Déjà en 1965, le Vatican annonçait, dans la déclaration Nostra Aetate, que le peuple juif n’était pas collectivement responsable de la mort du christ, toutefois cette idée demeurait et servait de justification pour perpétuer l’antisémitisme. C’est sans doute pourquoi le pape Benoît XVI a cru bon de réitérer cette affirmation dans le second tome de son livre : Jésus de Nazareth, à paraître dans le courant du mois.