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Alseny Thiam

Extraits

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Littérature française

Larmes d'Afrique

Désireux de mener des actions concrètes en matière de santé et d'éducation en Afrique, Habib réussit à convaincre Michel et Ariane, engagés comme lui, de l'accompagner au Sénégal pour créer une ONG. Mais sitôt arrivés dans son pays d'origine, ses compagnons se font sauvagement kidnapper par un groupe de rebelles islamistes. Fermement décidé à les retrouver, le jeune homme se lance dans cette quête vouée à l'échec et traverse le continent. A la recherche de ses amis, il découvre une Lybie en ruine aux dernières heures du colonel Kadha, un Rwanda en reconstruction, mais également l'amour.

02/2017

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Histoire internationale

La fenêtre. Camp de Khiam

En 1988, en pleine guerre du Liban, Soha Béchara tire sur le général Antoine Lahad, chef de l'Armée du Liban-Sud, milice supplétive d'Israël. Elle est libanaise, chrétienne et communiste ; elle a vingt et un an. Soha Béchara passera dix ans au camp de détention de Khiam, surnommé " le petit enfer ", où elle subira la torture et l'isolement sans jamais avoir été jugée. Elle ne sera libérée qu'à la faveur d'une importante campagne internationale de soutien. Dans ce récit, souvenirs épars collectés par Cosette Ibrahim, elle nous donne à voir la réalité du camp : jeunes filles, mamans, grand-mères, pratiquantes, communistes... toutes enfermées ensemble, leur survie liée à ces objets brodés ou tricotés, façonnés clandestinement pour garder l'espoir et refuser la déshumanisation. Pourtant, sur le papier, le camp de Khiam n'a jamais existé. Détruit par les bombardements israéliens de 2006, il n'en reste que des gravats. C'est pour reconstruire ce passé que l'on a voulu effacer et prêter leur voix aux hommes et aux femmes oubliés de Khiam que Soha Béchara et Cosette Ibrahim livrent aujourd'hui ce témoignage saisissant. Postface d'Alain Gresh.

05/2014

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Histoire internationale

Mballo Dia Thiam - L'indomptable combattant du SUTSAS. Biographie

C'est l'histoire et la trajectoire d'un homme. Cette histoire et cette trajectoire épousent celles du plus grand syndicat de la santé du Sénégal mais aussi celles de celui qui en a tenu le gouvernail ces dernières années, contre vents et marée. Nous sommes au début des années 1980. Léopold Sudar Senghor, frappé par l'usure du pouvoir, cède les rênes du pays à son dauphin Abdou Diouf. Celui-ci tente une ouverture démocratique en suscitant le multipartisme intégral. Pour autant, le pays n'en mène pas large. La culture de Parti unique reste tenace, le monde syndical est sous la coupe de la CNTS, prolongement du Parti au pouvoir, chantre de la Participation Responsable, sorte de syndicalisme caviar, cautère sur une jambe de bois qui préfère le conformisme à la confrontation. Les leaders de ce syndicalisme sont généralement des cadors du parti au pouvoir. C'est à fleurets mouchetés que les acquis du peuple laborieux se décident. Il s'agit davantage d'un cimetière des revendications des masses laborieuses. Le monde de la santé (...) est un exemple saisissant et pathétique, de ce que précarité veut dire. Parmi les mieux instruits, les agents de la santé sont paradoxalement frappés d'une indécente indigence. On eût dit que cette noblesse faisait en même temps office de caste d'Intouchables. En effet, après avoir fait menacer son fond de culotte d'escarres, l'infirmier ne touche pas plus de 58 000 FCFA et le médecin et son Bac + 8 ne voit inscrire sur son bulletin de salaire qu'un net de 70 000 FCFA. Mais ces agents si différents des autres font face à un dilemme : se syndiquer, faire grève, faire planer sur les populations la menace d'un mal qui s'aggrave, d'un handicap irréversible, de la survenue de l'irréparable parce qua un moment, l'urgence est suspendue sur un piquet de grève ; ou se mettre, contre vents et marée, debout devant des autorités qui ne connaissent que le rapport de force, pour préserver leur dignité, s'assurer (.. j le minimum pour vivre décemment. Ils sont nombreux, à l'aube de ces années 1980 à choisir le second terme de l'alternative. Mballo Dia Thiam, en poste à Ziguinchor fait déjà office, avec d'autres, de pionnier et de chef de file de ce Germinal des damnés de la souffrance humaine. Réunions syndicales, prises de paroles devant des militants parfois sceptiques, souvent déterminés, nuits blanches, privations, désinformation, intimidations, tentatives de corruption n'y feront rien. Aux quatre coins du Sénégal, les sections s'organisent fédérant le Professeur Agrégé de Médecine, l'infirmier, le travailleur social et le manoeuvre. Le SUTSAS obtient son récépissé en 1982. Les fers de lance ont pour nom Bakhao Seck, Awa Marie Coll Seck, Salif Guindo, Fangaly Diouf, Mballo Dia Thiam, Abdel Kader Badji. Le SUTSAS se lance alors dans sa première grève qui marquera les annales du mouvement syndical du pays. Tous les corps de métier de la santé y prirent part et toute la pyramide sanitaire s'en trouvàt ébranlée. Cet ouvrage remarquablement écrit par une des plus belles plumes sénégalaises du moment raconte avec l'art sublime du conteur ce qu'a été le SUTSAS mais aussi les mutations récentes et profondes de la vie syndicale et politique sénégalaises.

