Dans leurs multiples efforts de lutte contre le piratage les industries culturelles font souvent sourire. Alors même qu’elles ne doivent pas s’amuser tous les jours, à tenter de vider la mer des pirates. Entre les tentatives pour assécher les sources de revenus, les retraits de liens, les procès, rien ne fonctionne. Assez rapidement en tout cas. Le cas de Rudy Shur, éditeur chez Square One, apporte une de ces pierres sur lesquelles on bâtirait volontiers des églises...