HIVER FILANT DES NOEUDS. Poèmes de janvier
A la forêt
A pas furtifs à marquer les arbres pour la coupe
D'une grande croix taillée le promeneur, qui sont
Les mots qu'il put dire, les feuillus à scier, toujours
Mourir et revivre comme les enfants ne veulent jamais
Changer.
10/1998