La Turquie réclame donc une indemnisation à l'écrivain pour des propos tenus en février 2005 dans un magazine suisse : au cours d'une interview, il annonce que « 30.000 Kurdes et un million d'Arméniens ont été tués sur le territoire et personne sauf moi, n'ose en parler ». Immédiatement, le pays avait invoqué l'article 301 du Code pénal et jugé Orhan pour dénigrement public de l'identité turque.