Algernon Woodcock Tome 3 : Sept Coeurs d'Arran. Première partie
" N'oubliez jamais que ce qui distingue le bon médecin du mauvais n'est pas seulement son habileté à sauver ses patients... C'est aussi et peut-être surtout sa capacité à ne pas les tuer. " A. Woodcock
05/2004