Le monde entier se passionne pour Laura D.
Que ne plagierait-on pas volontiers Johnny Hallyday chantant, « Laura y a tant d'hommes que je ne suis pas », des hommes et surtout des maisons d'édition puisque l'on nous apprend que le livre de Laura D. serait sollicité par des éditeurs issus de partout.
Trois Italiens, deux Anglais, un Portugais, un Chinois, un Vietnamien désirent acquérir les droits de ce livre qui raconte comment une jeune fille se prostitue pour payer ses études en université. Les noms les plus fous sont alors prononcés
Car son histoire semble avoir fait le tour du monde bien plus rapidement que Phileas Fogg, puisque l'information paraissait dans la presse en janvier dernier.Par ailleurs, la BBC, la chaîne NHK au Japon ou encore le journal allemand Ser Spiegel avaient fait mention de cette histoire pour le moins sordide...
Mes chères études avaient alors provoqué une grande vague qui ne semble pas prête de prendre fin. À cette heure, l'éditeur Max Milo n'était pas en mesure de répondre à nos questions, mais nous tentons d'obtenir des informations directement de l'auteur. Cela ne devrait plus être qu'une question de temps...
31/01/2008 - 16:06