52nd street

Avec Occupy Wall Street, New York avait tremblé : le capitalisme était mis à mal, le monde allait changer... Et lueur d'espoir plus vive encore, une bibliothèque s'ouvrait, recueillant les livres offerts par les uns et les autres. Une seule volonté : partager, échanger, discuter ses idées et les diffuser. Rien de bien méchant, en somme...

Ce n'est pas sans fierté que le journal américain annonce l'ouverture et le lancement de son club de lecture, emporté et animé par des auteurs qui guideront les lecteurs au travers de la jungle éditoriale. Mais également parmi « leurs livres préférés en décrivant la manière dont ces histoires ont influencé leur propre écriture ». 

Les Impressions Nouvelles ont lancé une campagne de financement participatif via la plateforme KissKissBankBank et dont les sommes récoltées serviront à financer en partie la réalisation technique et matérielle d'un ambitieux ouvrage illustré. Intitulé Le street art au tournant, le livre de Christophe Génin prendrait la forme d'un essai sur ce mode d'expression, se voulant sérieux dans son étude et ses références, mais accessible à un large public. À quatre jours du terme de la campagne, près de 3000 euros ont été récoltés.

C'est une grande première dans la vie du journal appartenant à News Corp et au magnat de la presse, Rupert Murdoch : le Wall Street Journal va lancer sa toute première section de critiques de livres dans les prochaines semaines.

Exile on main street des Stones réédité avec 10 titres inédits

Lumineuse idée de street marketing à Brooklyn, à base de livres

HIVER2024 - Our Crowd, traduit en français par Notre Monde, relate l'histoire des grandes familles juives qui ont fait Wall Street ; l'ouvrage a connu un certain succès outre-Atlantique lors de sa publication, en 1967. 

L'année est décidément très sportive pour la Commission d'enrichissement de la langue française. Jeux olympiques et paralympiques obligent, elle s'est récemment penchée sur des termes français liés à différentes disciplines. Dans une nouvelle recommandation, elle évoque cette fois les sports de rue, comme le football, le basket, ou même le golf.

Avez-vous déjà écarquillé les yeux, face à une représentation murale tonitruante ? Une réalisation qui scotche durant quelques instants, fascinante de détails, fourmillante de référence, d’humour, de gravité, parcourue par un message politique, social... Le street art, c’est cette manie que des artistes ont de recolorer nos villes. Avec un talent qui méritait bien quelques titres...

Connu sur les places financières, le nom de Jordan Belfort a été popularisé par deux livres, mais surtout un film, Le Loup de Wall Street, réalisé en 2013 par Martin Scorsese, avec Leonardo DiCaprio dans le rôle-titre. Belfort, auteur de trois livres, deux autobiographies et un livre de développement personnel, a accepté, après des années de procès, de dédommager les victimes de ses manipulations et arnaques.

Street artist à l’humour décapant, Michael Pederson, rebaptisé Miguel Marquez, s’amuse avec les rues, les lieux publics et apporte une dose d’évasion indispensable. Son travail consiste avant tout à poser des panneaux signalétiques, dont le message transcende littéralement le mobilier urbain, comme l’urbanisme dans son ensemble – jusqu’aux plus infimes détails.

Le street art s'écrit sur les murs des villes, et raconte des histoires en tout genre. Certaines créations rendent un hommage appuyé au livre et à la lecture, comme pour faire penser, sur le chemin du travail ou du domicile, à ouvrir un livre dès que cela est possible. Et, papier ou numérique, les murs ne tolèrent aucune barrière.

Depuis des mois que le mouvement Occupy Wall Street s'est dévoilé, des centaines d'auteurs ont grossi les rangs des protestants et manifestants. Mais désormais, l'industrie a trouvé comment reprendre cet événement à son compte : une BD.

Le dessinateur de comics Frank Miller (auteur entre autres de 300, Sin City, plusieurs Batman et plusieurs Daredevil) qui ne semble pas tellement apprécier la manifestation Occupy Wall Street s'était fendu d'un billet piquant sur son blog.

Depuis plusieurs semaines, la situation de la chaîne de librairies Barnes & Noble n'est pas des plus enviables. Après le départ précipité du patron William Lynch et des résultats excessivement médiocres des ventes numériques, la chaîne tente de réduire l'écart qui la sépare de ses concurrents. La stratégie du vendeur de livres s'oriente désormais vers l'international, mais l'influence de la société sur le marché est considérablement amoindrie.

