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Auguste Saulière

Extraits

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Littérature française

L'amour terrible. 5e édition

L'amour terrible (5, [5e édition]) / par Auguste Saulière Date de l'édition originale : 1882 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Littérature française

La sablière - roman

Un jeune homme, inconnu, blotti dans la cabine du Berliet est arraché d'un mauvais sommeil par Manu qui le découvre là un beau matin en prenant son travail. Il s'appelle Idriz, il a fui le Kosovo en guerre, il est seul, égaré et démuni. Le camion dans lequel il a trouvé refuge appartient à Charlot, vieux et fatigué propriétaire de la sablière qu'il avait renoncé à faire tourner jusqu'à l'arrivée de Manu qui leur a redonné vie à tous les deux... A tous les trois si l'on compte bien... Charlot, Manu et la sablière. Puis, après plusieurs jours de luttes... A tous les quatre ! Malgré le temps qui passe, inexorable pour Charlot, rude pour manu, la sablière se voit devenir symbole de renaissance, d'espoir et inspire à Yves Turbergue, le titre de son nouveau roman. Yves n'a jamais envie de parler de tout, comme il l'écrit, pourtant il parle d'amour qu'il transcende, d'amitié qu'il vénère, de justice... sans commentaires, de destins perdus qu'il veut récupérables, de mauvais plis qu'il veut repasser et de la mort, aussi, bien entendu, qu'il croit apprivoiser... car il y a un ton Turbergue, des mots, des phrases Turbergue, des ponctuations ou pas, Turbergue mais surtout un coeur, une tendresse, une rudesse Turbergue , que la nostalgie effleure et teinte Artisan réservé plus qu'artiste volubile Turbergue maçonne les mots comme du mortier plus que ne les étale afin de ne pas dévier de sa recherche de la vérité et de la solidarité. Mais ne pas se méprendre, avec Yves Turbergue, la poésie se mêle de tout, du plus sentimental au plus tragique sans oublier trois petites notes de musique... Pas de chantier sans chansons, pas de nuit sans harmonica. Extrait : "Le ciel craque d'étoiles. Dans la nuit tiède, une odeur d'herbe humide monte des talus. Ca sent bon l'été dans la mesure où on a envie de coller une odeur à l'été. Vaguement malaise, Manu se traîne vers le campement-logis de son père. Il se collerait des baffes. Tout à l'heure à nouveau, il n'a pas osé aborder la gamine qui hante ses nuits et ses journées depuis le jour où pour la première fois il l'a vue danser. Quoique danser... Disons qu'elle se tortille du mieux qu'elle le peut sur le plancher surélevé d'une loterie cabane de foire. Un décor qui se prétend théâtre ambulant. Une scène, si l'on n'a pas peur des mots. Pauvre gamine risée de tout un parterre de cons, faite pour danser comme lui pour prendre la soutane. Amoureux oui amoureux non, il se demande. Toujours est-il qu'il la poursuit de samedi en samedi, de ville en village depuis qu'a commencé la saison des fêtes foraines sur le secteur. Il voudrait... il faudrait... il pourrait... Il n'ose pas".

11/2016

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Poésie

Auguste

Cet ouvrage est consacré à une multitude de thèmes dont le principal est "on peut lire de tout et avec n'importe quoi" .

04/2021

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Littérature française

Auguste

" Oui, il est ainsi mon père. Je ne peux m'empêcher d'avoir pitié de son manque d'imagination et d'enthousiasme. Moi, je veux connaître le monde ; moi, je veux voir des paysages qui font peur, des sauvages dans les forêts tropicales qui mangent... Oui, bien sûr, il y a des inconvénients. Je trouverai la solution. Mon père ! Notre intrusion de cette nuit va secouer un peu son apathie, va mettre un peu de piment dans sa vie. En fait, cette aventure va lui faire du bien en secouant la monotonie de ses jours". Nicolas est alors loin d'imaginer ce que ces mots peuvent avoir d'ironiquement cruel, lui qui sera en partie responsable de la mort de son père... Un drame qui entraîne, chez le jeune homme, une faille identitaire, un abysse à combler par la découverte du passé et de la personnalité d'un père trop mésestimé. Commence ainsi pour l'adolescent une quête surprenante, qui dévoile le passé tortueux d'un être qui dut, lui aussi, trouver son salut et sa rédemption. Travaillé par les thèmes de la filiation, de la connaissance de soi et du rachat, soumis à tout un jeu de miroir et de reflets, le nouveau roman d'Antonia San Vicente del Valle nous entraîne dans un périple géographique et intérieur sensible et bouleversant.

06/2014

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Romans de terroir

Les diables de la sablière

Veuve de guerre, Mathilde vivote grâce à sa petite exploitation. Elle possède également une sablière qui intéresse fortement la verrerie voisine. Sur les conseils d'Angelo, le fils de ses métayers qui ne la laisse pas indifférente, elle développe ce commerce et commence à s'enrichir. C'est à ce moment que réapparait Raymond, son amour de jeunesse, et que disparait Angelo : la vie de Mathilde se retrouve profondément bouleversée, partagée entre la passion et les soupçons qui la rongent...

03/2020

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Musique, danse

Le petit Auguste alphabétique. Anthologie universelle des clows, augustes, excentriques et autres comiques

«Etre clown, c'est choisir d'assimiler l'inassimilable. C'est accepter de juxtaposer des anges, des monstres et des démons. C'est créer une bulle d'inattendu précisément là où on peut s'attendre à tout. Clownesque... Le jeu clownesque est une synthèse, quelque chose qui tient du pow-wow et du sabbat : être clown, c'est un prétexte pour dire l'état du monde. C'est une histoire de passion. Une ode à l'amour. Avec un clin d'oeil à la colère, à la jalousie et à la passion dévorante pour les choses les plus futiles. C'est de ces contrepoints légers que naît l'équilibre, toujours instable, du peuple clown. Chacun des clowns qui composent, habillent et habitent cette longue fresque vivante possède un univers singulier. Comme tout un chacun. Mais le clown est une loupe, un miroir déformant et un regard d'une justesse infinie puisqu'il n'y a là aucune vérité, mais une infinité de possibles... Cette succession d'instants clownesques, disséminés d'un bord du monde à l'autre, comme les pierres les plus fines d'un collier d'acier brut, est sans doute la plus belle façon de conjurer la morosité du quotidien, mais c'est aussi un habile prétexte pour suggérer qu'au-delà du rire subsiste, encore et toujours, l'émotion...»

03/2015

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