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Faits de société

Je n'avais plus le choix, il fallait fuir. Paroles de réfugiés

L'asile, c'est l'ultime liberté qui reste lorsque l'on a perdu toutes les autres. Les hommes et les femmes qui témoignent dans cet ouvrage ont subi des persécutions en raison de leurs convictions politiques ou religieuses, de leur orientation sexuelle, pour avoir voulu s'opposer à une injustice, parce qu'ils n'avaient pas la "bonne" nationalité au bon endroit... Quelle que soit la cause de leur exil, tous le disent : ils n'avaient pas le choix, ils ont dû fuir. Non par attrait envers un hypothétique eldorado occidental, mais bien pour sauver leur vie ou leur intégrité. En France, l'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT) est à leurs côtés pour les aider dans leur démarche de demande d'asile. Dans ce cadre, elle a recueilli leur histoire : autant de parcours retraçant les raisons du départ, les conditions souvent terrifiantes de l'errance et les mille embûches administratives qui attendent le réfugié à son arrivée. Elle examine aussi la situation du droit d'asile dans notre pays : un droit garanti par des conventions internationales et qui connaît pourtant, depuis quelques années, d'inquiétantes restrictions, plaçant de nombreuses personnes en situation de grand danger.

06/2013

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Jeux de société

On lâche rien !. Un jeu qui se tient PAS sage

Rejoignez le cortège de la manifestation pour faire entendre votre voix ! On lâche rien ! est un jeu de rapidité pour tout public. - Posez une carte dans le cortège. - Une configuration apparaît ? Emparez-vous en premier de la bonne pile ! - Prenez garde aux lacrymos ! Le jeu est fabriqué en France et illustré par Allan Barte. Il inclut un livret de 32 pages rédigé par deux associations qui luttent pour la liberté de manifester et dénoncent les violences policières : l'ACAT-France (Action des chrétiens pour l'abolition de la torture) et la LDH (Ligue des droits de l'Homme).

04/2024

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Religion

Un chemin d'humanité

L'itinéraire de Pierre Toulat accompagne les principaux événements du XXeme siècle de l'entre-deux guerre jusqu'à l'élection du Pape François. Son ministère connaît la Seconde guerre mondiale, les Trente Glorieuses et l'apogée de l'Action catholique, le Concile Vatican Il, l'émergence d'une société mondialisée avec les problématiques du développement, de la justice et de la paix. Au fil des années Pierre Toulat, impliqué d'abord dans l'accompagnement des mouvements ruraux et la formation des jeunes prêtres, assumera de longues années de responsabilité au plan national au sein de la Conférence épiscopale et de Justice et Paix-France. Les combats pour la justice l'ont conduit à soutenir et accueillir les victimes des dictatures, à défendre par la fondation de l'ACAT, les personnes arrêtées et torturées partout dans le monde, à accueillir SDF et Roms... Ce témoignage montre le souci constant chez Pierre Toulat de l'écoute des autres, une volonté d'engager sa vie dans le service de l'homme, et à travers eux de Dieu. Il trace petit à petit un chemin d'humanité durant 70 années de ministère.

10/2014

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Actualité médiatique internati

Le monde dans 5 m²

Valentine Cuny-Le Callet a 19 ans lorsqu'elle entre en correspondance avec un condamné à mort américain, via l'ACAT, association de lutte contre la torture et la peine de mort. Pendant des mois, suivant les arbitraires de la poste américaine et des services carcéraux, elle échange des lettres manuscrites avec Renaldo McGirth, âgé de 28 ans, qui se bat depuis dix ans pour la révision de sa sentence, dans une prison de Floride. Il clame son innocence ; elle refuse de juger, mais prend conscience des violences du système judiciaire américain Avec un mélange d'audace et de générosité hors normes, elle initie et nourrit une amitié réelle avec Renaldo. Puisqu'elle est étudiante aux Arts déco, elle enverra des dessins et décrira sa jeunesse française. En retour, il racontera sa vision du monde dans 5m2. Le temps passant, la vie semble s'ouvrir pour Valentine, qui obtient d'aller étudier un an à l'université de Chicago. La vie semble se refermer pour Renaldo, dont la révision de sentence est sans cesse reportée ; l'Administration resserre son étau. Alors, elle décide de lui rendre visite. Pendant trois jours, à côté des épouses et autres visiteurs de prisonniers, elle se présente à l'entrée du quartier des condamnés à mort. Pour voir, essayer de comprendre, et tenter de témoigner. Le récit que tire Valentine Cuny-Le Callet de cette expérience captive par son humanité, sa franchise et sa maturité. A une époque où certains politiques regrettent l'abolition de la peine de mort, ces pages s'imposent par leur nécessité.

