En 2003, la nouvelle ajoutait un peu plus de désespoir à la guerre en Irak : la Bibliothèque nationale, ravagée par les flammes, emportait dans ses ruines près de 60 % des documents conservés dans le bâtiment, dont 25 % de cartes, journaux et livres rares. L'entreprise de construction d'un nouvel écrin pour les documents du pays, d'une surface totale de 45.000 m², est désormais officiellement validée.