10/2019

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Histoire internationale

Habib Thiam. L'homme d'Etat, avec 1 DVD

Ce livre porte sur le Sénégal visité par deux plumes qui se font l'écho d'une voix, celle d'Habib Thiam, ancien Premier ministre du Sénégal (...) Nous avons cheminé ensemble dans la vie, à l'Ecole, dans les administrations, jusqu'aux sommets de l'Etat. De Paris, après études et stages de formation, nous avions ensemble pris le chemin du retour, répondant à l'appel de la mère patrie. Il était déjà au gouvernement, au lendemain des regrettables événements de 1962. Il était aussi à mes côtés quand le Président Léopold Sédar Senghor m'a nommé Premier ministre. Il fut à deux reprises mon Premier ministre, non parce qu'il était mon ami mais parce que son expérience et son sens politique aigu, sa formation et son parcours, sa passion pour le pays et la confiance que je plaçais en lui, le désignaient tout naturellement pour m'accompagner et m'épauler dans la lourde tâche qui était la mienne à la tête de l'Etat du Sénégal. Ce livre est un voyage dans l'histoire de notre jeune République (...) Ici, l'odyssée s'effectue par un fil conducteur déroulé dans le labyrinthe de la politique, sous l'oeil avisé d'un homme qui sait de quoi il parle. Un double regard, d'intériorité et d'extériorité, selon qu'il est aux affaires ou en dehors, mais toujours sous le sceau incontestable de la légitimité du regard et de la parole, je veux dire un regard lucide et une parole responsable.

01/2010

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Histoire internationale

Contribution à la connaissance de l'histoire du Badiar. Koundara, Guinée

Le Badiar englobe la commune urbaine de Koundara et les sous-préfectures de Saréboïdo, Kammaby et Samba Ilo (Sambaïlo). C'est une région de plaines et de bas plateaux, aux sols hydromorphes et exondés, dominés par le mont Badiar. La végétation de savanes et de forêts-galeries est menacée de dégradation, suite aux actions anthropiques et au phénomène de sécheresse aggravée par le changement climatique. Le climat tropical, de 5 mois d'hivernage et de 7 mois de saison sèche, subit des fluctuations préjudiciables aux activités agropastorales de la population. Les habitants du Badiar sont successivement les Badiarankés, les Foulacoundas, les Peulhs et les Mandingues (Sarakolés et Diakankés). Durant la période coloniale, les chefs de canton de Badiar sont dans l'ordre : Doulo Boiro, chef rassembleur (1924-1929), Thierno Yaya Diallo, chef pieux mais imposé (1929-1941), et Dembayel Boiro, le chef bâtisseur (1942-1956). Depuis l'indépendance, en 1958, le Badiar se développe dans plusieurs secteurs d'activité.

12/2011

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Sciences politiques

Le monde vu de ma teranga. entretiens entre Ibrahima Thiam et Jean-Yves Duval

Ibrahima Thiam est secrétaire général du Centre de Recherche Saint-Antoine (INSERM/Sorbonne Université), un des plus grands centres de recherches européens. Ibrahima Thiam est aussi un homme politique, fondateur et président du mouvement d'opposition Un Autre Avenir. Il a d'ores et déjà annoncé sa candidature pour les prochaines élections présidentielles de 2024 au Sénégal. Ibrahima Thiam est aussi l'auteur de deux essais, Un nouveau souffle pour le Sénégal et Ma part de vérité.

02/2022

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