02/2020

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Romans historiques

Claude Henrion

L'auteur a hérité de correspondances familiales rédigées au cours des trois derniers siècles. A partir de ces documents, il a décidé de faire le récit de la vie de Claude Henrion. En 1761, Claude Henrion rêve de voyages. Il termine ses études de droit à l'université jésuite de Pont-à-Mousson. Il devient avocat à Nancy et épouse une Déodatienne. Devenu veuf, il laisse ses enfants à sa belle-famille et s'installe à Paris. En 1789, en lisant les cahiers de doléances, il découvre la "Société des amis des Noirs" qui agit pour l'abolition de l'esclavage. Certaines élites sont fortement opposées à cette idée. Alors qu'il est surveillé par des messieurs de l'Hôtel de Massiac qui représentent les intérêts des colons, Claude Henrion devient procureur ; il est nommé à Saint-Domingue. Il s'apprête à faire le voyage de sa vie, et à s'intéresser de plus près à la condition des personnes de couleur. Peu après son arrivée sur l'île, la révolte explose. André Berry naît à Lyon en 1937, de parents Vosgiens. Il effectue son service militaire durant vingt-huit mois à partir de 1957. Plus tard, il épouse Micheline, infirmière en psychiatrie. Ensemble, ils ont deux enfants, puis six petits-enfants et un arrière-petit-fils. L'auteur exerce en tant qu'agent technique de bureau des méthodes et de service de recherche aux Pompes Guinard de Saint-Cloud. Il termine sa carrière comme cadre dans une entreprise de fabrication de matériel agricole à Vesoul. Il milite pour l'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT).

12/2022

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Religion

Un prêtre français assassiné au Brésil (1936-1989)

Né dans le Jura en 1936, prêtre du diocèse de Saint Claude en 1963, Gabriel Maire y a exercé son ministère dix-sept ans. D'abord en paroisse à Dole, en même temps qu'il était aumônier de lycée ; puis à Saint Claude comme vicaire à la cathédrale, avec un engagement dans la pastorale ouvrière et dans l'animation d'un quartier populaire. Pleinement inséré dans ces engagements en France, pourquoi Gabriel est-il parti en Amérique latine en 1963 ? Un départ qui ne doit rien au hasard mais se présente comme le fruit de deux enracinements. L'un dans sa foi vivante en la personne de Jésus ; l'autre dans son engagement politique à travers le "Mouvement populaire des citoyens du monde" qu'il avait lui-même créé. Cette double dimension de sa vie lui a fait très vite envisager d'aller là où il y avait moins de prêtres que dans sa région d'origine, le Jura. Sa destination - l'Amérique latine - est aussi le fruit de sa rencontre avec Dom Helder Camara, évêque de Recife au Brésil. Ces deux lignes de force et cette rencontre vont marquer sa présence au service des plus pauvres du Brésil, pour les aider à retrouver leur dignité et à devenir responsables de leur vie. Il s'y est investi pour la justice sociale au point de devenir insupportable - au sens le plus strict du terme - pour ceux qui écrasaient le peuple et qui finirent par le faire assassiner après neuf ans de présence dans les favelas. Pour l'essentiel, ce livre reprend les écrits de Gabriel. D'abord, ceux qui éclairent son action en France et ses raisons de partir au Brésil (1e partie). Puis l'ensemble des circulaires qu'il envoya régulièrement à sa famille et à ses nombreux amis du Jura (2e partie). Enfin, quelques documents qui retracent l'impact de sa vie et de sa mort dans le diocèse de Vitoria, et la lutte de ses amis au Brésil et en France pour faire reconnaître sa mort comme un assassinat, et non un crime crapuleux, comme les commanditaires et la justice locale ont voulu le présenter. Le dernier chapitre de ce livre est signé par Guy Aurenche, avocat français, ex-président de la Fédération internationale de l'ACAT et aujourd'hui président du CCFD-Terre Solidaire.

12/2013

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