L'argent n'a pas d'odeur, c'est connu. Et les agents littéraires sont tous des pourris, c'est aussi notoire. En tout cas, pour Nicola Solomon, directrice générale de la Britannique Société des auteurs, apprendre que des agents offrent des informations sur les éditeurs, contre une rémunération fournie par les auteurs potentiels, ça vous a des relents de royaume bien putrescent. Une polémique qui est partie d'un courrier dont les gloses n'ont pas fini de faire couler de l'encre.