Il aura fallu un certain temps, mais Google a fini par céder aux pressions de l'industrie du divertissement, notamment celles de la MPAA (Motion Picture Association of America, l'association chargée de défendre les intérêts de l'industrie du cinéma), et de la RIAA (Recording Industry Association of America, association défendant les intérêts des maisons de disque aux États-Unis).