Alors que les géants du web s'acquittent généralement d'impôts modestes en comparaison aux revenus qu'ils génèrent, au grand dam de leurs concurrents de brique et de mortier, quelques économistes ont formulé leurs idées de taxes spécifiques, compilées au fil d'un rapport qui sera présenté lundi à la secrétaire d'Etat au Numérique, Axelle Lemaire. Dans le viseur de la France se retrouvent notamment Google, Apple, Facebook ou encore Amazon.