Le narrateur, qui est aussi le personnage principal du roman, est un peu agaçant. Doué, séduisant, aisé, précurseur, intelligent, humaniste… il a toutes les qualités qu’une belle-mère puisse exiger d’un gendre… Il n’en demeure pas moins attachant une fois que l’on a accepté cette perfection faite homme… et surtout, lorsqu’emprunt de passions, il apparait finalement bien moins sage qu’on eût pu le supposer.