Aux États-Unis, les forces de l'ordre continuent leur bras de fer avec les participants du mouvement Occupons Wall Street, ces « indignés » américains qui dénoncent depuis six mois les pratiques d'un système financier responsable, selon eux, de la crise.

L'écologie ? L'éducation des enfants pauvres ? Rien à cirer. Si vous faites partie de ces personnes dont le seul plaisir consiste à accumuler les billets et à cracher sur le reste du monde, le premier jeu édité par Publishroom devrait vous intéresser. Proposant comme activité principale des services d'autoédition de livres, Publishroom se lance avec Wall Street, in money we trust dans cette nouvelle expérience qu'est la création d'un jeu de société. Nous avons rencontré Sabrina Grimaldi, fondatrice de la plateforme et créatrice du jeu, qui nous a expliqué la naissance du projet et son aboutissement.

Barry Jenkins, réalisateur de l'acclamé Moonlight, a jeté son dévolu sur un roman de James Baldwin pour son prochain film, Si Beale Street pouvait parler. Voici la première bande-annonce d'un film avec, à l'écran, Stephan James, KiKi Layne, Teyonah Parris.

Dirigée par Tom Bidwell, cette nouvelle série sera diffusée par Netflix à partir du 26 mars 2021. Les fameux irréguliers en question sont généralement décrits comme des enfants des rues, très nombreux dans les grandes villes de l'époque victorienne. Arthur Conan Doyle lui-même, le créateur de Sherlock Holmes, les fait apparaître à plusieurs reprises.

Pour les 100 ans de la mort de Jeanne Hébuterne, muse d’Amadeo Modigliani, le street-artist Arthur Simony organise une opération dans les librairies parisiennes où des dessins de la dame derrière le grand artiste seront soigneusement cachés notamment dans l’ouvrage Je suis Jeanne Hébuterne d’Olivia Elkaim, publié aux éditions Stock en 2017, ainsi que dans de beaux livres d’art sur l’œuvre de Modigliani.

R.L. Stine, véritable Stephen King des enfants et jeunes adultes dans les années 1990, investit à son tour la plateforme Netflix avec une trilogie de films, pas moins. Fear Street sera ainsi diffusé, au fur et à mesure du mois de juillet prochain, par la plateforme...

La bibliothèque de fortune du mouvement Occupy Wall Street (OWS), autrement appelée bibliothèque du peuple a de nouveau été saisie par la police le 16 novembre dernier.

La crise à la Bourse de Wall Street profite au marché du livre

Quand Pharrell Williams chante, on est souvent obligés de l'écouter. Mais quand c'est pour la promotion de la lecture, cela passe un petit peu mieux. Le chanteur qui ne vieillissait jamais s'est arrêté chez Sesame Street pour interpréter une petite chanson à la gloire des livres et de la lecture.

Netflix joue la carte des films d'horreur de l'été avec la trilogie Fear Street, diffusée les 2, 9 et 16 juillet prochains. Les trois films sont réalisés par Leigh Janiak, avec des scénarii signés par Leigh Janiak, Phil Graziadei, Zak Olkewikz et Kate Trefry, d'après les livres d'un certain R.L. Stine...

 Le 15 novembre 2011, 5000 livres de la bibliothèque d'Occupy Wall Street, avaient été confisqués par les autorités new-yorkaises au parc Zuccotti (

On the sunny side of the street, Jean Paul Chabrier, un brin de jazz

La Commission d'enrichissement de la langue français a chaussé ses plus belles sneakers pour faire un tour dans la street : elle propose aujourd'hui une liste de termes anglophones attachés à la pratique du graffiti ou du hip hop ainsi que leurs équivalents français. Crew devient ainsi le collectif, tandis que le graffeur qui pratique le toy se voit qualifié de « gâcheur » ou de « gâcheuse »...

Voici l’histoire incroyable et vraie d’un enseignant de mathématiques, qui comptait les cartes. Et fort de cette technique, il a expliqué au monde entier comment battre la banque au casino. Mais il est aussi devenu le premier des grands investisseurs quantitatifs de Wall Street, et a lancé une véritable révolution sur les marchés financiers. 

L'architecture est une science exacte, mais la street artiste indienne DAKU y ajoute un petit supplément de minutie. En utilisant la technique du shadow art, qui consiste à utiliser l'ombre portée de certains éléments pour projeter un dessin ou une inscription, elle a créée une façade textuelle du plus bel effet.