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Charline Giquel

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Autres éditeurs (A à E)

Le grand départ

C'est bientôt le grand jour de la migration pour les macareux, mais le petit Marin ne veut pas quitter son île adorée... Marin le macareux n'a pas le moral : demain c'est le jour de la grande migration. A l'école, tous les petits macareux sont excités par l'événement, mais Marin, lui, ne veut pas quitter son île chérie. A contrecoeur, il prépare son baluchon avec son bateau en coquillage, son chapeau, son doudou en filet de pêche et un sandwich aux sardines. Mais sa mère trouve que c'est un bagage bien trop lourd pour voyager. C'en est trop ! Marin ne va tout de même pas abandonner toute sa vie ici ! Alors il quitte la maison, son baluchon sur l'épaule. Il va rendre visite à son amie Pipette, mais elle est déjà partie. Une énorme bourrasque le fait alors tomber à l'eau, pile sur la tête d'un phoque patibulaire qui lui chipe son sandwich. Il croise ensuite un fou de bassan en panique car il a perdu son nid. Et ainsi de suite, Marin se déleste de tout le contenu de son baluchon. Et quand il retrouve finalement sa mère qui le cherchait, il explique : " je disais au revoir à mes amis ! "

08/2022

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Espagne

Miquel Pedrola, une renaissance

Amada est née en 1937 à Barcelone lors de la plus grande révolution sociale de tous les temps. Elle n'a pas connu son père, tué sur le front de Huesca le 6 septembre 1936. En 1939, lors de la retirada, 500 000 républicains espagnols vaincus militairement par Franco, Mussolini et Hitler se réfugièrent en France. Amada et une partie de sa famille en était. Malgré le chemin de croix que parcourent tous les réfugiés, Amada fit sa vie en France dans un quasi silence à propos du pourquoi cet exil. Soixante-quinze ans plus tard, en Catalogne, dans les journaux, à la télé, à l'université... , le silence commence à se rompre et on reparle de Miquel Pedrola, ce jeune militant très en vue du P. O. U. M. (Parti Ouvrier d'Unification Marxiste) : son père. Ce livre nous raconte son père et lui raconte sa fille. Une double renaissance. Passionnant et bouleversant !

10/2021

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Littérature française

Charlie

C'est le roman d'une époque où la musique était le havre des déshérités, le roman d'un jazz man promis aux huées, puis touché par la grâce dans une ville ivre de blues. Qui se souvient que Charlie Parker brilla d'abord par ses couacs ? Que le futur Bird naquit plutôt vilain canard ? Que le fils à maman, tyrannique, paresseux et hâbleur, n'avait rien pour réussir ? Qui sait aujourd'hui quel cauchemar de médiocrité, le génial saxophoniste dut secouer pour se fuir, se trouver ? Lui, bien sûr, ne pensait qu'à rafler la timbale et finir sous les hourras. Mal barré, Charlie, mais quand même assez inspiré pour voir le jour à Kansas City. Les Noirs y étaient mieux reçus qu'ailleurs ; le quartier des plaisirs accueillerait bientôt les aventuriers du swing, chassés des métropoles américaines par la Dépression. En 1920, il est loin le temps où Benjamin Singleton, le " Moïse noir ", exhortait ses frères de couleur à quitter les plaines du Mississippi pour faire d'une " ville à vaches " leur terre promise. De tous les coins du pays, on vient faire la fête à Kay Cee. On s'y abrutit de musique, d'alcool et de haschich. Pendant la crise, la cité a trouvé le moyen de prospérer grâce au truculent Thomas joseph Pendergast, le politicien le plus corrompu d'Amérique, et grâce au zèle des mafias qui se partagent le gâteau avec lui. Les années folles mordent sur les temps difficiles. Chaque nuit est une noce sans fin. C'est dans cette jubilation rebelle et générale que " l'Oiseau " prend son essor, sous l'œil incrédule d'Addie, la mère abusive ; de Rebbeca, la fiancée coquette ; dans l'ombre de Coleman Hawkins, Lester Young, Count Basie. Le saxophoniste a dix-huit ans quand, bientôt couronné, il quitte sa ville pour mettre le monde à ses pieds. Il s'en va d'un côté, Gerber de l'autre, comme si le romancier, cette fois, n'avait voulu dévoiler que les années sombres, et rappeler ainsi qu'à travers Charlie Parker l'énigme de la création nous adresse son sourire le plus narquois.

01/2005

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Contes et nouvelles

Charlie

Charlie, qui donne le titre à ce recueil est la plus longue nouvelle écrite par Kate Chopin. Après la parution en 2020 d'un premier recueil intitulé 'Une femme respectable', les Editions de la Belle Etoile continuent d'explorer l'univers de l'auteure et proposent ici trois nouvelles inédites. Le coeur humain ayant à peu près la mollesse d'une pierre, a dit Marguerite Duras, il importe de veiller à ne pas le durcir davantage. Kate Chopin semble nous démontrer le contraire, de façon magistrale. Toutes ces histoires émouvantes racontent des preuves d'amour. Elles mettent en scène des personnages ordinaires qui, sondant l'obscurité ou le désespoir qui gagnent leur existence, trouvent une main tendue, un coeur ouvert qu'ils n'attendaient pas. Alors les certitudes tombent, le regard change, la lumière vient. Par son approche humaniste et sensuelle, Kate Chopin nous rappelle que l'amour est notre condition.

03/2024

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Beaux arts

Portrait de Miquel Barcelo en artiste pariétal

Photographies d'Agustí Torres

05/2008

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Littérature française

Charlie Chan

Quarante-neuf films de 1926 à 1949 ; une bande dessinée inaugurée en 1938, des dizaines d'émissions de radio ont propagé le mythe du Chinois Charlie Chan, détective sentencieux et sympathique, dont la source se trouve dans les six romans d'Earl Derr Biggers. Avec Charlie Chan, de la police d'Honolulu, le crime pénètre dans un univers feutré et fleuri comme celui d'une pagode. Ayant servi comme maître d'hôtel avant d'entrer dans la police, Charlie Chan est un véritable précurseur du commissaire Maigret. Comme lui, il débusque l'assassin en reconstituant la psychologie et le passé de la victime. Toujours en attente d'un enfant qui va agrandir sa nombreuse famille, Charlie Chan garde sang-froid et courtoisie, jusqu'envers un perroquet, supprimé parce qu'il connaissait le nom de l'assassin. Ne dit-il pas : " Le Chinois se considère comme un grain de sable sur le rivage de l'éternité, d'où sa modestie. " Envers lui-même et envers les autres : " Ne prodiguons pas les louanges sans discernement. Si personne n'avait complimenté l'âne sur sa voix harmonieuse, il ne se ferait pas entendre. " Ce policier à l'efficacité redoutable cultive les sentences comme d'autres les fleurs. FRANCIS LACASSIN

03/1994

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