

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Cuisine

Riz. 50 recettes végétariennes d’ici et d’ailleurs

Des recettes originales qui renouvellent l'approche de la céréale : miso maison, pain, risotto au four, mochis japonais... Le riz, comme vous ne l'avez jamais savouré ! Du vaste éventail des riz du monde - rond, long, basmati, thaï, rouge ou noir... - à leur mode de cuisson spécifique - pilaf, à l'étouffée, à la vapeur, grillé... - vous saurez tout, ou presque, sur cet aliment de base, naturellement sans gluten, aux infinies possibilités culinaires et aux trésors nutritifs incontestables. Car Félicie Toczé aime tous les riz et détaille avec passion leurs différentes caractéristiques aromatiques et gustatives. Elle livre ici plus de 50 recettes végétariennes salées et sucrées, inspirées de ses voyages, qui mettent à l'honneur cette céréale très digeste que l'on retrouve sur tous les continents.

09/2018

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Cuisine

Japonismes. Recettes végétariennes d'inspiration japonaise

La cuisine japonaise traditionnelle est fascinante pour tous les passionnés d'alimentation saine et savoureuse. Elaborée à partir de produits et de modes de préparations choisis avec attention, elle repose sur la saisonnalité et un mariage subtil des saveurs. Après avoir consacré un premier recueil à cette cuisine qu'elle affectionne particulièrement, Félicie Toczé nous propose ici de nouvelles recettes végétariennes salées et sucrées tout en reprenant quelques-uns des plats phares du premier opus. Techniques et ingrédients sont volontairement ramenés à l'essentiel pour rendre ces préparations accessibles à tous. Au menu, des bentos et soupes miso pour chaque saison, des makis de soba, des salades d'algues, des oeufs vapeur, des légumes mis à l'honneur... mais aussi la réalisation de certains produits de base comme le gari (gingembre mariné), le dashi (fameux bouillon japonais) ou le kinako (poudre élaborée à partir de graines de soja)...

09/2019

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Littérature anglo-saxonne

Félicité

Le recueil le plus caractéristique de l'art de Katherine Mansfield, l'une des plus grandes nouvellistes du xxe siècle, morte à 33 ans il y a tout juste cent ans. Le recueil le plus caractéristique de son art Katherine Mansfield a vécu une enfance assez solitaire, envoyée à 13 ans parfaire son éducation au Queen's College de Londres, dans un certain dénuement. Un premier mariage malheureux, une fausse couche et, à 23 ans, un premier recueil de nouvelles, Pension allemande. Suivront, en quelques années d'une vie aussi brève que vagabonde, Félicité, La Garden-Party et Le Nid de colombes. Ils confirment un talent singulier, mélange de gravité et d'" humour un peu meurtri " (Marcel Arland). Sens de l'ellipse et de l'anecdote infime, finesse de touche impressionniste, fraîcheur et sincérité des sentiments, apprentissage de la douleur physique et morale : autant d'expressions d'une sensibilité extrême et d'une conscience du mal qui la portent aussi bien à l'hédonisme qu'à l'ascèse dans l'orbe de Georges Gurdjieff, dont elle reçoit l'enseignement théosophique au prieuré d'Avon, où elle mourra de tuberculose le 9 janvier 1923, à l'âge de 33 ans. Félicité, son second recueil, élaboré en 1919-1920 à San Remo et à Menton, contient l'une de ses plus célèbre nouvelles, Prélude, version condensée de L'Aloès, roman semi-autobiographique auquel elle avait travaillé pendant sept ans, après la mort de son frère à la guerre, et qu'elle confia à Virginia et Leonard Woolfe en 1918. La critique salua l'audace et la virtuosité de la nouvelliste, mais aussi un certain raffinement dans la cruauté psychologique. Inclut les nouvelles : Prélude - Je ne parle pas français - Félicité - Le vent souffle - Psychologie - Tableaux - L'homme sans tempérament - La journée de Mr Reginald - Peacock - Sun et Moon - Feuille d'album - Un pickle à l'aneth - La petite institutrice - Révélations - L'évasion.

01/2023

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Théâtre

Félicité

Une vision du monde modelée en forme de pièce de théâtre, tel est le tour de magie poétique auquel nous convie une fois de plus l'auteur du Jeune Homme et de La Lève. Et ce n'est pas par hasard que ses deux premiers personnages, Félicité la servante au cour fidèle et Madame Aubain sa maîtresse, empruntent leur nom au Flaubert d'Un cour simple. Félicité la vieille fille a deux passions : Pierre son perroquet, qui lui sert de confident, et son jeune neveu Richard. Madame Aubain la belle veuve inconsolable ne se remet pas de la mort de ses enfants Virginie et Paul. Les deux femmes vivent ensemble, non pas comme des corps sensuels mais plutôt comme des âmes frôleuses qui jamais ne se toucheront, ne se comprendront, ne s'aimeront. Elles se parlent, mais toujours à travers leurs fantasmes secrets d'amour et de nostalgie. Et leurs conversations, vaporeusement scandées par une langue superbe évoquant Maeterlinck et ses sortilèges, les conduit doucement mais irrésistiblement vers la mort, douloureux et merveilleux point de rencontre pour deux destins qui se sont farouchement défendus. Maud l'ensevelisseuse en est le témoin privilégié par tout l'amour qu'elle donne à son amie Félicité.

03/1983

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Policiers

Félicie est là

Félicie est partie faire les courses. À son retour, Jules Lapie, le paisible retraité dont elle tient le ménage, a été assassiné. Le commissaire Maigret, avec sa sagacité habituelle, a tout de suite compris que la jeune fille au physique ingrat savait quelque chose, que derrière ses airs revêches elle cachait un coeur tendre... Comment l'amener à se confier ? Qui protège-t-elle en gardant le silence ? Rarement un témoin aura donné autant de fil à retordre au célèbre commissaire...

06/2011

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Littérature française

Félicité Grall

" Je l'avais plutôt imaginée sandalettes, et jupe longue, chemisier brodé, Emily Brontë en moins caractérielle, c'était du moins à espérer. J'avais reniflé l'enveloppe, qui sentait encore l'encre fraîche et violette, forcément violette, puis j'avais lu la lettre. Le contenu, ne nous y trompons pas, était purement formel... Félicité Grall, ce nom-là me disait quelque chose. J'avais répondu par l'affirmative. Assez laconiquement du reste. Un homme de ma trempe avait appris à se méfier comme de la peste de ces filles par trop sentimentales qui tombent amoureuses quinze fois par jour et vous infligent une scène de tous les diables si vous avez le malheur d'oublier la Saint Valentin. Elles sévissaient encore un peu partout à travers le pays. À contre-courant, certes, mais le danger était latent. Et j'avais déjà assez d'emmerdements comme ça ".

03/2011

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